En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Dans son rapport sur La place de la fiscalité de l’énergie dans la politique énergétique et climatique française, la Cour des Comptes avertit (page 75) que la hausse de la taxe carbone décidée par l’Union Européenne va encore augmenter les prix de l’énergie en France de 11 à 13 % pour le gaz et de 10 à 11 % pour le carburant.
La politique climatique, une façon de vous appauvrir
Les estimations de la Direction générale du Trésor prévoient une hausse de 250 à 500 euros par an de la facture énergétique pour les ménages, tandis que les travaux d’économistes vont jusqu’à envisager un surcoût moyen de 650 euros par an.
Condamnée à payer une amende de l’Union Européenne de 200 millions d’euros pour non-application de la politique européenne immigrationniste, le gouvernement hongrois se dit prêt à envoyer tous les migrants irréguliers vers Bruxelles avec un aller simple.
La Hongrie s’est vu infliger une amende de 200 millions d’euros par l’UE pour s’être opposée à l’immigration clandestine
C’est un bras de fer entre la Hongrie et l’Union Européenne qui se joue autour de la politique migratoire décidée par Bruxelles. La Hongrie s’est vu infliger une amende de 200 millions d’euros par l’UE pour s’être opposée à l’immigration clandestine. En réponse, le vice-ministre hongrois de l’Intérieur, Bence Retvari, a tenu une conférence de presse dans laquelle il a annoncé offrir un aller simple pour Bruxelles aux clandestins : « Si Bruxelles veut des migrants, elle peut les avoir. »
Déjà fin août, Gergely Gulyás, ministre hongrois du cabinet du Premier ministre Victor Orban, avait dénoncé l’exigence de l’UE d’accepter davantage de demandeurs d’asile, menaçant Bruxelles de lui envoyer les clandestins : « Si Bruxelles souhaite accueillir encore plus de migrants, la Hongrie leur fournira un billet aller simple ».
« Si Bruxelles veut des migrants illégaux, elle peut les avoir »
L’Union Européenne maintenant l’amende de 200 millions d’euros, les autorités hongroises offrent ainsi aux migrants illégaux un billet gratuit sur un bus régulier à destination de Bruxelles. Le ministre de l’Intérieur hongrois a montré les bus réquisitionnés. Le secrétaire d’État Bence Retvari a une nouvelle fois tancé l’UE en insistant sur l’intention de mettre en œuvre le plan déjà annoncé la semaine dernière.
Si le chantage aux « amendes » des technocrates bruxellois continue, la Hongrie embarquer les ‘migrants’ dans les bus avec un trajet aller gratuit pour Bruxelles. « Si l’Union européenne oblige la Hongrie à accueillir des immigrants illégaux, nous leur offrirons un voyage gratuit vers Bruxelles », a déclaré Retvari, s’exprimant devant une flotte de bus arborant des panneaux lumineux indiquant « Röszke-Brusszel », l’itinéraire qui conduirait les migrants de la frontière sud de la Hongrie avec la Serbie directement au siège général des institutions européennes en Belgique.
L’idée de recevoir autant de clandestins n’enchante par la gauche bien-pensante belge et le bourgmestre de la ville de Bruxelles
« Si Bruxelles veut des migrants illégaux, elle peut les avoir », a prévenu le représentant du gouvernement hongrois qui assure la présidence tournante de l’UE, fustigeant la décision de la Cour de justice européenne d’infliger une amende de 200 millions d’euros à Budapest pour violation des règles d’asile. « En protégeant ses frontières, la Hongrie protège également les frontières extérieures de l’UE », a-t-il réitéré.
Étonnement, l’idée de recevoir autant de clandestins n’enchante par la gauche bien-pensante belge et le bourgmestre de la ville de Bruxelles, pourtant soutiens des folles politiques migratoires de l’Union Européenne.
La secrétaire d’État à l’Asile et aux Migrations, Nicole de Moor (CD&V) s’est ainsi insurgée, « Menacer d’envoyer des réfugiés à Bruxelles est inacceptable », et a précisé que le pays n’accordera pas l’accès aux flux migratoires aussi instrumentalisés. « En tant qu’État membre de l’Union européenne, nous devons travailler ensemble sur une politique migratoire juste, humaine et efficace. Le transfert unilatéral des responsabilités par ce type de menaces sape la solidarité et la coopération au sein de l’Union », conclut-elle.
Un ‘humanisme’ hypocrite
Le bourgmestre de la Ville de Bruxelles, Philippe Close (PS), a dénoncé une « pure provocation ». « Cela fait un petit temps que la Hongrie brandissait cette menace », explique-t-il en déclarant qu’il avait déjà réagi officiellement, en envoyant un courrier à l’ambassade de Hongrie. Il rajoute : « Nous devons réagir avec fermeté. Nous sommes de nouveau face à une énième provocation d’un pays qui profite des subventions de l’Union européenne et de la Belgique, mais qui est incapable de comprendre que l’Union européenne, c’est la solidarité entre les pays et non la provocation permanente ».
Mais ‘humaniste’ il est facile de l’être en paroles, plus difficile quand il faut les mettre en pratique, surtout quand les électeurs montrent dans les urnes qu’ils ont en assez d’être envahis.
D’ailleurs, le sénateur libéral belge Georges-Louis Bouchez s’est amusé ironiquement des contradictions de ces collègues : « Ce n’est pas vous qui voulez accueillir tous les migrants dans votre grande générosité ? La Hongrie a raison de montrer à cette gauche bien-pensante les effets réels de sa politique. Vous refusez les renvois des sans papier, le recours à frontex et le push back… Et vous vous plaignez après ? Quelle indignité ».
La pluie n'a pas dissuadé les nationalistes et les identitaires de Bretagne de se retrouver nombreux dimanche à la traditionnelle Fête du cochon organisée par la Fédération du Parti de la France dirigée par Jean-Marie Lebraud.
Repas de (grande) qualité, nombreux stands parmi lesquels ceux de Synthèse nationale et de Francephi, présence d'auteurs, tels Philippe Randa, Bernard Germain ou le dessinateur Ignace qui dédicaçaient leurs ouvrages, délégation du Rassemblement vendéen conduite par son président, Eric Mauvoisin-Delavaud, beaucoup de jeunes étudiants rennais et brestois, une animation musicale entraînante faite par le chanteur Christophe BZH et, bien sûr, les interventions très attendues de Pierre Cassen (Riposte laïque), Roland Hélie (Synthèse nationale), Eric Mauvoisin-Delavaud et de Thomas Joly, président du PdF.
Une journée très sympathique qui prouve, s'il en était encore besoin, la combativité et l'esprit de camaraderie qui existe, au-delà des organisations et des sensibilités, au sein de la droite de conviction bretonne. Tous se quittèrent dans la soirée dans l'impatience de se retrouver encore plus nombreux l'an prochain...