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Le Parti de la France - Page 424

  • Week-end de violences à Aurillac (15) : Menaces par arme à feu sur fond de trafic de drogue, violences au couteau et coups de feu au Foirail

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023

    Le week-end du commissariat d’Aurillac a été particulièrement agité, avec plusieurs gardes à vue en cours pour des faits de violence avec armes, sans lien évident entre les différentes affaires.

    Il est environ 16 heures, quand le commissariat et la police municipale sont alertés, jeudi 29 avril, d’un conflit qui dégénère en centre-ville, rue de Noailles. Sur place, les forces de l’ordre trouvent deux hommes qui en viennent aux mains, dans une bagarre un peu nébuleuse où un couteau apparaît dans une main, puis l’autre, tandis qu’un belligérant part chercher… des pierres d’une vingtaine de centimètres.

    Il devra être maîtrisé par la police municipale avec un pistolet à impulsion électrique. Les deux hommes ont été placés en garde à vue, et le sont encore, ce dimanche soir.

    Menaces avec arme

    Les policiers du commissariat d’Aurillac ont enchaîné les sorties, ce week-end. Il est approximativement 20 heures quand ils se dépêchent rue du Collège, alors qu’un homme dit avoir été menacé avec une arme à feu. Les forces de l’ordre ont trouvé sur place un homme de 20 ans correspondant à la description réalisée, et ont retrouvé une arme factice.

    Le jeune homme est en garde à vue, une enquête pour violences avec menace d’une arme est en cours. Selon nos informations, le mobile pourrait être à chercher du côté d’un trafic de stupéfiants.

    Coups de feu au foirail

    Plus tard dans la nuit, vers 3 heures du matin, deux hommes ont été blessés, sur le Foirail, à proximité du Bobo. Des vérifications sont en cours, mais le plus légèrement blessé semble être un dommage collatéral et n’a peut-être été blessé que par un éclat. Client du bar, il serait sorti au mauvais moment.

    L’autre homme, blessé à la jambe, présente bien une blessure par balle. L’enquête suit son cours, aucune hypothèse n’est aujourd’hui privilégiée. Deux hommes ont été vus, sur place, par plusieurs témoins. Aucune interpellation n’a été réalisée. (…)

    La Montagne

  • Castres (81). “Son père me l’a donnée, elle est à moi !” : il gifle sa compagne parce qu’elle parlait à des garçons, 10 mois ferme

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023

    “Son père me l’a donnée, elle est à moi, c’est comme ça que cela marche chez nous”, lâche ce jeune homme de 19 ans avec un aplomb qui a fait sortir de ses gonds la procureure Claire-Marie de Agostini. Ce Castrais, issu de la communauté des gens du voyage, comparaissait devant le tribunal pour des violences conjugales.

    Il avait giflé à plusieurs reprises sa jeune compagne uniquement parce qu’il l’avait surprise en train de parler avec des garçons…

    La femme n’est pas un morceau de viande que le père donne au mari“, rétorque avec autorité la procureure qui a requis 18 mois de d’emprisonnement dont 8 mois assortis d’un sursis probatoire avec obligations de soins, de travailler, d’effectuer un stage de sensibilisation aux violences intrafamiliales et une interdiction de rentrer en contact avec sa victime.

    Finalement le tribunal va le condamner à 10 mois de prison ferme. Il est donc parti sous les verrous.

    La Dépêche  via fdesouche

  • Marseille (13) : cinq blessés après des affrontements à proximité d’un bureau de vote destiné aux expatriés turcs en pleine présidentielle ; deux personnes interpellées, le lieu fermé

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023

    fdesouche

    Plusieurs incidents ont émaillé ce lundi 1er mai le vote pour la présidentielle des expatriés turcs à Marseille. Partisans et opposants au président sortant Erdogan se sont affontés à l’extérieur d’un bureau de vote installé dans le parc Chanot, dans le quartier du Prado (8e arrondissement). Plusieurs dizaines de policiers casqués et armés sont intervenus, tirant des gaz lacrymogènes. Un homme a été blessé.

    Le bureau a été fermé vers 17h45. Une première bagarre a éclaté en début d’après-midi. Quatre hommes ont été légèrement blessés. Ils ont été transportés à l’hôpital, a précisé le bataillon des marins-pompiers. Une enquête a été ouverte.

    A deux semaines du scrutin qui doit avoir lieu en Turquie, les Turcs de France sont appelés à voter depuis le 27 avril pour départager le président Erdoğan et son adversaire du Parti républicain du peuple, Kemal Kiliçdaroglu.

    […] France 3 Régions

    Deux personnes ont été interpellées. Une enquête a été ouverte.

    […] BFMTV

  • Au Chili, les militaires envoyés à la frontière pour endiguer le flux de migrants : “Nous allons les rechercher et leur rendre la vie impossible”, affirme Gabriel Boric, le président de gauche radicale (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023

    01/05/23

    Depuis le 27 février, sur décision du président de gauche, Gabriel Boric, des unités patrouillent dans le nord du pays par où pénètrent des réfugiés vénézuéliens. Nombre d’entre eux se retrouvent dans une zone grise juridique, ni expulsés ni régularisés.

    (…) Afin de juguler l’afflux de Bolivie et du Pérou, le président chilien, Gabriel Boric (gauche), a déployé des militaires pour surveiller la frontière avec les deux pays, le 27 février, pour une durée de quatre-vingt-dix jours. Ils ont le droit de procéder à des contrôles d’identité et d’appréhender les personnes franchissant la frontière. « L’Etat n’était pas suffisamment prêt à recevoir l’arrivée massive et irrégulière de migrants », a fait valoir Gabriel Boric, le 15 mars. « Malheureusement, certains d’entre eux viennent avec l’intention de commettre des délits (…). Nous allons les rechercher et leur rendre la vie impossible, dans le cadre de l’Etat de droit », a-t-il ajouté.

    Cette mesure constitue un revirement. Avant son entrée en fonction, en mars 2022, le programme de Gabriel Boric promettait une politique migratoire fondée sur lesdroits humains et un registre des étrangers sans permis de séjour, à mille lieues du scénario militaire. Le 18 avril, au contraire, le Parlement a approuvé deux projets de loi durcissant les contrôles migratoires et les conditions d’expulsion.

    Selon le ministère de l’intérieur, la présence des militaires – une mesure populaire – a réduit de 55 % le nombre des clandestins passant la frontière chilienne par rapport à la même période de l’année précédente, avec une moyenne de 440 arrivées par semaine. Mais la militarisation met en évidence la difficulté du gouvernement à mettre en place une politique migratoire cohérente, les carences de l’Etat et la fragilité d’un tissu social parcouru par la xénophobie.

    (…) Le Monde


    09/04/23

    Après la mort de trois policiers en un mois, le gouvernement de Gabriel Boric, pour qui la thématique sécuritaire n’était pas une priorité, a dû revoir son agenda. Toute une batterie de mesures a été annoncée pour faire face à l’augmentation de la violence dans le pays. Et certaines visent les étrangers. 

    Au Chili, en moins d’un mois, trois policiers ont été tués dans l’exercice de leurs fonctions. C’est inhabituel dans ce pays d’Amérique latine. L’un a été renversé par une voiture et les deux autres sont morts après s’être fait tirer dessus. Dans deux de ces trois cas, les présumés coupables ne sont pas Chiliens. 

    Quelques heures après la mort du troisième policier, les médias ont largement diffusé la photo de deux suspects recherchés, d’origine étrangère. Dans la foulée, le parquet a annoncé que désormais, à Santiago, les procureurs demanderont la mise en détention préventive systématique pour les étrangers sans papiers arrêtés par la police. Un procédé inédit. 

    Depuis quelque temps déjà, le Chili fait face à une arrivée massive de migrants, souvent entrés de manière illégale dans le pays. « Le Chili a été soumis à un processus migratoire très intense, commente Claudio González, directeur du centre d’études en sécurité publique, à la faculté de gouvernement de l’Université du Chili. La première chose, c’est que les migrants qui arrivent dans le pays ne sont pas intégrés par la société chilienne. Il y a donc une ségrégation sociale et cela génère des conflits et de la délinquance. »

    Selon un organe gouvernemental de prévention de la criminalité, en 2022, les homicides ont augmenté de 33,4% par rapport à l’année précédente, ce qui représente la deuxième plus forte variation en Amérique latine après l’Équateur, où ils ont augmenté de plus de 80%. D’après plusieurs sondages, la délinquance est la principale préoccupation des Chiliens.

    Le chercheur pointe aussi du doigt le manque de régulation et de contrôles aux frontières. « Ça a permis que beaucoup de bandes organisées entrent au Chili sans qu’elles soient captées par le système, souligne-t-il. Mais il serait quand même irresponsable de parler d’un lien direct entre criminalité et immigration car c’est le chemin vers la xénophobie et nous en sommes très proches. »

    (…) Les forces de l’ordre au Chili jouiront désormais d’une « présomption de légitime défense » en vertu d’un texte surnommé par ses détracteurs « loi de la gâchette facile » adopté mercredi par le Parlement.

    (…) RFI

  • C'est le mois de Marie, c'est le mois le plus beau !

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023

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