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bordeaux - Page 11

  • Le maire écolo de Bordeaux signe un partenariat avec SOS Méditerranée et son « Ocean Viking », seul navire de secours aux migrants en Méditerranée centrale

    Publié par Guy Jovelin le 08 mai2021

    Lundi 3 mai 2021 à l’hôtel de ville, Pierre Hurmic Maire de Bordeaux, Jean-Jacques Puyobrau Maire de Floirac et Edwige Lucbernet, Première adjointe au Maire de Bègles ont signé la charte d’adhésion à l’association SOS Méditerranée en présence de son président François Thomas.

    Des collectivités solidaires

    Au travers de cette démarche, les trois villes s’associent moralement aux actions de SOS Méditerranée, dont l’objectif est de sauver des vies, protéger les rescapés et sensibiliser l’opinion publique sur le drame humain qui se joue en Méditerranée. Bordeaux, Floirac et Bègles rejoignent ainsi la plateforme des collectivités solidaires avec SOS Méditerranée qui regroupe aujourd’hui près d’une soixantaine de collectivités françaises. Ce soutien a vocation également à se matérialiser par une convention de partenariat.

    L’engagement

    Bordeaux
    La Ville de Bordeaux a pu, à l’occasion d’une réunion de travail réunissant les représentants de SOS Méditerranée et les élues de la Ville Céline Papin Adjointe au Maire chargée des coopérations territoriales, européennes et internationales, Sylvie Schmitt Adjointe au Maire chargée de l’éducation, de l’enfance et de la jeunesse, Harmonie Lecerf Adjointe au Maire chargée de l’accès aux droits et des solidarités, Tiphaine Ardouin Conseillère municipale pour les relations internes et éthiques et Pascale Roux Conseillère municipale pour la solidarité internationale, travailler à la définition d’actions conjointes en matière d’information et de sensibilisation sur la réalité des parcours migratoires (notamment dans le milieu scolaire) et d’accueil et d’intégration des personnes exilées.

    Floirac
    La Ville de Floirac signe ainsi ce jour une convention triennale de partenariat et de soutien humanitaire avec des obligations réciproques, confirmant une inclusion totale des valeurs et actions portées par l’association au sein-même des politiques éducatives de la Ville. Ces thématiques ont été abordées lors d’un entretien en début d’après-midi entre François Thomas, Jean Jacques Puyobrau et deux de ses adjoints (Jean Claude Galan pour l’éducation et Nathalie Lacuey pour la jeunesse et politique de la ville). L’occasion également d’échanger sur les dispositifs d’éducation à la citoyenneté mis en place.

    Bègles
    A travers la signature de cette charte par Edwige Lucbernet, 1ère adjointe au Maire Clément Rossignol Puech, la Ville de Bègles réaffirme son attachement aux valeurs de solidarité, de générosité, d’accueil et de défense des migrants qui fondent l’action de SOS Méditerranée. Son soutien à l’association se traduira par un vote en Conseil municipal le 18 mai pour l’adhésion de la Ville à la plateforme des collectivités solidaires avec SOS Méditerranée. Par ailleurs, l’exposition « Lesbos, la honte de l’Europe » réalisée par l’association béglaise du Théâtre Le Levain, sera présentée à Bègles courant mai sur les grilles du Parc Mussonville. Dans cette île grecque, le camp Moria devint le plus grand camp de réfugiés en Europe abritant plus de 18 000 personnes dans des conditions abominables en décembre 2019. Le camp a été détruit par un incendie en septembre 2020. La vingtaine de photos de l’exposition, issues du fonds de l’AFP, illustrent l’édition hongroise du livre signé par Jean Ziegler (Vice-président du comité consultatif du Conseil des droits de l’Homme des Nations unie) co-éditée par Le Levain.

    L’association SOS Méditerranée

    SOS Méditerranée est une association civile européenne de sauvetage en mer, créée en 2015 et constituée de citoyens mobilisés face à l’urgence humanitaire en Méditerranée. Depuis 2014, plus de 20 000 personnes ont péri en mer Méditerranée, d’après les données de l’Organisation Internationale des migrations, sans compter toutes celles qui ont sombré sans témoin.

    L’action de l’association s’inscrit dans le strict respect et l’application du droit maritime international et du droit humanitaire. Comme le stipule la Convention SOLAS, Convention internationale sur la sauvegarde de la vie humaine en mer, “Tout navire a l’obligation de porter assistance sans délai à une personne en détresse en mer”

    Bordeaux.fr via fdesouche

  • Bordeaux : un migrant camerounais frappe à la porte d’une résidence étudiante, une jeune femme lui ouvre, elle est dépouillée et violée

    Publiépar Guy Jovelin le 08 mai 2021

    Bordeaux : interpellé pour avoir commis un viol sous la menace d’un tesson de bouteille

    Il y a tout juste une semaine, une jeune femme de 18 ans a vécu un calvaire dans son appartement situé dans une résidence étudiante à Bordeaux. Samedi 1er mai, en milieu de soirée, un visiteur frappe à sa porte.

    […]

    Le policier a aussitôt alerté le commissariat central et le suspect a été interpellé par la BAC. Placé en garde à vue, ce camerounais de 21 ans a été confondu par les analyses de la police scientifique.

    L’article dans son intégralité sur Sud-Ouest


  • La tête des migrants « mineurs » que les journalistes osent diffuser…

    Publié par Guy Jovelin le 28 février 2021

    C’est un conte de fée pour remplacistes (et pour femmes en manque d’« affection ») que propose Sud Ouest, avec cet article intitulé Gironde : ils ont ouvert leur porte à un mineur isolé.

    « Militants ou non, ils ont décidé d’héberger de jeunes migrants pour quelques semaines ou quelques mois, afin de leur éviter la rue. En Gironde, des familles racontent leur expérience.

    « Il y avait un besoin, alors on l’a fait. » Hébergeuse depuis deux ans, Marie-Christine résume en une phrase ce que tous diront avec leurs mots. Retraités, célibataires, parents, en maison ou dans un deux-pièces : ils ont accueilli gratuitement un jeune migrant, dans un élan d’humanisme plus que politique.
    À Bordeaux comme ailleurs, des centaines de jeunes venus en majorité d’Afrique de l’Ouest arrivent chaque année après avoir migré seuls. En attendant d’être reconnus mineurs par un juge et pris en charge par l’aide sociale à l’enfance, ils n’existent pas pour l’État français. C’est pendant cette période qu’interviennent les familles, épaulées par des associations comme les Hébergeurs solidaires de Bordeaux. Depuis sa création en 2017, 26 jeunes… […] »

    Les journalistes ne prennent même plus la peine de choisir des photos de migrants africains qui feraient des mineurs crédibles. Voyez la tête de ce « mineur » là, c’est fabuleux :

     

     

    Source : contre-info

  • Bordeaux, capitale de la « malbouffe » en 2020

    Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2021

    gastronomie
    Crédit photo : DR

    Le site Acontrecorps.com publie une étude sur la présence des « géants de la malbouffe » dans les grandes villes françaises. Bordeaux est en tête, tandis que Toulouse se place à la 17e place. Un derby perdu, mais sans regret ni rancune. 

    Le classement des villes abritant le plus grand nombre d’enseignes issues de grandes chaînes de fast-food par rapport à la population, a été publié, mardi 12 janvier sur le site Acontrecorps.com, un média de santé et de bien-être. 

    « Alerter sur la présence accrue des géants de la malbouffe »

    Une étude portant sur les 32 plus grandes villes françaises, et sur la présence de 16 grands chaînes de restauration rapide, prônant la « malbouffe ». Parmi elles, McDonald’s, Burger King, Quick, KFC, Paul, La Brioche Dorée, Domino’s Pizza, Subway, La Mie Câline, Starbucks, La Croissanterie, Pizza Hut, Pomme de Pain, O’Tacos, Bagelstein et Speed Burger. L’objectif affiché par le site est « d’alerter sur la présence accrue des géants de la malbouffe et d’inciter les métropoles à être vigilantes et limiter ce mode d’alimentation, principal vecteur d’obésité chez les jeunes »

    Lire aussi : Gastronomie. Esquisse de sociologie gastronomique à Toulouse

    En tête de ce triste classement, Bordeaux avec 51 enseignes implantées dans sa ville, dont 11 McDonalds, 9 Paul et pas moins de 5 Starbucks. Dans cette ville de 260.352 habitants, le total pour 1.000 habitants en 2021 est de 0,1959. La capitale de la Guyenne est suivie par Tours, avec un total de 24 enseignes et un taux de 0,1724 pour 1.000 habitants. Metz, Limoges et Lille suivent. Paris se classe à la 7e place, avec un total record de 336 enseignes. 

    Toulouse 17e

    Toulouse se classe à la 17e place avec un total de 60 enseignes de la « malbouffe » implantés dans nos rues. Soit un taux de 0,122 pour 1.000 habitants. Cette étude nous permet de savoir en détail le nombre de commerces, par groupe, qui composent les rues de la ville rose. On dénombre 13 McDonalds, 2 Quick, 3 Burger King, 5 KFC, 4 Paul, 3 Brioche Dorée, 6 Domino’s Pizza, 7 Subway, 3 Mie Câline, 3 Starbucks, 3 La Croissanterie, 3 Pizza Hut, 1 Pomme de Pain, 2 O’tacos, 1 Bagelstein, 1 Speed Burger. 

    La limite de cette étude est qu’elle se concentre sur les grands groupes mais ne prend pas en compte les nombreux petites chaînes et commerçants indépendants, dont les kebabs qui se multiplient dans les rues. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Bordeaux : « près de 90 % » des agents de police souhaitent être armés, le maire écolo Pierre Hurmic s’y oppose

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021

    Le maire, Pierre Hurmic, est opposé à l’équipement en armes létales des policiers municipaux. Du côté des intéressés, cette position n’est pas partagée

    Depuis son élection comme maire de Bordeaux, et même pendant la campagne, Pierre Hurmic a toujours été clair sur le sujet : il est opposé à l’équipement en armes létales des policiers municipaux. « J’y suis hostile. Pour assurer la tranquillité publique, la police municipale n’a pas besoin d’être armée. Certains disent que c’est un obstacle au recrutement de policiers municipaux, je n’en suis pas persuadé. D’ailleurs, ils ne sont pas démunis à Bordeaux, ils sont équipés de Taser », indiquait-il l’été dernier, lors d’une conférence de presse, après une série d’agressions à l’arme blanche dans le centre-ville.

    (…) Mais qu’en pensent les policiers municipaux bordelais ? Partagent-ils cette position ? « A une écrasante majorité, non, assure Christian (1), en activité depuis plus de dix ans. Près de 90 % des agents souhaitent être armés. Les 10–15 % restant sont ceux qui arrivent en fin de carrière. » Représentant syndical CGT et policier municipal, Jérôme Désorthe confirme. « L’armement est de plus en plus attendu par les agents. La police municipale d’aujourd’hui n’est plus celle d’il y a quinze ans. Nos missions ont évolué. Nous sommes tout le temps sur le terrain. Souvent, nous sommes les premiers intervenants. »

    Mais pourquoi vouloir des armes qui peuvent tuer ? « Pas pour tuer, mais pour notre protection et celle des Bordelais », avance Christian. « Depuis deux ans, on vit une hausse de la violence et un durcissement de la délinquance. Sur la voie publique, on est exposé de la même manière que des policiers nationaux. On intervient sur des agressions, du deal, des infractions au Code de la route. On tombe régulièrement sur des personnes très agressives, alcoolisées, armées de couteaux. Une arme serait une mesure de sécurité », pense-t-il. Actuellement, les policiers municipaux bordelais sont équipés de gilets pare-balle, matraques, gazeuses lacrymogènes et Tasers.

    (…) Sud Ouest via fdesouche