Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2022
algerie - Page 10
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FIERS D ETRE PIEDS NOIRS
Le mardi 25 avril 1961, à #Alger, le « Conseil Supérieur de l’#Algérie », composé des généraux #Challe, #Jouhaud, #Salan et #Zeller fait diffuser par Radio-France un communiqué annonçant sa décision, sur proposition du général Salan, de démobiliser tous les soldats du contingent en poste en Algérie ayant effectué au moins 18 mois de service militaire et, également, de ramener la durée du service à 18 mois. Parallèlement, il décide de mobiliser 8 classes d’Algériens et de reconstituer les #UT Unités Territoriales dissoutes après la « Semaine des #barricades » de janvier 1960. -
C’était un 19 mars…
Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2022
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La France trop “timorée” vis-à-vis de l’Algérie, selon Xavier Driencourt, ex-ambassadeur de France sur place. “Nous avons trop souvent tendu l’autre joue après avoir reçu une gifle”
Publié par Guy Jovelin le 17 mars 2021
Xavier Driencourt, qui a représenté les intérêts de l’Hexagone à Alger pendant plusieurs années, estime que Paris craint de se brouiller avec un acteur dans la lutte contre l’immigration clandestine et le terrorisme au Sahel.
La France doit avoir une position beaucoup « moins timorée » vis-à-vis de l’Algérie. Cela permettrait de tourner la page, 60 ans après l’indépendance de ce pays, et de construire une relation « équilibrée », estime Xavier Driencourt, ex-ambassadeur de France sur place.
« Les Algériens ne comprennent que le rapport de force. Il faut que nous aussi on ait un discours qui soit plus clair », dit-il dans un entretien avec l’AFP à l’occasion de la sortie de son livre « L’énigme algérienne ». Xavier Driencourt a été à deux reprises ambassadeur de France en Algérie, de 2008 à 2012 puis de juillet 2017 à juillet 2020, notamment durant le mouvement de protestation populaire du Hirak qui mit fin à 20 ans de règne du président Abdelaziz Bouteflika en 2019.
Selon lui, la France est « paralysée » vis-à-vis d’Alger de peur de « fâcher », subir des « mesures de rétorsion », perdre l’attention d’un acteur clé pour la sécurité au Sahel et la lutte contre l’immigration clandestine. « Il faut qu’on ait une position moins timorée, beaucoup plus forte », affirme le diplomate. « Nous avons trop souvent tendu l’autre joue après avoir reçu une gifle », écrit-il également. Les responsables politiques français « n’ont pas une vision lucide et saine de la relation bilatérale parce que l’Algérie c’est autant de la diplomatie que de la politique intérieure ». Ils doivent en permanence composer entre des intérêts contradictoires, ceux des rapatriés qui se cristallisent en partie dans un vote d’extrême-droite et ceux des Français issus de l’immigration algérienne qui ont toujours un regard tourné vers Alger, la capitale algérienne.
(…)
Le Parisien via fdesouche
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“Les ventres des Françaises appartiennent à l’Algérie… Les attentats vengeront l’Algérie… Votre pays ne vous appartient plus” : au Creusot, un multirécidiviste jugé pour apologie du terrorisme
Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2022
« Bandes de colonisateurs… Les ventres des françaises appartiennent à l’Algérie … Les attentats vengeront l’Algérie… Votre pays ne vous appartient plus. » Le prévenu, poursuivi pour apologie publique d’un acte de terrorisme, a le sens du vent.
(…) Il se servait de son compte Facebook comme d’une tribune, filmait, enregistrait, mettait en public tout ce qui permettait de salir les autres, et ils étaient nombreux. Piégé par son propre système, il a fini par passer d’autres bornes et le cumul l’a emporté.
Jugé et condamné plusieurs fois pour appels malveillants, harcèlement, outrages, violence, etc., l’homme de 40 ans est à nouveau dans le box, ce jeudi 3 mars.
(…) Outre les propos relevés contre lui qualifiés d’apologie publique d’un acte de terrorisme, on lui reproche d’avoir insulté trois surveillants de l’administration pénitentiaire, dépositaires de l’autorité publique.
(…) Et c’est toujours le même discours qu’il sort : il s’appuie sur l’existence d’injustices d’une manière générale pour faire de lui celui qui les subit toutes, sans la moindre reconnaissance des lois qui encadrent nos possibilités de vivre ensemble. Il est pervers, et salit tout ce qu’il touche, sans la moindre vergogne.
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L’Algérie n’a jamais voulu extrader Redouane Ikil. Mais après 2 ans et demi là-bas, ce dernier préfère se livrer aux autorités française et purger sa peine de 18 ans de prison
Publié par Guy Jovelin le 14 février 2022
Condamné à 18 ans de réclusion criminelle en appel par la cour d’assises du Tarn le 6 juillet 2019 pour séquestration et extorsion de fonds, Redouane Ikil qui s’était soustrait le jour de l’énoncé du verdict, a mis fin à plus de deux ans et demi de cavale.
Titulaire de la double nationalité franco-algérienne, il avait fui en Algérie où il avait été arrêté à Oran en février 2020 et incarcéré 18 mois. L’Algérie refusant, in fine, son extradition.
[…]Il avait ensuite comparu libre à Albi, faussant compagnie à la cour le jour du verdict le 5 juillet 2019. […]
Redouane Ikil a choisi de se rendre à la justice et il s’est présenté spontanément jeudi 10 février à 10 h 15 au commissariat d’Agen. […]
La Dépêche via fdesouche