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Le Parti de la France - Page 983

  • “Victime collatérale du trafic de drogue” : près de Rennes, un père de famille retrouve son appartement criblé de balles, les auteurs des faits se sont trompés de cible…

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2022

    Samedi 11 juin, 4 heures du matin, un appartement de Thorigné-Fouillard est pris pour cible par des tirs d’armes automatiques. 18 impacts de balles criblent le logement d’un père famille et ses garçons heureusement absents au moment des faits. Les auteurs des faits se sont trompés de cible…

    Davis -le prénom a été changé à sa demande – est “désabusé, comme tout le monde dans cette histoire”. Alors que l’homme était en weekend dans le Morbihan, il doit rentrer en toute urgence à Thorigné-Fouillard… son appartement a été pris pour cible de tirs d’armes automatiques.

    18 impacts de balles seront en tout relevés par la police. Certains sur la façade de l’immeuble, d’autres à l’intérieur même de l’appartement : “Certaines balles ont franchi l’appartement de part en part. Trois projectiles ont transpercé la chambre des enfants, dont l’un est resté fiché à 50 cm de la tête de lit.”

    La raison de cette attaque ? Les fils de l’ancienne occupante de l’appartement. Ils seraient liés à des trafics de drogue et se sont faits visiblement des ennemis. Des personnes “qui ont quitté cet appartement deux ans auparavant“. David se considère comme une “victime collatérale d’une guerre de gangs“.

    (…) David lui essaye aujourd’hui de retrouver une vie normale avec ses enfants. L’ancien sapeur-pompier de Paris aujourd’hui conducteur de transport collectif à Rennes, a vécu 3 jours dans son van avant d’être hébergé par des amis dans un studio. Après un petit retard au démarrage, son bailleur, Archipel Habitat s’occupe de lui trouver une solution de relogement. “Ils font le nécessaire. On s’occupe de moi. Ce qu’ils ont trouvé pour l’instant n’est pas l’idéal car je ne peux pas y vivre avec mes enfants mais ils cherchent.” La ville aussi semble réagir à la situation. “Ils ont promis qu’ils s’occuperaient des frais annexes, alimentaires, travaux, déménagement”.

    France 3 via fdesouche

  • Bac 2022 : des enseignants se sont aperçus que les notes qu’ils avaient attribuées ont été remontées d’1 ou 2 points. “Nous sommes scandalisés”

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2022

    Des correcteurs du bac ont constaté une augmentation de certaines notes sur des copies du bac. Une procédure normale répond l’Education nationale.

    La méthode fait scandale. Des professeurs qui corrigeaient les copies des épreuves de spécialités du bac se sont aperçus que les notes qu’ils avaient attribuées ont été remontées d’un ou deux points. Le ministère de l’Education nationale répond qu’il s’agit d’une procédure normale d’harmonisation. Même les inspecteurs dénoncent le procédé.

    Des lots de copies augmentés d’un point

    Les correcteurs du bac ont été surpris. Ils ont découvert que les notes qu’ils avaient attribuées à chaque copie ont été remontées. D’un point par exemple pour ce professeur d’économie-gestion en filière technologique dans l’académie de Créteil, qui souhaite rester anonyme : “Cette année, nous devions avoir corrigé nos copies pour la date du 7 juin, dit-il, entre 35 et 40 copies chacun. Quelques jours après, avec mes collègues, on est retournés voir ce qu’il était advenu de nos copies après avoir verrouillé nos lots et à notre grande surprise, on a globalement tous constaté que nos lots de copies avaient été systématiquement augmentés d’un point”.

    L’enseignant remarque le manque de cohérence dans ces ajustements : “Un point sur une copie qui a 17, cela fait 18 mais un point sur une copie qui a un cela fait deux donc en termes de pourcentage, ce n’est pas vraiment équitable entre les candidats. Mais surtout ce qui était choquant, c’est qu’il n’y a eu aucune concertation, aucune information.” Le correcteur s’interroge : “Sur quel critère cela a été fait ? On n’en sait rien. On n’est pas la seule discipline concernée puisque bien évidemment, on a contacté d’autres enseignants dans nos lycées respectifs, dans d’autres disciplines et c’est général. Cela concerne les maths, l’anglais, l’histoire… enfin ça a été global.”

    Des résultats catastrophiques

    Cet enseignant, qui corrige les copies du bac depuis une dizaine d’années, avance une explication : “Globalement, on a tous été affolés par les moyennes qu’on obtenait, qui étaient assez basses. Dans la filière technologique STMG, en sciences de gestion, c’était bas mais en droit et économie, c’était carrément catastrophique. où j’ai des collègues qui tournent à des moyennes entre 6 et 7 sur 20. L’impression qu’on a eue, c’est que les résultats du bac vont être… enfin… auraient été très, très mauvais cette année avec un nombre de redoublants affolants et pas de place pour eux l’année prochaine.”

    (…) Radio France


    « Nous sommes scandalisés », « C’est une remise en question de notre conscience professionnelle ». Ce sont les mots qui viennent à l’esprit de plusieurs enseignants de lycées du Rhône, ayant fait passer les épreuves de spécialité (anglais, géopolitique, SES) du baccalauréat et qui ont vu leurs notes attribuées, être réévaluées et augmentées de deux points.

    (…) Le Progrès

  • Agneaux volés

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2022

    Des agneaux sont volés chaque année en période de pâques. C'est sûrement un coup des Chrétiens!
     
    Dans les fermes, on vole aussi les moutons - Journal de 13 heures | TF1
  • Rennes (35) : une conductrice de bus témoigne face à l’insécurité grandissante : “je vais travailler la peur au ventre”, “par peur de l’altercation, (on) évite de faire des remarques aux auteurs d’incivilités”

    Publié, par Guy Jovelin le 17 juin 2022

    Après plusieurs graves incidents sur le réseau de bus à Rennes, une conductrice se confie sur la difficulté d’exercer son métier au quotidien. « Travailler dans de telles conditions, dans la peur, ça n’est plus possible ». Pour Laurence (*), conductrice de bus sur le réseau STAR à Rennes depuis quatre ans, le quotidien au travail est devenu trop difficile à supporter.

    Après l’agression à l’arme à feu d’un adolescent dans un bus de la ligne 9 la semaine dernière, elle se confie sur cette « insécurité grandissante » qui l’empêche d’exercer correctement son métier. (…)

    « Avant quand je rentrais chez moi, je me disais vivement demain pour retourner travailler », confie Laurence (*). « C’est terminé tout ça. J’ai toujours supporté facilement les humeurs des passagers, quelques altercations, mais là on a des incidents qui impliquent des couteaux, des armes à feu… Chaque matin, je vais travailler la peur au ventre ». (…)

    Aujourd’hui, une fatigue généralisée semble gagner la profession. Par peur de déclencher une altercation, certains conducteurs évitent de faire des remarques aux passagers auteurs d’incivilités.

    * Le prénom a été modifié.

    Le télégramme via fdesouche

  • Législatives à Drancy (93) : la candidate Raquel Garrido (LFI) aspergée de gaz lacrymogène, elle accuse deux militantes de Jean-Christophe Lagarde d’être responsables de l’agression

    Pulié par Guy Jovelin le 17 juin 2022