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L’Assemblée nationale a décidé mercredi d’augmenter d’un peu plus de 300 euros par mois l’avance de frais de mandat (AFM) des députés, en invoquant l’inflation.
La décision de porter l’AFM de 5.645 euros à 5.950 euros (+5,4%) par mois a été prise par le bureau, la plus haute instance de l’Assemblée nationale, avec le soutien de tous les groupes politiques, sauf de LFI qui s’est abstenu.
Les députés ont aussi élargi l’avance de frais de mandat à la prise en charge de la garde d’enfants, à condition que les députés ne sollicitent pas de déductions d’impôts dans le même temps.
L’avance de frais de mandat permet la location d’une permanence, de financer des déplacements, de couvrir certaines dépenses d’hébergement, des frais de réception et de représentation. Ces dépenses sont contrôlées depuis 2018 et les sommes non utilisées doivent être restituées à la trésorerie de l’Assemblée nationale.
Cette avance s’ajoute à la rémunération des élus (7.637 euros brut par mois).
Ce serait presque une histoire scénarisée par Lautner et dialoguée par Audiard. Sonia Rolland, miss France 2000, devenue égérie du multiculturalisme, était invitée ce week-end chez Léa Salamé, sur le service public. Elle a tenu des propos d’une ébouriffante originalité, notamment cette punchline : « La France est l’un des pays les plus métissés d’Europe et on n’en fait pas une force ! » .
Il s’agirait évidemment de se demander deux choses : 1/ si la France est l’un des pays les plus métissés d’Europe, et considérant les chiffres de la natalité qui viennent de tomber, le grand remplacement est-il une théorie complotiste d’extrême-droite ? 2/ Si l’on n’en fait pas une force, à quoi diable cela peut-il bien être dû ? Question subsidiaire : les chiffres du classement PISA dégringolant en rapport avec la hausse de l’immigration extra-européenne, cette « force » ne doit-elle pas être quelque peu relativisée ? Mais bon, on n’en est pas là. Et puis surtout, il y a des choses beaucoup plus drôles à traiter.
Voyez plutôt : on apprend, grâce à l’impitoyable Pierre Sautarel, que Sonia Rolland (qui, pour la circonstance, arborait évidemment ce week-end, sur le plateau de télévision, des cheveux artistement frisés, pour qu’on ne l’accuse pas d’occidentalisation) n’a pas toujours détesté les manières françafricaines. En 2003, (elle avait alors 22 ans), la jeune reine de beauté aurait accepté un cadeau de la part d’Omar Bongo, qui était à l’époque président du Gabon. Quand nous disons « un cadeau », soyons précis : il s’agissait d’un appartement situé dans le XVIe arrondissement de Paris. Plutôt sympa.
On apprit cependant en 2022 que ce gentil petit cadeau (de ceux qui, comme chacun sait, entretiennent l’amitié) faisait partie des « biens mal acquis » (de ceux qui, comme chacun sait, ne profitent jamais). Le circuit d’achat de ces nombreux biens immobiliers, sur le sol français, par le président gabonais, rappelait (selon Le Parisien) des méthodes qui avaient fait leurs preuves dans les sixties : une société de décoration française « détenant un compte dans une banque locale, sur lequel ont été déposées pendant des années des valises de cash, livrées par des collaborateurs de Bongo » avait fait l’acquisition de plusieurs biens de luxe à Paris et sur la côte d’Azur. Mallettes de cash, sociétés écran, biens immobiliers, cadeaux hors de prix à des amis (800 000 euros en l’occurrence) : il suffirait d’ajouter des DS, des lunettes fumées et des imperméables, et on serait sous Foccart.
Imposture criminelle
Lautner dialogué par Audiard, disions-nous en préambule. Quelque chose qu’on ferait prononcer par Ventura en colère : « Y a vingt ans, tu vivais sous les lambris et tu roulais en limousine, alors c’est tout de même pas toi qui vas venir me parler des immigrés ! ». Ou Gabin outré : « C’est qu’Mad’moiselle a l’indignation grand style ! Le tiers-monde rive droite ! Le trémolo sur canapé…en somme le caviar sauce aigre-douce ! » Ou Delon, sarcastique avec un demi-sourire : « Tu vois, Sonia, ce qui m’ennuie, c’est pas que t’engueules les Français parce qu’ils ne se soumettent pas à l’Afrique. Ça, en quelque sorte, c’est le boulot. Non, ce qui m’ennuie, c’est qu’on ne te demande pas ce que tu entends par là. » Belmondo renchérirait : « Mon ami a raison. "On n’en fait pas une force", ça veut rien dire. Si tu disais "J’ai personne pour me livrer mes courses", ce serait peut-être moins élégant, mais on comprendrait ».
Sonia Rolland est peut-être née trop tard : il y a encore quarante ans, sous Mitterrand, ce serait passé crème. En 2024, bien que l’affaire n’ait pas encore été jugée, les gens sont lassés par avance de cette imposture criminelle.
Après une lesbienne juive ashkénaze Premier Ministre, nous avons désormais un inverti juif séfarade à la tête du gouvernement de la France.
Le tout sous l’autorité d’un président de la République ayant travaillé pour Rotschild (haute finance internationale ashkénaze) et promu politiquement par Attali (séfarade notoire) , ce président lui-même inverti et marié avec un homme qui se déguise en femme.
Tout cela dépasse l’entendement et se passe de davantage de commentaires, si ce n’est l’humiliation permanente. Comment peut on d’ailleurs accepter pareille humiliation, nous Français autochtones et pour ceux qui le seraient encore Français catholiques ?
J’ai maintenant l’habitude de dire qu’on a les dirigeants que l’on mérite. Cette humiliation est donc méritée elle correspond à ce qu’est devenu notre peuple, le peuple français, du moins ce qu’il en reste. C’est un châtiment juste, mérité.
Cependant mon âme de chrétien, de catholique, m’interdit formellement le défaitisme, le désespoir, le suicide et m’incite à la charité et à l’espérance dans ce cas précis. Ainsi je dis qu’il faut réveiller le peuple français. Il faut montrer l’exemple nous Français réveillés, nous nous devons d’être vertueux, inspirants, dignes et nobles dans notre vie et notre combat si engagé.
Un article de Mario Varraut, contributeur régulier au magazine Réflexions.
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Le rap est un sous-genre de « musique » qui a contaminé l’ensemble du monde occidental depuis les années 1990.
Je n’ai jamais aimé le rap, je l’ai toujours détesté. Je me souviens dans la cour du collège des interminables débats où il fallait choisir entre partisans de NTM ou d’IAM. Il est très difficile de critiquer le rap sans passer pour un fieffé réactionnaire, qualificatif que j’accepte parfaitement.
C’est pourquoi je pense qu’il faut aller plus loin que le critiquer, il faut militer pour son interdiction. Oui, il faut interdire le rap.
Pour plusieurs raisons. D’abord le rap n’est pas un art, ce n’est pas de la musique. Le rap est fondé sur le vol (le sampling), il ne comporte aucune mélodie. Or la musique est fondée sur la mélodie. Donc le rap n’est pas musical : CQFD.
Ensuite, le rap n’est pas européen, il est à l’origine afro-américain, il n’a rien à voir avec notre civilisation européenne multimillénaire et la culture française.
Enfin, et c’est le plus grave, le rap est particulièrement immoral et propage tous les pires instruments de subversion de l’ordre social : la drogue, la prostitution, le gangstérisme. Plutôt que de faire écouter aux collégiens un rappeur qui fait l’apologie de la racaille, on leur fera écouter et étudier le chant grégorien.
Oui, pour toutes ces raisons il faut interdire le rap. Nous serons toujours dans le camp de ceux qui préfèrent Mozart à Kendrick Lamar.
La France pleure Alexandra Sonac et sa fillette de 12 ans
Une agricultrice de 37 ans, Alexandra Sonac, et sa fille Camille, âgée de 12 ans, ont été fauchées par une voiture qui a forcé un barrage. Elles sont mortes toutes les deux, à quelque heures d’intervalle. Au volant, trois individus qui ont essayé de s’enfuir en courant avant d’être arrêtés. Trois Arméniens déboutés du droit d’asile en 2022 et frappés d’OQTF en 2023.
Un de nos fidèles lecteurs, très ému par ces morts tragiques, nous a envoyé un poème en hommage à ces victimes qui n’intéressent ni les petits hommes gris de “l”Etat profond”, ni leur chef.
Pour Alexandra
Dans un pays bien gouverné, Jamais, loin de l’étable, On t’aurait vue, aventurée Dès l’aube indécelable.
Dans un pays mieux présidé, Ceux qui t’ont tuée ce matin N’auraient jamais dû se trouver Ni croiser ton chemin.
Mais ce ministre clame : « Émotion, émotion ! De la nation, du président… » Tiens, que fait-il, pendant ce temps, L’autre donneur de leçons ?
Alexandra, il s’en fout bien ! Tout à son joujou olympique, Pendant que le pays veut du pain Il ne promet, lui, que du cirque.
Roland Thévenet
Notre consœur de Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel, résume bien la situation par ces quelques mots :
“La paysannerie est un peu comme Notre-Dame de Paris : la France s’en est éloignée, elle ne va pas plus dans les champs qu’elle ne met les pieds dans les églises, mais elles sait que là sont ses fondations. Elle ne veut pas les voir disparaître.
Les paysans ont tout pour être détestés, pourtant, par notre monde. Leurs « mots clés » sont enracinement, transmission familiale, ancrage dans la réalité, virilité – quand une vache vêle la nuit, c’est souvent le père et le fils qui y vont -, devoir de l’effort plutôt que droit à la paresse.
Mais les Français savent ce qu’ils leur doivent. Les paysans ont aussi labouré les champs de bataille. La moitié des poilus étaient ruraux, la moitié de ceux qui sont morts en 1918, des paysans. Ils n’ont pas seulement irrigué notre terre de leur sueur mais aussi de leur sang.
Depuis des années, les suicides se multiplient. Les urbains que nous sommes regardent dans les salles obscures avec la larme à l’œil les films Au nom de la terre ou Petit paysan, les recommandent à leurs voisins parce qu’ils les trouvent très bien joués, puis n’y pensent plus en rentrant.”
Nous invitons tous nos lecteurs à prier pour le repos de l’âme d’Alexandra et de sa petite fille de 12 ans.