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Le Parti de la France - Page 33

  • Coalition des volontaires : on ne change pas une équipe qui perd

    Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2025

    Auteur : 
    L’aveugle et le boiteux…

    J’ai regardé attentivement pour vous la conférence de presse des présidents Macron et Zelensky suite à la réunion de la coalition des volontaires organisée le 4 septembre à Paris.

    Je ne voudrais pas avoir l’air d’enfoncer des portes ouvertes, mais quand certains rabâchent des mensonges et des âneries pour qu’elles deviennent des vérités, il convient de répéter la vérité afin que leurs inepties demeurent des mensonges.

    Ainsi, Emmanuel Macron nous dit :

    « Le camp de la paix est à Washington, Kiev, et dans toutes les capitales d’Europe et chez tous les alliés de cette coalition des volontaires ».

    Il est bon de voir que Macron valide la nouvelle posture de Washington qui a considérablement évolué depuis l’arrivée de Donald Trump, il y a moins d’un an, à la Maison Blanche.

    Il y a encore moins d’un an en effet, les contacts entre les États-Unis et la Russie étaient rompus. Entre février 2022 et janvier 2025, pratiquement aucun contact entre la Russie et les États-Unis au niveau ministériel n’a eu lieu. Pire, quand le « camp de la paix » s’est réuni à Bürgenstock en Suisse en juin 2024, la Russie n’avait même pas été conviée. Et moi qui croyais naïvement que pour faire la paix il fallait être deux.

    Ce que Macron oublie dans sa dialectique orwellienne, c’est que précisément le fameux « camp de la paix » n’a eu de cesse que de jeter de l’huile sur le feu de ce conflit. Ainsi, personne n’a oublié que le Premier ministre britannique Boris Johnson fit tout pour faire capoter l’accord de paix négocié à Istanbul en avril 2022 et sur le point d’être signé par Moscou et Kiev.

    Combien de malheurs auraient pu être évités si une puissance étrangère n’était pas venue faire du sabotage dans un conflit qui, à l’évidence, ne la regardait pas ? Combien de malheur et combien de territoires perdus pour l’Ukraine aurait été évités.

    Il faut également revenir sur le terme de « guerre d’agression ».

    Ce sont les États européens et américains qui ont agressé l’Ukraine en répandant le ferment de la déstabilisation en 2014. La Russie n’a fait que réagir notamment pour protéger des populations agressées, ayant ainsi le droit international de son côté. J’ajoute que c’est « le camp de la paix », toujours lui, qui a saboté les Accords de Minsk, avouant toute honte bue qu’il s’agissait d’une manœuvre dilatoire. On notera au passage que c’est aujourd’hui Macron qui accuse la Russie de manœuvres dilatoires. Pardon encore une fois de répéter des choses que le lecteur éclairé sait déjà, mais la pratique de l’inversion accusatoire par les gouvernements occidentaux nous y contraint.

    Macron a raison de rappeler que les faits sont têtus car la Russie n’a eu de cesse de chercher des solutions pour éviter le conflit, rendu inévitable par l’intransigeance des occidentaux et notamment des États-Unis. Il eût suffi à l’époque de garanties solides de non adhésion de l’Ukraine à l’OTAN (ce qui aujourd’hui n’est plus guère d’actualité) et de protections efficaces des populations du Donbass pour que Moscou renonce à son intervention.

    Ensuite, je ne sais pas si c’est l’effet des substances, mais Macron devrait tout de même faire un peu attention.

    Car si l’armée russe avait effectivement perdu 1 million d’hommes pour conquérir 1% du territoire, on se demande bien comment elle ferait pour avancer comme elle avance aujourd’hui.

    Personne hélas ne peut contester qu’il y a eu trop de pertes de part et d’autre, mais il me semble qu’à ce niveau-là de l’État, un minimum de mesure s’impose. Bon il est vrai que la conférence ce de presse réunissait exclusivement des journalistes amis, mais tout de même…

    Enfin, et pour conclure, on notera que la réunion de Paris n’a abouti strictement à rien.

    Car il est bien beau de statuer sur ce que l’on va faire après le cessez-le-feu, mais faudrait-il qu’il y ait un cessez-le-feu. Or le feu ne pourra cesser qu’aux conditions de celui qui a l’avantage sur le terrain.

    Et sur le terrain, c’est la Russie qui a l’avantage.

    De surcroît, sans vouloir faire de peine à personne, je doute qu’une coalition composée entre autre, de la Belgique, du Luxembourg ou de la Nouvelle-Zélande soit suffisante pour faire peur à Poutine.

    Je m’en voudrais de ne pas aborder brièvement la question de savoir ce qu’il convient de faire si Vladimir Poutine n’obtempère pas devant les injonctions des charlots. Ils ont prévu de nouvelles sanctions. C’est vrai que ça a tellement bien marché jusque-là qu’il serait dommage de ne pas appliquer une formule aussi fructueuse.

    De la même manière qu’on s’évertue à appliquer des solutions qui ne marchent jamais, on ne change pas une équipe qui perd.

    Jacques Frantz

     

    Source : medias-presse.info

  • Le gouvernement envisage d’imposer une SUR-PRIME d’assurance de 5 % à TOUS LES FRANÇAIS pour couvrir les dégâts liés aux ÉMEUTES.

    Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2025

    Le gouvernement envisage d’imposer une SUR-PRIME d’assurance de 5 % à TOUS LES FRANÇAIS pour couvrir les dégâts liés aux ÉMEUTES.
    Selon Les Échos, ce projet a connu « une avancée significative » pendant l’été et devrait figurer dans le PROCHAIN BUDGET.
    Ce fonds, estimé à 775 millions d’euros par an, viendrait compléter les assureurs pour indemniser les sinistres liés aux émeutes… et serait donc payé par le CONTRIBUABLE.
  • « Rien n’arrête la complosphère »… sauf s’il s’agit de Poutine !

    Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2025

    Quand il y a des décès dans l’entourage de Poutine, c’est suspect pour nos médias. Exemple avec France Inter :

    Les morts “accidentelles” dans l’entourage de Vladimir Poutine

    En revanche… quand 6 candidats de l’AfD décèdent dans un seul Land (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), les médias français indiquent que cela “alimente les conspirationnistes”.

     

    Source : lesalonbeige

  • Campagne législative partielle (82)

    Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2025

    Réunion du 4 septembre 2025 campagne législaive du Tarn et Garonne.jpg

    Petite réunion avant de se lancer dans la campagne législative partielle de la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne des 5 et 12 octobre.

  • «J’avais peur qu’il me tue» : le terrible témoignage de Sophie, l’ex-femme du Tunisien arrivé clandestinement en 2019 et abattu à Marseille (mariage de 2020 à 2024)

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2025

    Le Figaro a pu échanger en exclusivité avec son ancienne femme, Sophie, 51 ans. Elle s’est mariée avec Abdelkader D. en octobre 2020 en Charente-Maritime. Elle a fait sa connaissance en octobre 2019 à La Rochelle, à une période où le Tunisien vivait chez une autre femme.

    «Au départ, j’ai rencontré quelqu’un de gentil et d’agréable», nous confie Sophie. Selon sa version, l’homme, originaire d’un petit village tunisien situé non loin de la frontière algérienne, est arrivé clandestinement en France en 2018 depuis l’Italie en passant par les Alpes. Toujours selon ses dires, il serait passé par plusieurs centres de rétention administrative (CRA) en 2020 avant d’être libéré pendant la période du Covid et de revenir à La Rochelle.

    Quelques mois plus tard, en octobre 2020, Abdelkader D. et Sophie se marient, à Lagord, une petite commune de Charente-Maritime. Puis ils s’installent chez elle à Périgny, dans la banlieue est de La Rochelle. «Après le mariage, il a commencé à être violent avec moi, à me mettre des claques», relate Sophie. «Il était parfois gentil et adorable et d’un coup il devenait nerveux et agressif. Il avait des changements d’humeur imprévisibles, ça me dépassait», dépeint-elle.

    Sophie découvre qu’Abdelkader fume des joints mais, surtout, prend de la cocaïne. Totalement accro aux stupéfiants, l’homme est «tout le temps parti»«Il devait aller chercher sa dose. Ses sautes d’humeur constantes, c’était le manque», estime Sophie. De tendance paranoïaque, Abdelkader l’accuse régulièrement de le tromper.

    Un soir, alors qu’elle va le chercher en voiture au travail, l’homme se montre d’une violence inouïe. «Il m’a tirée par les cheveux et m’a craché au visage pendant que je conduisais, ça a été la fois de trop», se souvient Sophie. «J’avais tellement peur de lui que je n’ai pas porté plainte. Je me suis dit : “Ça va être pire, ça va faire monter sa haine, il va me tuer”», poursuit-elle.

    Sophie élabore une stratégie pour se séparer d’Abdelkader «sans être violentée ou tuée». En avril 2022, elle lui demande de quitter son domicile tout en lui trouvant un point de chute chez son propre père : «Pendant une période, il est allé vivre chez mon papa. Mais il a encore plus sombré dans l’alcool et la drogue». Sophie tente de le mettre à distance mais l’homme la harcèle par message, la menace de mort. Il vient parfois pleurer devant sa maison.

    Toujours selon Sophie, Abdelkader aurait fini par partir de chez son père en septembre 2023 après avoir rencontré «une femme venue du pays». C’est seulement à cet instant qu’elle aurait enfin eu un peu de répit. Son divorce avec Abdelkader a été officialisé en juillet 2024. (…)

    Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a indiqué mardi soir que le suspect «avait une carte de séjour qui devait se terminer en 2032». (…)

    Le Figaro via fdesouche