GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France - Page 379

  • La police en prison, les voyous en liberté

    Publié par Guy de Laferrière le 08 août 2023

    La police en prison, les voyous en liberté

    prison-230x180.jpeg

    Vendredi soir, un policier municipal lyonnais a été traîné sur plusieurs mètres par une voiture dont il contrôlait le stationnement illicite. Rapidement arrêté, le conducteur a été placé en garde à vue avant d’être présenté en comparution immédiate ce lundi. Il sera jugé le 14 décembre. Le parquet, qui avait requis un mandat de dépôt n’a pas été suivi par le juge des libertés et de la détention qui a décidé de placer le suspect sous contrôle judiciaire.

    Pendant ce temps, le policier de Nanterre et celui de Marseille sont toujours incarcérés…

    Un policier témoigne :

    «Je l’ai eu plusieurs fois aujourd’hui. Il souffre d’une blessure à l’épaule. Il a appris, comme nous tous, que la personne qui l’a traîné sur plusieurs mètres a été remise en liberté. Cette annonce a peut-être été pire que la blessure elle-même pour lui». «Bientôt nous ne verbaliserons plus que les gens qui respectent la loi puisque d’autres préfèrent nous mettre en danger en refusant de respecter les règles. Quand on voit la réponse judiciaire derrière, c’est la prime à ceux qui prennent la fuite».

    Le conducteur était sous l’emprise d’alcool au moment des faits. Il sera jugé pour «refus d’obtempérer, défaut de permis de conduire, conduite sous l’empire d’un état alcoolique et violences avec arme (le véhicule, NDLR) sur personne dépositaire de l’autorité publique».

     

    Source : lesalonbeige

  • 7 août 1932 : « loi des épis » et génocide ukrainien

    Publié par Guy de Laferrière le 07 août 2023

    holodomor_v1Le 7 août 1932, le gouvernement de l’URSS promulgue une loi qui punit de dix ans de déportation, voire de la peine de mort, « tout vol ou dilapidation de la propriété socialiste », y compris le simple vol de quelques épis dans un champ.

    Cette « loi des épis » survient alors que les campagnes soviétiques connaissent un début de famine du fait des réquisitions forcées par le pouvoir et de la « dékoulakisation » (élimination des paysans considérés comme riches).

    On estime qu’en Ukraine, au moins six millions de paysans vont mourir de faim dans les mois suivants, de par la responsabilité des autorités communistes.
    Cette « Grande famine » (« Holodomor », « extermination par la faim » en ukrainien), intentionnellement entretenue et amplifiée par Staline (qui s’appuyait sur de nombreux cadres soviétiques juifs – d’où un ressentiment longtemps tenace des Ukrainiens envers cette communauté) est assimilée à un génocide par la plupart des historiens ainsi que par les Ukrainiens.

     

    Source : contre-info

  • «Notre appartement est invendable, on est bloqués» : à Paris, les riverains de la prison de la Santé excédés par les nuisances et l’insécurité autour de l’enceinte

    Publié par Guy de Laferrière le 07 août 2023

    Depuis la réouverture de la prison parisienne en 2019, le quotidien des habitants du quartier s’est fortement dégradé. À bout, ces derniers ont alerté le ministre de l’Intérieur.

    En ce début de soirée d’été, à l’angle des rues Jean Dolent et Messier dans le 14e arrondissement de Paris, plusieurs jeunes traînent devant un immeuble. Ces détenus en semi-liberté se retrouvent pour rejoindre, ensemble, la prison de la Santé. «Aujourd’hui, c’est la version soft. Le problème, c’est quand ils parlent fort, dealent et font preuve d’incivilité», explique une riveraine qui sort sa poubelle puis montre du doigt un filet de pomme de terre resté coincé sur l’enceinte du célèbre centre pénitentiaire, inauguré en 1867. «La nuit ici, c’est lancer de paquets par-dessus le mur et parloirs sauvages», témoigne un autre résident, quelques portes plus loin. «Ce soir, la pluie est plus efficace que la police», ironise-t-il. Depuis la réouverture, en 2019, du dernier centre pénitentiaire de Paris intra-muros après quatre ans de rénovation, la cohabitation, même à bonne distance, avec les détenus est très mal vécue par les habitants du quartier.

    «Tout ça se passe sous les yeux des caméras»

    Dans une lettre adressée au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, en date du 28 juillet dernier, ils font état de «trafic de drogue, invectives, incivilités, bruits, agressions verbales, menaces», notamment au moment du transfert des détenus en semi-liberté, entre 18 heures et 20 heures. Ils décrivent aussi les nuisances sonores la nuit : les bruits de moteur ou de klaxon des voitures, les conversations entre détenus à travers les fenêtres à barreaux . «À bout», les riverains réclament «une réunion avec un représentant de la Préfecture de police» afin de trouver des solutions. Ils sont pour le moment sans réponse. Déjà, quelques mois après la réouverture de la Santé, l’association avait écrit à la directrice de l’établissement pour alerter sur les dégradations de leur quotidien.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Limoges (87) : 2 jeunes sur un scooter percutés et tués par une voiture en tentant de fuir un contrôle de police ; un “bref épisode” d’émeutes éclate

    Publié par Guy de Laferrière le 06 août 2023

    En apercevant un équipage de la BAC, le scooter a pris la fuite et a percuté une voiture en grillant un feu rouge.

    Deux jeunes hommes sont morts dans la nuit de samedi à dimanche à Limoges, dans la Haute-Vienne, en tentant d’échapper à un contrôle de police, a appris Le Figaro de source policière, confirmant une information d’Actu17. (…)

    (…) Le conducteur de la voiture accidentée n’a quant à lui pas été blessé.

    (…) Selon nos informations, ce drame a déclenché un bref épisode de violences urbaines avant que le calme ne revienne.

    Le Figaro via fdesouche

  • « La majorité est sans papiers, de différentes nationalités : afghane, ivoirienne, soudanaise » : En deux mois, une centaine de « sans-abri » de région parisienne pris en charge près de Rennes

    Publié par Guy de Laferrière le 06 août 2023

    19 sans-abri de la région parisienne étaient arrivés en juin 2023 à Montgermont, près de Rennes (Ille-et-Vilaine). Depuis, des nouveaux résidents ont été accueillis dans ce sas d’hébergement temporaire. Combien sont-ils ? Qu’est-il advenu d’eux ? La préfecture de Bretagne poursuit le dispositif, en déclinant les solutions dans les différents départements de la région.

    La Bretagne fait partie des dix régions choisies par l’État en mai 2023 pour accueillir des sans-abri de la région parisienne. Il a identifié des locaux, renommés sas d’hébergement. L’un d’eux est à Montgermont, en bordure de Rennes (Ille-et-Vilaine).

    […]

     

    Qui sont ces résidents temporaires ?

    Tous étaient à la rue, dans Paris ou en périphérie. Beaucoup d’hommes et femmes, isolées. Quelques familles avec des enfants mineurs. L’État avait promis que chacun viendrait sur la base du volontariat. « C’est vrai », confirment quatre jeunes qui sortent du sas de Montgermont. Ils ont entre 28 et 35 ans et sont originaires d’Éthiopie et d’Érythrée.

    « Ici, on est en sécurité et on peut faire une demande d’asile », détaille l’un d’eux qui dormait dehors depuis plusieurs mois au camp de migrants de la Porte de La Chapelle. La majorité est sans papiers, de différentes nationalités : afghane, ivoirienne, soudanaise…

    […]

     

    Ouest-France via fdesouche