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Le Parti de la France - Page 146

  • “La Révolution française en 1789 a essayé d’effacer Dieu de la terre. Mais Jésus est plus vivant que jamais”

    Publié par Guy de Laferrière le 30 septembre 2024

    “La Révolution française en 1789 a essayé d’effacer Dieu de la terre. Mais Jésus est plus vivant que jamais”

    Après avoir battu le Français Benoit Saint-Denis à l’UFC Paris dans la soirée du samedi 28 septembre, le combattant brésilien de MMA Renato “Moicano” Carneiro a insulté Emmanuel Macron devant les 16000 spectateurs :

    “Fuck Macron, j’emmerde tous les mondialistes, j’emmerde tous ces putains de mondialistes qui essaient de faire passer un agenda politique corrompu”. “J’espère que vous comprenez que la démocratie est une erreur, la démocratie n’est pas le vrai gouvernement”.

    Le combattant avait démarré ses propos, “en voulant dire du mal de la France”.

    “Mais je suis allé au Louvre, je suis allé dans tout un tas de beaux endroits à Paris et j’ai juste une chose à dire : la Révolution Française en 1789 a essayé d’effacer Dieu de la Terre. Mais Jésus est plus vivant que jamais.”

     

     

  • Autriche : en tête des sondages pour les législatives, le FPÖ défend l’idée de la « remigration » (MàJ : en hausse de 13 points, il arrive en tête avec 29,1% des voix selon les premières estimations)

    Publié par Guy de Laferrière le 30 septembre 2024


    29/09/2024

    Le Parti autrichien de la liberté (FPO) a remporté dimanche les élections législatives, plaçant l’extrême-droite en position de force pour former une coalition pour la première fois depuis la Seconde guerre mondiale, montrent des projections de sortie des urnes, mais sans l’assurer de pouvoir trouver un partenaire de gouvernement.

    Conduit par Herbert Kickl, le FPO a obtenu 29,1% des voix [soit une hausse de 13 points par rapport au scrutin précèdent], devant le Parti du peuple autrichien (OVP) du chancelier Karl Nehammer, avec 26,2% des voix, et les Démocrates sociaux de centre-gauche (20,4%), selon une projection de l’organisme de sondage Foresight pour le média ORF publiée peu après la fermeture des bureaux de vote à 17h00.

    Si la victoire de Herbert Kickl est confirmée, le profil de l’homme politique de 55 ans pourrait se révéler un obstacle aux yeux des leaders des autres partis pour former une coalition. Le leader du FPO n’a jusqu’ici pas donné d’indication sur une éventuelle volonté de sa part de se mettre en retrait pour garantir que son parti dirige le gouvernement autrichien.

    MSN/Reuters

    25/09/2024

    Favori des sondages depuis des mois, Herbert Kickl, chef du Parti de la liberté d’Autriche (FPÖ, extrême droite), a décidé de faire campagne pour les élections législatives autrichiennes organisées dimanche 29 septembre en fuyant la plupart des demandes d’interview de médias établis. […]

    Dans son programme, M. Kickl reprend ouvertement le vocabulaire très particulier de ce dernier, assurant vouloir transformer son petit pays de neuf millions d’habitants en « forteresse », où « le droit d’asile sera stoppé ». Il prône aussi la « remigration », afin de rendre à l’Autriche « l’homogénéité de son peuple ». Poussé à préciser ses intentions, M. Kickl a notamment évoqué l’idée de retirer la nationalité à tout naturalisé « qui s’attaque à nos valeurs », mais certains de ses candidats ont été jusqu’à évoquer la « remigration » (soit le retour dans leur pays d’origine) des « écoliers qui manquent de respect » à leurs professeurs, ou même des simples « racailles ». [..]

    « Le concept de “remigration” est repris de manière de plus en plus positive, constate M. Kranebitter. On observe un glissement vers la droite de la population depuis la crise migratoire de 2015 puis la pandémie de Covid-19, avec une perte de confiance dans les institutions démocratiques et une montée du soutien aux thèses les plus radicales. » […]

    Le Monde

  • C’était un… 30 septembre « Michelade de Nîmes »

    Publié par Guy de Laferrière le 30 septembre 2024

    1567 : « Michelade de Nîmes », massacre de dizaines de catholiques par les protestants.  Ceux-ci voulaient reprendre le pouvoir et s’emparer de la ville. Ils organisèrent d’abord l’enlèvement des notables, civils, religieux et militaires, pour les emmener au cloître de l’Évêché de Nîmes ; puis les victimes sont appelées une par une et entrent dans le lieu clos, où, après avoir été égorgées à coups de dague ou d’épée, elles sont jetées dans le puits.  Les massacres continuèrent à Nîmes et hors de la ville.

     

    Source : contre-info

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 29 septembre 2024

    france,roy

  • Zelensky aux Etats-Unis et la rencontre avec Trump

    Publié par Guy de Laferrière le 29 septembre 2024

    Vendredi 27 septembre 2024, Donald Trump a reçu le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Trump Tower de New York
    Vendredi 27 septembre 2024, Donald Trump a reçu le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Trump Tower de New York

    Voyage à vide pour Zelensky aux États-Unis : Biden ne cède pas sur les missiles à longue portée. The Economist l’invite à revenir à la réalité. Et Trump lui rappelle qu’il a un « bon rapport avec Poutine ».

    Zelensky revient des Etats-Unis les mains vides : pas de missiles à longue portée pour atteindre la Russie

    Zelensky revient des Etats-Unis les mains vides mais en ayant renoué les liens avec Trump. Biden lui a refusé l’autorisation d’utiliser des missiles à longue portée contre la Russie, malgré la pression féroce des médias internationaux pour qu’il cède. De plus, même son « plan pour la victoire de l’Ukraine », élaboré à la hâte avant de partir, a été accueilli avec une indifférence polie, car il était fou dès le titre. Le tout assaisonné de mots de soutien à la cause.

    L’avertissement de Poutine sur les risques d’un conflit atomique a été entendu à l’étranger, également parce que, pendant que Zelensky illustrait aux Américains comment il utiliserait des missiles à longue portée contre la Russie, la Russie révolutionnait sa doctrine nucléaire pour faire face au danger imminent, prouvant que Vladimir Poutine n’avait pas parlé en vain.

    Pour une fois, aux États-Unis, les esprits les plus clairs ont prévalu, auxquels les agences de renseignement ont donné la parole. Ainsi le New York Times : « Les agences de renseignement ont conclu qu’accéder à la demande de l’Ukraine d’utiliser des missiles occidentaux contre des cibles situées au plus profond de la Russie pourrait provoquer de fortes représailles sans changer substantiellement le cours de la guerre. »

    The Economist et le retour à la réalité

    Pour adoucir la pilule, l’Amérique a donné huit milliards supplémentaires au pétitionnaire ukrainien, dont quatre resteront aux États-Unis, plus une batterie de Patriotes, qui s’ajoutera aux nombreux déjà détruits, et divers armements, qui ne pourront pas combler les lacunes produites par la désastreuse invasion de Koursk ; ainsi que la promesse de former dix-huit (18) pilotes pour le F-16. Quant à la demande de donner à l’Ukraine des garanties de sécurité au format OTAN, elle a tout simplement été ignorée.

    Si la guerre ne touche pas nécessairement à sa fin, quelque chose, ou plutôt beaucoup, a changé. C’est ce que démontre l’article publié dans The Economist intitulé : La guerre va mal. L’Ukraine et ses alliés doivent changer de cap.

    « Si l’Ukraine et ses partisans occidentaux veulent gagner, écrit The Economist, ils doivent d’abord avoir le courage d’admettre qu’ils sont en train de perdre. Au cours des deux dernières années, la Russie et l’Ukraine se sont livrées une guerre d’usure coûteuse. C’est insoutenable. » Puis, rejetant le « plan de victoire » de Zelensky, il note : « En réalité, l’Ukraine a besoin de quelque chose de beaucoup plus ambitieux : un changement de cap urgent. »

    « Les gens sont fatigués de la guerre. Il y a un écart croissant entre la victoire totale que de nombreux Ukrainiens disent vouloir et leur volonté ou leur capacité à se battre pour elle. » À l’étranger aussi « la fatigue se fait sentir » reconnait encore The Economist. En outre, admet l’influent quotidien américain, « Donald Trump pourrait très bien devenir président des États-Unis. Il est capable de tout, mais ses paroles suggèrent qu’il veut vendre l’Ukraine au président russe Vladimir Poutine ».

    La rencontre entre Donald et Volodymyr : « Si nous gagnons, nous résoudrons » la guerre « très rapidement », a déclaré Trump

    En réalité, The Economist travestit la réalité : l’ancien Président des États-Unis parle de mettre fin à la guerre, ce que The Economist commence à considérer lui-aussi comme la seule option valable et ce quoi qu’il en coûte pour l’Ukraine et son territoire. Une option envisagée à demi-mot également par John Kirby, le coordinateur des communications stratégiques au Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche : lors de sa conférence du 26 septembre dernier Kirby a reconnu que les autorités ukrainiennes devront faire des concessions territoriales pour résoudre le conflit avec la Russie. En nuançant ce revirement à 180° par le rappel que toutefois, la décision dépendra du président ukrainien lui-même.

    Zelensky sentirait-il le vent tourné ? Allant à l’encontre de son animosité pour Donald Trump, qu’il a souvent exprimée sur les réseaux sociaux, il a insisté lourdement à la fin de son séjour américain pour rencontrer le candidat à la Maison Blanche. Ce dernier, plutôt dans la semaine avait critiqué la politique guerrière de Zelensky : s’exprimant mercredi en Caroline du Nord, il a qualifié l’Ukraine de « démolie » et son peuple de « mort ». « N’importe quel accord – le pire accord – aurait été meilleur que celui que nous avons maintenant », a affirmé le candidat républicain. « S’ils avaient conclu un mauvais accord, il aurait été bien meilleur. Ils auraient abandonné un peu et tout le monde serait vivant, tous les bâtiments seraient debout et toutes les tours vieilliraient pendant encore 2000 ans. »

    Hier, vendredi 27 septembre 2024, Donald Trump a ainsi reçu le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Trump Tower de New York et a réitéré sa position. Il tentera de jouer un rôle de médiateur pour mettre fin à la guerre entre la Russie et l’Ukraine, grâce également aux « excellentes relations » avec les présidents russe et ukrainien Vladimir Poutine. « J’ai de bonnes relations » avec Volodymyr Zelensky et « j’ai aussi de bonnes relations avec le président Poutine ». « Si nous gagnons, nous résoudrons » la guerre « très rapidement », a déclaré Trump lors de sa rencontre avec le président ukrainien. Le président ukrainien a interrompu les remarques de Donald Trump en disant : « J’espère que nous aurons de meilleures relations entre nous. » Remarque à laquelle Trump a répondu, un brin ironique : « Oh, je vois », a répondu Trump. « Mais il faut être deux pour danser le tango, vous savez, et je pense que nous allons avoir une bonne réunion aujourd’hui. Et je pense que le fait que nous soyons ensemble aujourd’hui est un très bon signe ».

     

    « C’est une guerre, et le président est d’accord avec moi : c’est une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu » a conclu Trump.

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info