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Un lycéen braque sa professeure dans un lycée de Créteil avec une arme factice
À travers la France, Créteil souffre de son image. Pour combler, tant bien que mal, les postes vacants, l’académie revoit tous les ans son exigence à la baisse. Pour preuve, le dernier candidat reçu en 2023 a obtenu une moyenne de 4,05 sur 20. « J’ai eu 5/20 en didactique, qui est le cœur du métier. Ils m’ont prise et je n’étais pas dans les dernières, détaille Gwenaëlle, qui a découvert son classement entre joie et surprise. Les seuls refusés, ce sont ceux qui ont eu un zéro éliminatoire. » L’académie est même ciblée par des candidats moins à l’aise avec les intenses révisions que requièrent ce concours.
C’est pour cette raison que Dylan, jeune étudiant à l’Institut de Nanterre (Hauts-de-Seine), choisit cette zone pour le concours de 2024. « Le concours, ce sera tranquille, se satisfait-il. Si je dois avoir 5/20 de partout, c’est bon je l’aurai. » Une situation que l’on retrouve partout dans l’académie. À Villemomble (Seine-Saint-Denis), Sarah enseigne en binôme avec une lauréate du concours 2023, qu’elle estime peu fiable. « Elle a pris une classe alors qu’elle a eu 2/20 en français, peste-t-elle. Comment peut-on enseigner si on n’est pas capable de bien conjuguer un verbe ? »
" L'immigration et le logement social en France : données exclusives issues de notre étude conjointe avec la @Fondapol. 57% des immigrés originaires d'Afrique sahélienne (Mali, Niger...) vivent dans un logement social et 63% de leurs descendants – soit un taux 6 fois + élevé que les Français sans ascendance migratoire. C'est également le cas de la moitié des immigrés venus d'Algérie ou d'Afrique guinéenne et centrale et de 44% des immigrés marocains ou tunisiens, contre seulement 8% des immigrés chinois."
Importer massivement des pauvres et très pauvres pour qu'ils servent de main d'oeuvre à très/très bon marché, et pour gonfler ainsi les profits de la partie pourrie du patronat, qui ne rêve que d'importer plus (de main d'oeuvre à la limite de l'esclavage salarié) pour gagner plus...
Maxime Le Texier, élu d’opposition appartenant au groupe Alternative municipaliste citoyenne (AMC) revient sur une phrase dite par Jean-Jacques Bolzan à Jamal El Arch, lui aussi élu AMC, lors de la discussion sur l’attribution d’une subvention au “Championnat du monde de cassoulet.
Jean-Jacques Bolzan, “adjoint au maire en charge du Bien manger” (sic) aurait déclaré lors d’une précédente réunion : « Attention monsieur El Arch, dans le cassoulet il y a de la couenne !»
Pour Maxime Le Texier, cette phrase a un « caractère discriminatoire », elle est « le symbole d’un phénomène croissant de nos jours, lié à la progression grandissante des thèmes et des idéologies d’extrême droite, celui du racisme ordinaire et décomplexé. »
Le mieux est d’écouter ce qui nous paraît lunaire mais qui existe vraiment :
La réponse de Jean-Jacques Bolzan, l’adjoint incriminé, ressemble à un ironique tour de cochon fait aux complices de l’islamisme politique :
« Je persiste à dire que, oui, dans le cassoulet il y a de la couenne et ce n’est pas parce qu’il y a monsieur El Arch ou quiconque. Ce n’est pas moi qui ai inventé le cassoulet, il date de la guerre de 100 ans. On ne va pas changer les ingrédients maintenant ».
Bon, quand même, nous n’allons pas, sur MPI, en faire un plat, car ce n’est vraiment pas la fin des haricots !
Trois jeunes franciliens comparaissaient mardi devant le tribunal correctionnel de Paris pour avoir utilisé une carte bancaire appartenant à l’association humanitaire lors d’achats aux Galeries Lafayette (IXe), jusqu’à ce qu’un vendeur donne l’alerte.
1 500 euros pour un survêtement de la marque Céline, 360 euros pour un parfum Louis Vuitton ou encore 129 euros de cigarettes au bureau de tabac… Voilà les étonnantes mentions apparues sur le relevé de compte de la trésorière de l’association Médecins du monde le 20 février. Ce sont en fait les achats qu’ont effectués trois amis, âgés de 21, 22 et 24 ans, avec la carte professionnelle de l’association humanitaire, avant d’être pris sur le fait.
Le jour des faits, les trois jeunes prévenus, qui vivent en Île-de-France, se retrouvent dans le IXe arrondissement de Paris. Munis d’une carte bleue dont ils connaissent le code, ils flânent dans les Galeries Lafayette, et réalisent quelques achats onéreux. Alors qu’ils tentent de procéder à un nouveau paiement, la carte ne passe pas. Rapidement, le vendeur d’une enseigne de luxe comprend qu’elle n’appartient pas à cette bande à l’allure adolescente. Les trois amis sont interpellés et placés en garde à vue. Les policiers retrouvent 2 200 euros en liquide sur Inès, une des personnes mises en cause.
Israël, c’est-à-dire son Premier ministre Netanyahu, cherche l’escalade en frappant le consulat d’Iran à Damas en Syrie et tuant ainsi le général Reza Zahedi et d’autres membres des Gardiens de la révolution. Une autre des lignes rouges est franchie. L’escalade est aux portes.
Le consulat d’Iran à Damas bombardé par Israël
L’action militaire de Tel-Aviv explicitement contreLe consulat d’Iran à Damas bombardé par Israël , bien que sur le territoire « neutre » de la Syrie, franchit une autres des lignes rouges qui limitent normalement la portée des conflits de l’après-Seconde Guerre mondiale.
Tout d’abord parce qu’Israël a frappé un haut responsable d’un pays qui n’était pas officiellement en guerre. Par analogie, c’est comme si la Russie tuait le chef du Pentagone ou le secrétaire de l’OTAN parce que les États-Unis soutiennent l’Ukraine avec des armes, des renseignements et bien plus encore.
Et qui plus est, au sein d’une nation souveraine, qui n’est pas non plus officiellement impliquée dans le conflit en cours, et enfreignant les règles reconnues par le monde entier qui font des bureaux diplomatiques des lieux inviolables.
Israël attaque l’Iran mais en Syrie, et Netanyahu cherche l’escalade
Téhéran lui-même était apparu indirectement il y a quelques mois à la fenêtre de cette guerre confuse, en attaquant Tel-Aviv mais toujours sur le territoire neutre de la Syrie, ainsi qu’au Pakistan, en se concentrant sur l’objectif du Mossad, qui est l’une des pierres angulaires du renseignement israélien.
Les affrontements « à distance » entre les deux camps se poursuivent, mais cette fois c’est Israël qui attaque l’Iran, avec un raid à Damas, comme le rapporte Ansa, touchant un bâtiment du consulat iranien et éliminant plusieurs pasradans, dont le général Mohammad Reza Zahedi et son adjoint. Ce dernier était considéré comme un objectif stratégiquement très important, en tant que commandant de la Force Qods et responsable de la Syrie et du Liban, en plus d’être un lien essentiel entre Téhéran et le Hezbollah, en plus d’être selon toute vraisemblance l’homme qui a garanti les armes au Parti de Dieu.
« La réponse sera dure » : des messages très forts de Téhéran
L’ambassadeur iranien en Syrie, Hossein Akbari, le dit : « La réponse sera dure ». Le raid a visé Damas et le siège du consulat où se trouvait également la résidence de l’ambassadeur, mais ce dernier est sorti indemne de l’attaque. Bref, les variables d’une éventuelle réaction iranienne sont nombreuses, mais Téhéran a sagement décidé que la réponse ne se ferait pas en mode escalade, mais en mode froid. Il faut dire que la partie israélienne n’a pas encore confirmé avoir revendiqué la responsabilité de l’attaque.
Les victimes, quant à elles, seraient actuellement au nombre de 11, bien que la source soit le controversé « Observatoire syrien des droits de l’homme » qui avait tant suscité de discussions au moment de la guerre civile en Syrie ces dernières années.
Très vives critiques également de Moscou, qui qualifie l’attaque d’ « inacceptable », dans une note du ministère des Affaires étrangères : « Nous condamnons fermement cette attaque inacceptable contre la mission consulaire iranienne en Syrie », lit-on. Entre-temps, le Conseil de sécurité de l’ONU tiendra aujourd’hui une réunion demandée par le Kremlin.
Les États-Unis ont immédiatement pris leurs distances avec l’attaque, affirmant à Téhéran qu’ils n’y étaient pour rien. Bien sûr, mais le soutien inébranlable à Israël demeure, malgré les mesures flagrantes et tragiques prises, qui pourraient potentiellement déclencher une guerre à grande échelle.
Pendant ce temps, la crise politique israélienne ne s’arrête pas
Le gouvernement de Benjamin Netanyahu semble de plus en plus dans la balance, discuté par l’opposition et même par certains alliés. Les manifestations contre le Premier ministre sur les places durent maintenant depuis deux jours consécutifs. Le fait que Tel-Aviv n’ait pas réussi à dénouer le lien avec la bande de Gaza pèse lourdement, s’attirant même les critiques de l’UE et des États-Unis, qui ont toujours été les alliés incontestés de Tel-Aviv.
La dernière opération de l’armée israélienne s’est terminée, en pratique, avec aucun gain : après un siège de plusieurs jours à l’hôpital Shifa, les soldats ont dû se retirer, tandis qu’une « lutte contre le Hamas » se poursuit, annoncée comme telle mais concentrée dans des attaques massives qui sont de moins en moins crédibles aux yeux de l’opinion publique occidentale.
Notamment des témoignages concernant le siège de l’hôpital, dont celui du Docteur Paola Manduca, du « Réseau de santé italien pour Gaza », parlent des horreurs vécues : avec des patients laissés sans nourriture, sans eau potable, sans médicaments et sans gants (les médecins ont dû utiliser des sacs en plastique tant qu’ils duraient) ; le déshabillage systématique, même pendant des heures, des médecins qui tentaient de négocier avec les assiégeants ; les exécutions sommaires de nombreux civils à proximité de l’hôpital et de certains même pendant la « route sûre » indiquée pour l’évacuation. Après l’opération, l’hôpital est désormais inutilisable, ayant été dévasté et incendié, comme le rapporte également Médecines sans frontières.
Netanyahou, et pas seulement lui, rêve-t-il d’une guerre à grande échelle qui détruirait tout
Voici le sous-titre : « L’armée israélienne affirme que 9 000 terroristes ont été tués à Gaza depuis le début de la guerre. Les responsables de la défense et les soldats affirment cependant à Haaretz qu’il s’agit souvent de civils dont le seul crime a été de franchir une ligne invisible tracée par Tsahal. »
Au-delà du contenu, qui est lui aussi significatif, l’importance de l’article réside dans le fait que les soldats israéliens ont commencé à parler de personnes tuées simplement parce qu’elles se trouvaient au mauvais endroit, au mauvais moment. Tôt ou tard, les voix de la clandestinité commenceront à émerger avec plus de force, comme ce fut le cas lors des horreurs de Sabra et Chatila.
C’est aussi pourquoi Netanyahou, et pas seulement lui, rêve d’une guerre à grande échelle qui détruirait tout. Pour sauver le « soldat » Netanyahu…