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agression - Page 15

  • Contes (06) : 4 migrants condamnés pour avoir agressé au couteau un villageois, mais ce dernier et deux autres habitants du village ont eux aussi été condamnés pour des représailles violentes

    Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2021

    Quatre migrants ont été condamnés à de la prison ferme pour avoir agressé un villageois près de Nice, mais ce dernier et deux complices ont aussi été condamnés pour des représailles violentes, selon le jugement consulté par l’AFP lundi.

    L’agression du villageois avait eu lieu au printemps 2019 à Contes, un village proche de Nice. Dans un jugement rendu vendredi en délibéré, le tribunal correctionnel de Nice a reconnu coupable de cette agression à l’arme blanche trois Nigérians, condamnés à un an de prison ferme, et un Centrafricain, condamné lui à six mois ferme. L’un des Nigérians a été directement incarcéré à l’issue de l’audience et des mandats d’arrêt lancés contre les absents.

    Mais il a également considéré que le villageois et deux complices s’étaient rendus coupables de «violences et dégradations» en représailles et leur a infligé respectivement 18 mois de prison dont 12 avec sursis, six et huit mois de prison ferme. Ils bénéficieront d’un aménagement de peine sous forme de bracelet électronique. Militant de la Roya Citoyenne, une association qui s’est fait connaître par la prise en charge de réfugiés dans les Alpes-Maritimes, le locataire de l’appartement hébergeant les migrants condamnés pour l’agression initiale avait vu son véhicule détruit et son appartement visé par des projectiles trois nuits durant par le villageois et ses complices.

    Lors du procès, ces derniers ont affirmé avoir agi par «colère» après l’agression initiale. Des insultes à caractère raciste avaient été proférées lors de ces représailles, selon des témoignages recueillis lors de l’enquête de gendarmerie. «En France, au XXIe siècle, on ne saurait accepter ce type de vengeance», avait estimé le procureur en demandant aussi la condamnation des auteurs des représailles.

    Le Figaro via fdesouche

     

  • Le maire de Saint-Macaire (33), Cédric Gerbeau, violemment agressé et menacé de mort en pleine rue par deux mineurs. “J’ai peur pour ma famille (…) Je n’arrive plus à fermer l’œil”

    Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2021

    « On va le crever, on va lui briser les deux jambes au maire. » La scène tourne en boucle dans la tête de Cédric Gerbeau, maire de Saint-Macaire (Gironde), depuis sa violente agression physique et verbale subie mercredi 8 décembre 2021, vers 15h, en plein milieu du cours de la République à Saint-Macaire. (…)

    Et c’est difficilement que Cédric Gerbeau se refait le film :

    “La jeune femme de la communauté a sauté sur une Macarienne et elle lui a mis un coup de poing. Quand j’ai voulu les séparer, je me suis fait insulter violemment par un groupe de personnes, toutes de la même famille, dont un jeune qui a 15 ans. Il a tenu des propos comme : “Fils de pute… Je vais te crever.” J’ai gardé mon calme. Je lui ai tenu la joue pour lui demander de me respecter. Il a clamé haut et fort que je l’avais giflé, et à ce moment-là, sa famille est arrivée sur moi. La jeune femme est venue m’a mis un coup de poing, en criant : “Ne touche pas à mon frère”. Le jeune de 15 ans en a profité pour prendre une grande planche en bois et m’a cogné d’une grande violence avec. Je n’en reviens toujours pas.”

    Les agresseurs sont des mineurs de 14 et 15 ans

    Cédric Gerbeau et l’habitante de Saint-Macaire déposent plainte pour violences, insultes et menaces de mort le soir même. 

    Cédric Gerbeau a reçu 7 jours d’ITT. Il est placé sous la surveillance de la gendarmerie. Le maire de Saint-Macaire a besoin de faire un break et a délégué ses responsabilités à son premier adjoint car le traumatisme est encore bien présent :

    “Je revois la scène à chaque fois. J’ai peur pour ma famille et je suis très inquiet, je n’arrive plus à fermer l’œil.” 

    Actu.fr via fdesouche

  • Paris : des militants LREM agressés par les antifas de la Jeune Garde et de Solidaires à Barbès

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021

     

  • Dès la première patrouille de nuit, la Police municipale rennaise prise à partie

    Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2021

    Dès la première patrouille de nuit, la Police municipale rennaise prise à partie

    C’était une première et ils vont s’en souvenir. Dans la nuit de vendredi 12 à samedi 13 novembre, pour la première fois, des policiers municipaux travaillent jusqu’à 2 h 30 du matin, afin de diminuer les nuisances dans le centre-ville lors des fins de semaine plus festives. Cette nuit-là, vers 1 h du matin, la Police nationale intervient pour interpeller un homme qui en violente un autre, place Hoche. Intervention durant laquelle les fonctionnaires de la brigade anticriminalité (Bac) sont pris à partie par des témoins.

    Peu nombreux, les policiers nationaux demandent des renforts à la Police municipale. Devant l’hostilité des noctambules, les « nationaux » sont contraints de faire usage de gaz lacrymogènes pour les repousser. Et quittent les lieux rapidement afin de ramener l’agresseur présumé au commissariat. C’est à ce moment-là que six effectifs de la Police municipale qui patrouillaient dans le secteur Sainte-Anne, dont quatre habilités au port d’arme, ?arrivent à hauteur du passage des Carmélites. Ils tombent nez à nez avec « une quarantaine d’individus » hostiles à la police. Des faits que la Police nationale confirme au Télégramme.

    « Les collègues ont essuyé des jets de projectiles et notamment des bouteilles de bière. Le chien a dû esquiver plusieurs coups de pied », explique Jérôme Jourdan, secrétaire du syndicat FO Ville de Rennes. « Il a fallu l’arrivée supplémentaire de deux équipages véhiculés de la Police municipale pour que les collègues sur place puissent s’extraire et regagner leur véhicule. Au total, sur les 15 agents engagés cette nuit-là, cinq étaient non armés faute d’habilitation de port d’arme. Nous réclamons que tous les policiers municipaux soient habilités au port d’armes du pistolet à impulsion numérique (PIE) et aux gaz lacrymogènes. On sait très bien qu’après minuit, le rapport police-population peut être beaucoup plus rude. » N’ayant pas été blessés, les policiers municipaux n’ont pas déposé plainte.

    www.letelegramme.fr via fdesouche

  • Un policier de la SDPJ 92 se serait fait tirer dessus par un individu à scooter, il était en voiture avec sa femme et ses enfants

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2021