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agression - Page 17

  • Une école catholique doit fermer car le voisinage immigré l’utilise comme déchèterie (+ agressions, intrusions, etc.)

    Publié par Guy Jovelin le 21 février 2021

    L’école, dans le quartier d’Etouvie, Amiens. Photo : Google Map

    Une école catholique se trouve à proximité d’une tour HLM peuplée par qui l’on devine. Résultat : les déchets – même lourds – pleuvent dans la cour. Sans parler d’autres nuisances intolérables. Résultat : l’école ferme.

    Cette lamentable histoire symbolise bien les deux France en train de s’affronter à mort (elles ne cohabiteront pas éternellement, l’une chassera l’autre : aux Français de choisir) : d’un côté la « France d’avant », catholique, française et civilisée, et la « France d’après » (comme le disait avec fierté Sarközy) : grand-remplacée, tiers-mondisée, ensauvagée, inhumaine.

    Notons un point important : la tour HLM a été rénovée il y a peu pour 11 millions d’euros. Contrairement à ce que disent les remplacistes, si la criminalité et la sauvagerie règnent dans certains quartiers (et en rayonnent), ce n’est pas à cause de l’environnement urbain et social dégradé (par qui? …). Des centaines de millions sont déversés en vain sur les « banlieues » chaque année. Le problème est autre et le Régime empêche d’en parler.

    « Des bouteilles, des poubelles éventrées, des mégots pas éteints… et même, à l’occasion, une machine à laver ou un frigo. Parce que sa cour de récréation est devenue un dépotoir, que les habitants de l’immeuble qui la surplombe ont pris l’habitude de jeter leurs déchets par les fenêtres, une école primaire va fermer. L’établissement catholique privé Monseigneur Cuminal, situé au bas d’une tour du quartier Étouvie à Amiens, a annoncé jeudi qu’étant « devenu impossible d’assurer la sécurité des élèves et personnels », il quitterait définitivement les lieux à la fin de l’année scolaire.

    «Depuis plusieurs années, la sécurité de l’école ne cesse de se dégrader, avec une accélération depuis la rentrée de septembre 2020, écrit Sylvie Seillier, directrice diocésaine de l’enseignement catholique de la Somme, dans un communiqué. Cette annexe de quatre classes de l’école Saint-Jean, ouverte en 1997, subit quotidiennement les jets d’objets et de déchets en tout genre lancés depuis les étages au pied des classes. Des agressions du voisinage, différents trafics à proximité, des intrusions et occupations sauvages de la cour, des rodéos près de l’école participent à l’insécurité et empêchent l’école de fonctionner normalement.»

    À la SIP, le bailleur social propriétaire du bloc d’immeubles les Coursives, qui «a investi 11 millions d’euros depuis 2012 pour la rénovation des logements et des parties communes», on confirme que «les équipes de proximité passent beaucoup de temps à nettoyer les abords»«Un jour, j’ai failli me prendre un micro-ondes sur la tête», a raconté un employé de l’entreprise de nettoyage à la journaliste de France Bleu Picardie, qui elle-même manquera, lors de son reportage, d’être «assommée» par une boîte de conserve…  [….] » (source et suite Le Figaro)

  • Montpellier : des centaines de personnes marchent pour Lorenzo, paralysé après une agression

    Publié par Guy Jovelin le 10 janvier 2021

    Une marche en hommage à Lorenzo, 19 ans, toujours hospitalisé après une violente agression, a lieu cet après-midi en centre-ville. De très nombreuses personnes y participent.

    Ils sont plusieurs centaines, ce samedi après-midi, à participer à la marche organisée en centre-ville en hommage à Lorenzo, 19 ans. Violemment agressé sur un parking, à Lattes, en août dernier, le jeune homme originaire de Lattes est hospitalisé et toujours paralysé.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Midi Libre

  • Toulouse : pour une remarque, deux ados de 14 et 16 ans agressent un homme de 72 ans en fauteuil roulant dans le métro, ils ont également frappé son épouse et le fils du couple

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2021

    Ils mangeaient des graines de tournesol, les fameuses pipas. Et crachaient, comme de rigueur, les enveloppes par terre, après s’être régalé de leur contenu. Le problème, c’est que ces deux ados de 14 et 16 ans ne se trouvaient pas dans la rue, en plein air, mais… dans le métro de Toulouse.

    L’épouse également violentée

    De plus, en ce début d’après-midi du mardi 5 janvier, le quai de la station Jean-Jaurès était assez fréquenté. C’est d’ailleurs ce qu’un homme en fauteuil roulant a fait remarquer aux deux lascars. Arguant que l’épidémie de Covid-19 était loin d’être révolue et que cracher au sol dans un lieu clôt n’était ni d’une intelligence ni d’un respect à couper le souffle.

    Les deux jeunes n’ont semble-t-il pas bien pris l’admonestation. S’affranchissant de l’âge et du handicap de la victime, ils l’ont frappée (1 jour d’ITT). L’épouse, âgée de 54 ans a également été violentée (1 jour d’ITT), de même que le fils du couple, âgé de 24 ans.

  • Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) : le petit Jihad (sic), 10 ans, agresse violemment sa maîtresse mais selon le syndicat Snuipp, « on ne peut pas l’incriminer » car « il n’est pas adapté au système scolaire » (!!!)

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2020

    Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne) : le petit Jihad (sic), 10 ans, agresse violemment sa maîtresse mais selon le syndicat Snuipp, « on ne peut pas l’incriminer » car « il n’est pas adapté au système scolaire » (!!!)

    « La scène choquante s’est produite mardi dernier, le 13 octobre, dans l’école élémentaire Jules Ferry située à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Un élève âgé de 10 ans s’en est violemment pris à sa maîtresse, en classe, sous les yeux de ses camarades selon une source policière, confirmant une information du Parisien. L’enfant a soudainement mordu sa maîtresse au bras. Cette dernière aurait aussi reçu un coup au visage.

    Les sapeurs-pompiers ont été appelés pour prendre en charge la victime qui était sous le choc, qui saignait du nez selon des témoignages. Au lendemain des faits, l’Éducation nationale a indiqué à nos confrères qu’elle « déplore et condamne ces actes de violences non prévisibles ». Elle a ouvert une cellule psychologique pour l’enseignante et ses élèves.

    L’enfant, prénommé Jihad, qui a agressé sa maîtresse, est connu pour être un élève « en grande difficulté ». En outre, il est « largement suivi » par les services éducatifs.

    (…) « Même si l’enfant a fait du mal, on ne peut pas l’incriminer », affirme de son côté une représentante du syndicat Snuipp de Fontenay, au Parisien. Cette dernière affirme ne pas avoir été surpris par cette agression. « Ce sont des élèves qui ne sont pas adaptés au système scolaire tel qu’il est. Les enseignants n’ont pas les moyens de les gérer », a-t-elle détaillé. »

     

    Source : ndf

  • Rouen : au lendemain de la décapitation de Samuel Paty, “Jonathan*”, 36 mentions à son casier judiciaire, a agressé une femme avec un couteau en criant Allah Akbar

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2020

    Après une agression au couteau à Rouen, un homme jugé pour apologie d’actes de terrorisme

    Un homme a été jugé, lundi 19 octobre 2020, par le tribunal de Rouen après avoir agressé une femme avec un couteau et crié « Allah Akbar » sur la place du Vieux marché.

    […]

    Les faits remontent au lendemain de l’assassinat commis sur Samuel Paty dans le Val d’Oise. Les policiers rouennais sont alors appelés sur la place du Vieux Marché pour un individu armé d’un couteau et criant « Allah akbar » [« Dieu est grand », NDLR]. A leur arrivée, l’homme a pris la fuite. Ils sont informés par radio d’une seconde agression avec arme sur une jeune femme non loin des premiers faits. Les policiers retrouvent sur place la victime, qui identifie le suspect.

    […]

    Le ministère public rappelle au tribunal que l’homme venait d’être libéré « deux jours plus tôt »

    […]

    L’article dans son intégralité sur 76 Actu via fdesouche