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  • «Le téléphone, c’est un espion, c’est un mouchard que vous avez dans votre poche» prévient Nicolas Lerner, patron de la DGSE

    Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2025

    Doute-t‑on encore de la confidentialité de nos communications ? «Le téléphone, c’est un espion, c’est un mouchard que vous avez dans votre poche. (…) Les conversations et les messages que vous avez peuvent être interceptés», affirme Nicolas Lerner, directeur général de la Sécurité extérieure. À l’heure où les Français misent sur les technologies pour protéger leur vie privée, les risques d’espionnage numérique s’intensifient, touchant chaque utilisateur de smartphone et chaque échange numérique, aussi banal soit‑il.

    Une surveillance désormais incontournable

    Dans un entretien accordé à France Inter le 10 novembre 2025, Nicolas Lerner a mis en garde contre les illusions de sécurité conférées par les applications de messagerie. Selon le chef des services secrets français, «Il n’y a pas d’application qui vous garantisse une confidentialité à 100% de vos échanges». Même les systèmes réputés cryptés, tels que Telegram ou Signal, ne protègent pas totalement des tentatives d’interception, qu’elles émanent de forces de l’ordre ou d’acteurs malveillants.

     

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    Nicolas Lerner précise : «Il faut considérer, c’est ce que nous faisons aux services, qu’un téléphone, ce que vous échangez dans votre téléphone, les conversations que vous avez, les messages que vous avez, peuvent être interceptés». Plusieurs logiciels sont capables d’intercepter les messages avant leur chiffrement, rendant la promesse de sécurité limitée, y compris pour les utilisateurs aguerris.

    De l’espionnage à la surveillance de masse

    Le constat dressé par Nicolas Lerner rejoint celui des experts en cybersécurité. Comme le souligne Roxane Suau, spécialiste chez Pradeo interrogée par TF1, «notre téléphone est un véritable espion». Les applications les plus anodines peuvent collecter et transmettre des données personnelles non strictement nécessaires à leur fonctionnement : carnet de contacts, journal d’appels, voire accès à la localisation ou à la caméra. Chaque installation d’application, chaque utilisation de fonctionnalités connectées multiplie les points de vulnérabilité du smartphone du citoyen.

    Au‑delà du piratage par des cybercriminels, la loi française autorise – sous contrôle strict – l’activation et la géolocalisation à distance des téléphones portables des suspects dans le cadre d’enquêtes judiciaires, d’après le site Le club des juristes. Cependant, la collecte des voix et images à l’insu de l’utilisateur demeure encadrée et limitée, afin de protéger le respect de la vie privée. Les débats hexagonaux sur la sécurité numérique interrogent constamment «jusqu’où doit aller la surveillance pour garantir l’ordre public sans bafouer les libertés individuelles».

    En Chine, la surveillance de masse s’appuie sur la combinaison de techniques ultra‑sophistiquées d’écoute et de contrôle numérique : caméras interconnectées à reconnaissance faciale, analyse en temps réel des communications, traçage des déplacements via applications mobiles et collecte intensive des données personnelles. Les citoyens chinois, dont chaque acte est enregistré et évalué dans un vaste système de crédit social, voient leur quotidien scruté, noté et parfois sanctionné, selon leur niveau de loyauté ou d’obéissance au régime. Les technologies de surveillance couvrent aussi bien les échanges téléphoniques que les réseaux sociaux, permettant au parti de construire un «double digital» pour chaque individu, passible de surveillance et de manipulation.

    Précautions et nouveaux réflexes

    Face à ces constats, experts et autorités recommandent d’adopter de nouveaux réflexes : limiter les installations d’applications inutiles, vérifier les autorisations accordées, privilégier la désactivation du micro ou de la caméra hors usage, et rester attentif aux nouveaux risques de piratage ou d’interception, y compris sur des réseaux Wi‑Fi publics ou des messageries considérées comme sécurisées.

    Nicolas Lerner le martèle : «Aujourd’hui, il n’y a pas une solution qui vous prémunisse à 100% du risque d’être intercepté et écouté». En filigrane, l’appel à la prudence s’adresse à tous : le smartphone, compagnon discret du quotidien, peut se transformer en outil d’espionnage potentiellement omniprésent, au‑delà des seules intentions de ses détenteurs.

    source : The Epoch Times via Strategika

  • Video virale : au Royaume-Uni, un homme rattrape le voleur de son téléphone

    Publié par Guy Jovelin le 21 septembre 2025

    Certains internautes notent qu’un autre homme blanc vient à son aide (est-ce le début d’un changement des mentalités?) mais qu’en revanche, les personnes non blanches – comme le voleur – ne bougent pas, sinon pour inviter les victimes à se « calmer » vis-à-vis du voleur.
    Beaucoup d’Occidentaux ignorent les dynamiques et solidarités raciales, qui expliquent pourtant beaucoup de choses.

    https://x.com/F_Desouche/

     

  • Paris : un homme malentendant violemment agressé par un groupe de jeunes pour son téléphone ; deux clandestins mineurs algériens interpellés

    Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023

    Un homme souffrant d’un handicap auditif a été agressé dimanche soir, porte de Clignancourt à Paris, par plusieurs individus. Deux mineurs algériens ont été placés en garde à vue.

    […]

     

    CNews via fdesouche

  • Saint-Nazaire (44) : il perd son téléphone en agressant des passants au couteau… et se rend au commissariat pour le récupérer ; un migrant, sous le coup d’une OQTF, arrêté

    Publié par Guy de Laferrière le 30 décembre 2022

    Le 28 décembre 2022, la brigade de nuit est intervenue près d’un bar de Saint-Nazaire. Un groupe de personnes s’est fait agresser au couteau suite à un différend.

    (…) Selon les premières investigations, un homme aurait menacé un groupe d’individus avec un couteau, suite à un différend sur fond d’alcool, avant de s’enfuir.

    Une lame de 20 cm

    Sur place, les policiers découvrent des objets pouvant appartenir au fuyard, notamment un téléphone portable ainsi qu’une chaîne de cou avec des initiales.

    Un couteau de cuisine, avec une lame de 20 cm, susceptible d’avoir été utilisé par le suspect, est également récupéré par les policiers et saisi pour les besoins de l’enquête.

    Au cours de la nuit, l’agresseur présumé se présente finalement au commissariat de police pour récupérer ses effets.

    Il est alors interpellé et placé en garde à vue pour violences volontaires aggravées avec arme.

    L’homme, âgé de 28 ans, fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).

    Actu.fr via fdesouche

  • Prison de Perpignan : les surveillants retrouvent du shit, des câbles et un téléphone, le tout dans le rectum d’un détenu

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2020

    Par  le 10/08/2020

    Prison de Perpignan : un détenu tente de cacher du cannabis et un téléphone portable dans son rectum

    […]

    Après un passage au parloir famille, un homme incarcéré aurait tenté de ramener en cellule 50 grammes de résine de cannabis, deux cordons de chargeur et un téléphone portable dissimulés dans son rectum. Les surveillants ont été alertés après que la personne concernée a fait sonner un portique de sécurité. Une fouille au corps a alors été réalisée.

    L’UFAP UNSA Justice souligne « le professionnalisme et la difficulté du métier de surveillant pénitentiaire

    […]

    L’article dans son intégralité sur L’Indépendant via fdesouche