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On ne sait plus quel(s) terme(s) employer, tant l'odieux le dispute au ridicule...
Pendant que les Français souffrent (augmentation des pauvretés, "mal logement", précarité...); que la France vit dans l'insécurité permanente (bientôt, ce sera un assassinat par jour, à ce rythme-là...); qu'elle ne cesse de reculer, au plan mondial, dans quasiment tous les domaines... la classe politique fait mu-muse : La France Islamiste, pour faire oublier que la guerre civile a commencé en son sein) lance une grotesque procédure de destitution du semble-président; le PS accepte et "vote pour" qu'on la présente mais déclare qu'il ne la votera pas ! Mais de qui se moquent-ils, ces "bien nourris" du Pays légal ? Avec leurs très confortables salaires assurés à la fin du mois, et tous les très confortables avantages qui vont avec, alors que - pour de plus en plus de Français - les difficultés matérielles continuent d'augmenter, inexorablement...
Eh, bien ! De nous ! Oui, ces bouffons du Pays légal se moquent de nous, des Français, de la France !
lafautearousseau fait sienne la juste réaction de Noir Lys, sur "X", à ce grand guignol de très mauvais goût et pas drôle du tout; à cette insulte, à ce crachat sur tous les Français :
"Quelle perte de temps. Allons à l'essentiel : refermer définitivement la ridicule, mais si coûteuse, parenthèse républicaine. (et revenir au seul régime qui mena la France au pinacle de la civilisation occidentale )"
Louis de Bourbon, duc d’Anjou, rend hommage à Louis XVIII sur “Boulevard Voltaire” :
Voilà 200 ans que s’éteignit le roi Louis XVIII, dernier souverain de France à être mort sur son trône. Le parcours de ce monarque, bien que très largement méconnu, mérite pourtant qu’on s’y attarde. En effet, pour moi, comme pour les Français et notamment leurs dirigeants, il peut être une figure exemplaire et positive. Alors que son avènement, en 1795, s’est fait dans les humiliations et les affres de l’exil, il n’a jamais renoncé ni à ses devoirs ni à ses droits. En 1814, accédant au pouvoir, conscient de la charge qui lui incombait, il fit tout ce qui lui était possible pour ramener l’ordre et la justice dans un pays en proie aux dérives les plus sanglantes et aux aventures militaires les plus périlleuses, bien que celles-ci fussent auréolées d’une gloire certaine. En effet, rarement notre patrie ne fut si proche d’un démembrement pur et simple au sortir des guerres napoléoniennes. Vingt-cinq ans d’errement avaient mis la France à genoux, saignée à blanc par des guerres intérieures et extérieures continues. Lorsque Louis XVIII accéda à la réalité du pouvoir, il put reprendre consciencieusement le travail multiséculaire des Bourbons : redonner à la France une place dans le concert européen grâce à une diplomatie audacieuse, œuvrer au maintien de la paix sur le continent et, enfin, ramener la concorde et l’unité dans un pays déchiré. Ainsi, la figure royale allait à nouveau s’imposer comme un vecteur de paix sociale, d’harmonie européenne, en adaptant la monarchie aux exigences du temps, comme cela se fit depuis les origines capétiennes. Avec Louis XVIII, et plus que jamais dans l’Histoire de France, le roi a alors parfaitement incarné sa fonction de père pour nombre de Français qui n’aspiraient qu’au repos et à la prospérité.
Comment ne pas se référer, aujourd’hui, à une telle figure alors que l’aura de la France décline à l’international dans un contexte général de réarmement et de multiplication des conflits, notamment aux marges de l’Europe ? Où est passée la légendaire force diplomatique française ? Quel diplomate aura l’envergure de Talleyrand pour rendre à la France une crédibilité face à nos partenaires et nos adversaires ? Gouverner implique de s’entourer d’un personnel compétent, capable d’assurer à la France sa destinée de nation si particulière aux yeux du monde. De la même manière, le souci du vieux monarque pour la paix et l’unité de son pays ne peut que nous faire réfléchir sur la nécessité de trouver la force de la justice mais aussi du compromis pour ramener l’ordre et la prospérité dans un pays fatigué par des divisions délétères.
Autant de points dont les actuels gouvernants pourraient s’inspirer pour redonner un souffle vital à la France. Autant de points qu’il est juste de mettre au crédit de Louis XVIII qui, par là même, marcha dans les pas d’Henri IV, roi si cher à la mémoire des Français. Ce bicentenaire, au-delà des commémorations, doit nous faire comprendre que le passé peut être un flambeau qui éclaire notre marche du temps présent, résolument tournée vers l’avenir. Ce règne nous invite à ne jamais étouffer les nombreuses espérances qui sommeillent dans nos cœurs à tous. Une ferme détermination, l’expérience des erreurs et des malheurs du temps et, enfin, le souci de la France et des Français au-delà de nos personnes sont des ingrédients nécessaires pour rebâtir patiemment notre pays et lui redonner la place qu’il n’aurait jamais dû quitter. Puissent les règnes des rois qui ont fait la France toujours nous servir de modèle et d’inspiration.
Les associations constatent le retour des populations les plus précaires sur la voie publique et peinent, notamment, à reprendre contact avec les migrants, qui craignent les interventions policières. Selon le dernier décompte du Revers de la médaille, durant les Jeux, autour de mille personnes ont été envoyées dans des centres d’hébergement en grande banlieue. Des centaines ont été expulsées de la voie publique et dirigées dans les centres régionaux. Mais pour un migrant ou une famille qui a accepté ce déplacement, combien sont restés terrés dans la capitale ?
La Kangoo roule doucement le long du quai des Célestins, à Paris. A son bord, le chargé de projet de la veille sanitaire et un docteur bénévole de Médecins du monde, un gilet cargo aux couleurs de l’association humanitaire sur le dos, scrutent la galerie couverte jouxtant la Cité internationale des arts. « C’est ici que se réfugient les jeunes demandeurs d’asile en recours. Mais ils ont déjà été délogés… », remarque Milou Borsotti, le salarié de l’association, en cette matinée froide de mi-septembre. Au niveau des quais bas, pas trace non plus de ces personnes qui, le reste de l’année, squattent sous le pont Marie. […]
Direction La Chapelle, où les sans-abri se réfugient d’habitude tous les soirs sous le métro aérien. Là, deux hommes se sont posés sur une chaise. En face, le long de la grille du square, une grappe de jeunes Soudanais se réchauffe au soleil. L’ensemble du groupe a été chassé au petit matin, et une camionnette siglée « Propreté de Paris » a ramassé les cartons qui leur servent de protection la nuit.
Les deux associatifs, gros sac médical sur le dos, s’approchent et demandent si les deux hommes ont besoin de soins. Hamed Taïeb montre son oreille douloureuse. Le médecin diagnostique un tympan percé. Des gouttes et des antibiotiques sont confiés à l’homme, qui explique attendre le renouvellement de sa carte de réfugié et avoir perdu sa couverture maladie universelle.
Le médecin s’active tandis que le responsable associatif donne des informations sur les permanences de Médecins du monde, quand arrive un jeune Afghan, chemise blanche impeccable, coiffure soignée. Ahmadzai Koudouz, demandeur d’asile arrivé à Paris il y a deux ans après avoir été « dubliné » en Autriche (selon le règlement européen de Dublin, qui instaure une procédure de renvoi dans le premier pays d’entrée de la zone Schengen), raconte sa nuit écourtée par une intervention policière à Stalingrad. […]
La Mairie de Paris, mobilisée pour les mineurs, constate, elle aussi, le retour des populations précaires sur la voie publique. « Des efforts ont été faits durant les JO, mais ce qui a été mis en place ne l’a pas été de manière pérenne. Au lieu d’ouvrir un centre d’accueil pour les primo-arrivants, comme nous l’avions réclamé avec les associations, la préfecture, sans nouvelle directive, continue d’appliquer la même politique qui vise à éviter tout point de cristallisation. Sans surprise, on a les mêmes phénomènes », constate un responsable de la Ville. […]
Très bonnes remarques de Maxime Leroy, Délégué général adjoint du Parti de la France :
"Un des premiers discours de Sarah Knafo au Parlement Européen aura donc été de pleurnicher sur le sort des Juifs en Europe.
Juifs en danger parce que notamment des Juifs de gauche les font venir par dizaines de millions, ce qu'elle ne dit évidemment pas.
Dans leur grande majorité, les "Juifs de droite" ne sont pas contre l'immigration parce qu'elle remplace la population blanche européenne et que ça leur est insupportable, non, ils le sont car cela met en danger leur propre communauté et que l'islam est une religion ennemie. C'est avant tout une réaction communautaire et religieuse, centrée autour de leur nombril, et l'empressement qu'à eu Sarah Knafo à pleurnicher au Parlement Européen le prouve une nouvelle fois.
Eric Zemmour avait au moins la décence de ne pas entrer dans ce schéma, tout du moins en public.
C'est cependant tout de même un discours communautariste que les Blancs devraient utiliser plus souvent, car oui nous, les Blancs, sommes en danger de mort sur notre propre sol.
Les Juifs, quant à eux, ont leur terre de repli loin d'ici.
Hier à trois heures de l’après-midi, au Liban mais aussi en Syrie, les téléavertisseurs des miliciens pro-iraniens du Hezbollah se sont transformés en appareils tueurs. Des milliers de bipeurs ont explosé à l’unisson, le chaos était partout : 12 morts, 200 blessés en soin intensif et quelques 4000 blessés.
« La plus grande opération d’un service secret de ce siècle »
Ce n’est pas un James Bond, c’est au-delà : l’opération secrète qui a fait exploser les bipeurs ou téléavertisseurs du Hezbollah hier est exceptionnelle, « la plus grande opération d’un service secret de ce siècle », et certains la qualifieront de terroriste. La terreur, inconnue, venue de nulle part et partout en même temps, s’est abattue sur le Liban mais aussi la Syrie, hier après-midi 17 septembre 2024. Le nombre de morts est monté aujourd’hui à 12 dont des enfants. Et parmi les 4000 blessés, 200 sont en soins intensifs. « Israël est derrière tout ça » commentent les autorités libanaises et iraniennes.
Les explosions auraient été provoquées par une attaque de pirate informatique qui aurait déclenché des micro-bombes à l’intérieur des “pagers” des ‘combattants de Dieu’ du Hezbollah. Le risque d’escalade est désormais élevé. Dans des vidéos et des photos sur les réseaux sociaux, on voit des hommes en sang assis ou allongés sur le sol et d’autres sont transportés d’urgence à l’hôpital. L’ambassadeur iranien Mojtaba Amani a également été touché. Parmi les victimes figuraient une fillette de 10 ans, fils d’un député libanais du Parti de Dieu, Ali Ammar, et trois membres de la milice chiite. Les images montrent également des explosions dans des magasins et un marché. Un responsable du Hezbollah a souligné : « Il s’agit de la plus grande atteinte à la sécurité jusqu’à présent » après un an de guerre avec Israël. La condamnation du Hezbollah est sévère : « Israël est totalement responsable, il y aura un juste châtiment ».
Le Mossad, les Services Secrets israéliens, derrière cette opération d’envergure
Les explosions ont été enregistrées dans diverses régions du Liban, notamment à Dahieh, fief du Hezbollah, dans la zone sud de Beyrouth, dans la vallée de la Bekaa, à l’arrière du mouvement armé et au sud du Liban. Ces événements surviennent quelques heures seulement après que le cabinet de sécurité israélien a fait du retour en toute sécurité des habitants du nord du pays un objectif officiel de la guerre à Gaza. Israël a averti à plusieurs reprises qu’il pourrait lancer une opération militaire pour éloigner le Hezbollah de la frontière.
Face à une opération de piratage d’une telle envergure, incroyable par sa complexité et sa réussite, le Mossad, les Services Secrets israéliens, est pointé du doigt. La stratégie du chaos a touché près de trois mille militants dans tous les bastions du Parti de Dieu au pays des cèdres, de Beyrouth à Beeka en passant par le sud du Liban et même au-delà de la frontière. Le Hezbollah savait bien que les experts israéliens en guerre électronique et en interception avaient réussi à pénétrer le réseau de communications cellulaires et fixes, autonome et indépendant du reste du pays. En février, Hassan Nasrallah avait demandé aux miliciens de se débarrasser de leurs téléphones portables et d’utiliser le vieux téléavertisseur banal mais considéré comme sûr, qui permet également d’envoyer de courts messages texte codés. Mais l’abandon des téléphones portables n’a pas aidé à arrêter le bras long du Mossad. L’État hébreu serait donc parvenu à violer les systèmes de communication de l’organisation chiite.
Des explosifs ajoutés dans les bipeurs.
D’après les premières reconstitutions, il y a quelques mois, les pro-Iraniens ont acheté un gros lot de téléavertisseur Gold Apollo AR924. Le chef et fondateur de la société du même nom, Hsu Ching-kuang, a déclaré, une fois que les photographies des téléavertisseurs explosés ont fait le tour du monde que les appareils, en fait, ont été assemblés par la société taïwanaise, mais sous licence d’un distributeur européen dont le nom n’a pas été initialement divulgué, qui a conclu des relations commerciales avec Gold Apollo il y a environ trois ans.
Grâce à la surveillance ou à un espion interne, le Mossad a connu à temps le changement de stratégie de communication. L’opération doit avoir été réalisée avant l’arrivée du lot de milliers de téléavertisseurs au Liban. À ce stade, ils ont infecté le système de communication désuet avec un logiciel comme le cheval de Troie, qui activait la batterie comme une mini-bombe avec une simple commande à distance. Plus vraisemblablement encore, la batterie a été remplacée en amont, avant la commande, avec ajout d’explosifs. Les miliciens touchés auraient parlé d’une surchauffe de l’appareil avant le fatidique “bip”, qui a déclenché l’explosion. Cette dernière a semé la panique partout au Liban.
Un responsable américain a déclaré qu’Israël avait informé les États-Unis de la fin de l’opération, mais que l’armée israélienne avait refusé de commenter. Un coup dur pour le groupe terroriste soutenu par l’Iran. « En une minute, l’ennemi a réussi à infliger au Hezbollah l’un de ses pires coups depuis le début du conflit », a déclaré le porte-parole de la milice, ajoutant que « l’ennemi a poussé la résistance hors des limites des règles d’engagement traditionnelles. Nous sommes face à une situation nouvelle. »
La guerre entre Israël et le Hezbollah, c’est-à-dire l’Iran, et dont le malheureux Liban sera le théâtre, est plus proche que jamais.