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Le Parti de la France - Page 195

  • L'affiche officielle des JO ? 

    Publié par Guy de Laferrière le 07 mars 2024

     

    "Voici l’affiche officielle #JO2024 de Paris. La capitale de la France y est remplacée par un non lieu néantitaire sans drapeau tricolore, ni croix. C’est le pays de oui oui. Le monde magique de l’inclusion. Un territoire d’herbivores omni-tolérants abrutis d’idéologie. Bienvenue dans le meilleur des mondes macroneux. #Facealinfo Par ailleurs, le dessinateur Hugo Gattoni est très doué. Dommage."
     
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  • Thomas Joly : une voix méconnue, le Parti de la France

    Publié par Guy de Laferrière le 07 mars 2024

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    Je vous présente aujourd’hui Thomas Joly, président du Parti de la France. Homme politique au franc-parler sans équivoque, Joly incarne les valeurs nationalistes et libérales de son parti avec une détermination sans faille.

    Dans cette entrevue exclusive, préparez-vous à plonger dans son univers sans filtre. Ses paroles sont directes, ses idées tranchantes. Attendez-vous à une discussion sans concession où sa vérité est exprimée sans détours. Accrochez-vous, car avec lui, ça va secouer !

    En tant que successeur de Carl Lang, quelles sont vos principales priorités pour le Parti de la France, et comment envisagez-vous de développer son influence politique dans le paysage français ?

    J’ai succédé à Carl Lang en 2019 suite à sa décision de se mettre en retrait de la vie politique. Il s’agissait d’une succession dans la continuité. Si j’ai souhaité moderniser la communication du parti, le fond reste le même : nous sommes sur la ligne politique du Front National canal historique, de l’époque où Jean-Marie Le Pen en était le Président, sans l’influence néfaste de son indigne fille et sa dédiabolisation obsessionnelle. Même si le Parti de la France a une médiatisation confidentielle, nous sommes toujours là après 15 ans d’existence, avec un équipe de cadres de valeur et un noyau militant solide. Tous les journalistes politiques savent qui nous sommes. S’ils parlent très rarement de nous, c’est évidemment volontaire.

    Le Parti de la France se décrit comme un parti nationaliste et libéral. Pouvez-vous nous expliquer comment vous conciliez ces deux idéologies dans votre programme politique ?

    Le Parti de la France est opposé à toute forme de socialisme, de communisme, de collectivisme ou de marxisme. Ces idéologies, hélas appliquées dans notre pays, ont pourtant partout fait la preuve de leur nocivité pour les peuples et les Nations, entraînant paupérisation, injustice et inégalités. Nous voulons libérer la France de ce carcan et retrouver une prospérité basée sur la liberté d’entreprendre et surtout rendre aux actifs le fruit de leur travail. Aujourd’hui, le RN a un programme économique de gauche – très peu distinct de celui de Mélenchon – où l’assistanat est financé par la persécution fiscale des entreprises et de ceux qui travaillent. La marxisation des esprits et de notre société a fait des ravages, même dans le camp patriote. Toutefois, si le Parti de la France promeut un libéralisme économique, c’est dans un cadre national et – pourquoi pas – européen avec un système de régulation étatique au bénéfice de la France et des Français. S’il y a un intérêt à nationaliser un secteur, nous le ferons ; et réciproquement s’il y a un intérêt économique à en privatiser un autre. L’économie doit être au service de la Nation et du peuple français et non l’inverse.

    Le Parti de la France a pris des positions fermes sur des questions sociétales telles que la laïcité et l’immigration. Comment votre parti propose-t-il de résoudre ces défis complexes, notamment en matière de politique migratoire et de relations Église-État ?

    En matière d’immigration, nous croyons en la remigration volontaire. À partir du moment où nous renverrons la totalité des migrants (ou plutôt clandestins), des étrangers délinquants ou chômeurs, que nos frontières seront rétablies, que la plupart des binationaux extra-européens seront déchus de leur nationalité française de papier, que l’ensemble des aides sociales seront réservées aux Français, que le droit du sol sera supprimé, que les étrangers devront financer leur logement, leurs soins et l’école de leurs enfants : les extra-européens qui occupent actuellement la France partiront d’eux-mêmes en masse et notre pays ne sera plus du tout attractif pour les étrangers qui souhaiteraient venir s’y installer.

    Depuis la loi de 1905, la laïcité n’a servi qu’à saper les racines catholiques de la France et à y installer l’Islam. Il appartiendra à l’État national de remettre en place les conditions nécessaires pour rechristianiser notre pays abandonné à l’athéisme et aux religions étrangères. Mais je doute que cela puisse se faire avec le clergé actuel qui semble plus intéressée par l’accélération de la décadence et du Grand Remplacement que par la transmission de la doctrine de l’Église.

    Vous avez affirmé que le Frexit entraînerait le déclin de la France. Pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste votre vision d’une France au sein de l’Union européenne, et comment vous envisagez les relations avec d’autres États membres ?

    L’obsession du Frexit est un leurre. L’exemple du Brexit est frappant : ça n’a protégé les Britanniques ni de l’invasion migratoire, ni de la crise énergétique, ni de l’inflation. La soumission des États aux délires idéologiques et mondialistes des technocrates européens de la Commission Européenne est purement volontaire. C’est comme une relation sadomasochiste consentie. Si j’étais Chef de l’État, la Commission Européenne redeviendrait un simple secrétariat au service des gouvernements et Ursula von der Leyen me servirait mon café. Sortir de manière isolée de l’UE et de la zone euro affaiblirait politiquement et économiquement la France. D’ailleurs, les pourfendeurs de l’UE comme Philippot ou Asselineau se réfèrent sans cesse au fameux article 50, tels de tièdes procéduriers, dont on a vu l’application laborieuse lors de l’interminable procédure du Brexit. La politique, c’est le rapport de force, pas du touche-pipi entre juristes et bureaucrates. Tout est question de volonté politique : l’UE n’a aucun moyen de coercition. Une amende ? On ne la paye pas. Une restriction des aides pour des motifs idéologiques ? On suspend notre participation financière à l’UE. En deux mois, la France seule peut faire plier et même dégager ces technocrates mondialistes qui ne sont forts que parce que nos gouvernants actuels sont à genoux devant eux. Il est tout à fait possible de construire une Europe de la puissance aux service des États souverains. Nous ne sommes plus en 1914, si les Nations européennes veulent de nouveau jouer un rôle sur la scène internationale et relever les défis démographiques, migratoires, sociétaux, environnementaux et économiques qui se dressent devant elles, il faut agir de concert et dans l’intérêt des peuples autochtones.

    Le Parti de la France a été impliqué dans des alliances avec d’autres partis nationalistes et identitaires. Quels sont les principaux objectifs de ces alliances, et comment contribuent-elles à renforcer le positionnement politique du parti dans le paysage français ?

    Le Parti de la France n’est ni une secte, ni un groupuscule et nous avons vocation à entretenir des relations cordiales et même politiques avec l’ensemble des structures avec qui nous partageons l’essentiel. C’est d’ailleurs pourquoi nous faisons le choix de participer aux élections quand nous le pouvons ou bien de soutenir la candidature la plus proche de notre programme ; comme nous l’avons fait avec Éric Zemmour en 2022 et cette année pour les Européennes avec Marion Maréchal. Quand bien même la direction de Reconquête est bien frileuse à notre égard ! Ça n’a que l’union des droites à la bouche mais c’est incapable de la pratiquer avec le seul parti qui leur apporte un soutien public ! Mais peu importe, ce qui prime c’est l’intérêt national, pas la tambouille politicienne.

    Enfin, connaissez-vous la Mayenne et votre parti y est-il implanté ?

    Bien sûr que je connais la Mayenne ! Terre rurale encore préservée de l’invasion migratoire, mais hélas plus pour longtemps, aucun territoire n’est à l’abri en 2024. Si, aujourd’hui, le PdF n’a plus de Délégation organisée dans ce département, nous y avons eu il y a quelques années un Conseiller municipal à Craon. Et dès qu’une équipe militante s’y mettra en place, nous nommerons un responsable départemental.

    En discutant avec Thomas Joly, il est difficile de ne pas remarquer son franc-parler, qui rappelle celui de Jean-Marie Le Pen, tant dans le style que dans le fond. Mais dans un paysage politique de plus en plus lissé et soucieux de paraître, faut-il privilégier la franchise brute ou la diplomatie politiquement correcte ?

    La question dépasse les clivages idéologiques et touche au cœur même de la politique moderne. Est-il préférable d’être direct et franc, même si cela peut parfois choquer, ou vaut-il mieux adopter une approche lissée et électorale pour gagner en acceptabilité auprès du public ?

    C’est un dilemme auquel chaque électeur est confronté. La réponse pourrait bien façonner l’avenir de notre démocratie.

    Pierre d’Herbais.

     

    Source : mayenneaujourdhui

  • Le catholique Tamas Sulyok est élu président de la Hongrie

    Publié par Guy de Laferrière le 06 mars 2024

    Le catholique Tamas Sulyok est élu président de la Hongrie

    Tamas Sulyok a été élu président, et donc chef de l’Etat, de Hongrie par le Parlement magyar. Catholique et issu d’une famille de juristes, Sulyok, qui est président de la Cour constitutionnelle du pays depuis 2016, succède à Katalin Novák, qui a dû démissionner après avoir amnistié une personne qui avait dissimulé des abus sexuels.

    Proche du Premier ministre Viktor Orbán

    L’Assemblée nationale hongroise a tenu un vote à bulletin secret au cours duquel Sulyok, proposé par le parti au pouvoir Fidesz, a obtenu le soutien de 134 des 147 députés présents.

    Le nouveau président plaide pour une Europe dans laquelle « les valeurs sont plus importantes que les intérêts ». Dans ses premières déclarations après son élection, il a déclaré :

    “Je peux promettre que même depuis la présidence de la République, j’œuvrerai pour la juste égalité des droits et valeurs constitutionnels fondamentaux.”

    «Par toutes mes actions, je veux exprimer l’unité du fait que nous, Hongrois, sommes un peuple européen fier, avec plus de mille ans d’histoire, déterminé à affirmer nos droits par tous les moyens, et que nous le faisons avec conviction, émotion et humour. » , a souligné Sulyok dans son discours inaugural.

    Il a souligné que son « être hongrois » est ce qui détermine son existence : « Ma langue maternelle, ma culture, ma famille, mon travail, tout y est lié », a souligné Sulyok.

    Sulyok voit la possibilité d’un « système de valeurs » européen composé des « valeurs constitutionnelles individuelles des États membres », qui ne pourrait être indépendant de l’identité nationale.

    Les États membres de l’Union européenne ne pouvaient pas transférer des droits de souveraineté, mais seulement des pouvoirs. Les « facteurs de formation de l’État » sont donc exclusivement les nations politiques respectives. Pour cette raison, l’Union européenne n’est pas un État.

    “Les craintes de nos prédécesseurs selon lesquelles nous nous dissoudrions dans un creuset d’autres nations après le traité de Trianon n’ont peut-être jamais été aussi réalistes qu’aujourd’hui”, a-t-il déclaré.

    La démocratie sans le christianisme mène à la tyrannie

    Habitant de Szeged, Sulyok assiste régulièrement à la messe à la cathédrale du diocèse. Né et élevé dans une famille catholique, sa femme a travaillé dans une mission pastorale franciscaine.

    Il a fait référence à Otto von Habsburg qui avait pour objectif de « créer l’unité d’une Europe chrétienne libérée du nihilisme, de l’athéisme et du communisme ». Sulyok a cité plusieurs déclarations de personnalités, selon lesquelles la démocratie ne peut être que nécessairement chrétienne, car si elle est antichrétienne, elle conduit inévitablement à l’anarchie ou à la tyrannie.

    Le nouveau président avait précédemment déclaré qu’il n’était pas intéressé par la controverse politique :

    «Je ne sais pas quoi faire de la critique politique, car de ma vie je ne me suis jamais intéressé à la politique»

    Il est néanmoins considéré comme très proche du Premier ministre Viktor Orbán. Avec son élection, la crise institutionnelle provoquée par la démission de Katalin Novak prend fin.

    Léo Kersauzie

     

    Source : medias-presse.info

  • Sortie du nouvel ouvrage de Jean-Claude Rolinat : « Grèce 1967-1974 : le septennat des colonels ».

    Publié par Guy de Laferrière le 06 mars 2024

    Thomas Joly

    Sortie du nouvel ouvrage de Jean-Claude Rolinat, membre du Bureau politique du Parti de la France : « Grèce 1967-1974 : le septennat des colonels ».
    Au printemps 1967, la Grèce était plongée dans une crise politique et institutionnelle grave. De plus, le Parti communiste, persuadé de sa popularité, se préparait à instaurer un régime marxiste sanguinaire qui finirait d’achever le pays. Il faut rappeler que nous sommes en pleine « guerre froide » et que le « berceau de la démocratie » est entouré de pays, qu’il s’agisse de l’Albanie maoïste ou de la Bulgarie alignée sur Moscou, bien peu « démocrates ». Ajoutez à cela les tensions ancestrales avec la Turquie voisine ravivées par la question chypriote.
    C’est donc pour éviter une telle perspective que, le 21 avril au petit matin, à Athènes, l’armée s’empare du pouvoir. Elle met à la tête du pays une junte de colonels qui, malgré quelques « remaniements », restera aux affaires jusqu’à l’été 1974.
    Cette période n’a pas été épargnée par les bonnes consciences universelles qui l’ont caricaturée tout en s’obstinant à ignorer ce qui se passait alors dans les Balkans voisins. Certes, elle est loin d’avoir été parfaite et nos critiques, autres que celles de la bien-pensance hypocrite, ne manquent pas. Nous sommes loin de l’Espagne du général Franco ou du Portugal du professeur Salazar. Néanmoins, il aurait été dommage de continuer à ignorer cette expérience somme-toute intéressante. Voilà pourquoi nous lui consacrons ce nouveau Cahier d’Histoire du nationalisme.
     
     

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  • Ceux qui pestent contre l’immigration mais défendent l’avortement sont inconséquents

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2024

    Ceux qui pestent contre l’immigration mais défendent l’avortement sont inconséquents

    Alors que 49 élus RN sur 91 (46 députés et 3 sénateurs) ont voté en faveur de la constitutionnalisation de l’avortement (mais seulement 11 contre, 20 se sont abstenus et quelques uns comme Laure Lavalette ont déserté), Olivier Frèrejacques, président de Liberté Politique, écrit :

    […] Ceux qui pestent contre l’immigration mais défendent l’avortement sont inconséquents. Une civilisation existe par la vitalité de sa population. Une population qui ne veut pas se reproduire est condamnée à mourir, à être remplacée. Refuser l’élan vital et le risque qu’il implique sont le lot d’une société qui meurt et qu’il convient peut-être même d’achever.

    La question de l’avortement est le plus grand tabou de notre temps. On l’a vu avec la polémique CNews où un journaliste a exposé simplement les chiffres de l’avortement et s’est vu condamné par l’ensemble de ses collègues. Ceux qui hier pleuraient sur la liberté d’expression pour avoir été rappelés injustement à l’ordre par l’Arcom ont appliqué à leur collègue ce que la gauche progressiste leur infligeait. Ils ont trouvé la ligne à ne pas dépasser. Il est plus facile, aujourd’hui sur CNews, de nier les massacres israéliens en cours à Gaza que de s’exprimer contre l’avortement.

    La liberté d’expression sera probablement la grande perdante de cette constitutionnalisation de l’avortement. En sanctuarisant cette pratique, le législateur pourra facilement donner les armes de la censure contre les détracteurs de l’IVG. La clause de conscience sera aussi menacée comme l’a évoqué le sénateur Bruno Retailleau. Ce dernier en sait quelque chose puisqu’il a lui-même mis sa conscience catholique de côté lorsqu’il s’est dit « personnellement pour la loi Veil ».

     

    Source : lesalonbeige