Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

bordeaux - Page 11

  • Bordeaux : « près de 90 % » des agents de police souhaitent être armés, le maire écolo Pierre Hurmic s’y oppose

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvier 2021

    Le maire, Pierre Hurmic, est opposé à l’équipement en armes létales des policiers municipaux. Du côté des intéressés, cette position n’est pas partagée

    Depuis son élection comme maire de Bordeaux, et même pendant la campagne, Pierre Hurmic a toujours été clair sur le sujet : il est opposé à l’équipement en armes létales des policiers municipaux. « J’y suis hostile. Pour assurer la tranquillité publique, la police municipale n’a pas besoin d’être armée. Certains disent que c’est un obstacle au recrutement de policiers municipaux, je n’en suis pas persuadé. D’ailleurs, ils ne sont pas démunis à Bordeaux, ils sont équipés de Taser », indiquait-il l’été dernier, lors d’une conférence de presse, après une série d’agressions à l’arme blanche dans le centre-ville.

    (…) Mais qu’en pensent les policiers municipaux bordelais ? Partagent-ils cette position ? « A une écrasante majorité, non, assure Christian (1), en activité depuis plus de dix ans. Près de 90 % des agents souhaitent être armés. Les 10–15 % restant sont ceux qui arrivent en fin de carrière. » Représentant syndical CGT et policier municipal, Jérôme Désorthe confirme. « L’armement est de plus en plus attendu par les agents. La police municipale d’aujourd’hui n’est plus celle d’il y a quinze ans. Nos missions ont évolué. Nous sommes tout le temps sur le terrain. Souvent, nous sommes les premiers intervenants. »

    Mais pourquoi vouloir des armes qui peuvent tuer ? « Pas pour tuer, mais pour notre protection et celle des Bordelais », avance Christian. « Depuis deux ans, on vit une hausse de la violence et un durcissement de la délinquance. Sur la voie publique, on est exposé de la même manière que des policiers nationaux. On intervient sur des agressions, du deal, des infractions au Code de la route. On tombe régulièrement sur des personnes très agressives, alcoolisées, armées de couteaux. Une arme serait une mesure de sécurité », pense-t-il. Actuellement, les policiers municipaux bordelais sont équipés de gilets pare-balle, matraques, gazeuses lacrymogènes et Tasers.

    (…) Sud Ouest via fdesouche

  • Bordeaux : des bandes de “jeunes” font irruption dans deux lycées pour agresser des élèves au couteau, un lycéen poignardé au cou

    Publié par Guy Jovelin le 09 décembre 2020

    Cinq jeunes armés de couteaux ont fait irruption dans un lycée de Bordeaux (Gironde) ce lundi midi à la recherche d’un élève. A Eysines, un lycéen a quant à lui été poignardé dans son établissement scolaire.

    Les deux agressions ont un mode opératoire très similaire. Elles se sont produites à quelques heures d’intervalle et sont inquiétantes. Cinq jeunes individus ont pénétré dans le lycée Saint-Louis à Bordeaux, situé rue Jean Hameau, ce lundi vers 12h30. Les agresseurs étaient munis d’un marteau mais aussi de plusieurs couteaux indique une source policière.

    Ils étaient vraisemblablement à la recherche d’un autre élève et ont menacé le personnel de l’établissement venu les stopper. Ne trouvant pas leur victime, ils s’en sont violemment pris à l’un de ses amis qui a été roué de coups. Les cinq auteurs ont ensuite quitté le lycée. A l’arrivée de la police, ils avaient déjà disparu.

    (…)

    Poignardé au cou dans son lycée

    Situation très similaire à Eysines, commune voisine, vers 18h30 le soir même. Un groupe d’une dizaine de jeunes au visage dissimulé et muni d’armes blanches, a pénétré dans le lycée Charles-Péguy avec l’intention d’agresser un élève qui serait interne. Un autre adolescent se serait interposé et a été poignardé au niveau du cou.

    (…) Actu 17 via fdesouche

  • A Budapest, des Hongrois érigent un sapin en soutien aux Bordelais qui en seront privés par leur maire : “Même au temps du communisme, ils ne se sont pas attaqués au sapin”

    Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2020

    Le premier dimanche de l’Avent, un sapin de Noël a été mis en place pour Bordeaux… dans un arrondissement de Budapest.
    “Au premier dimanche de l’Avent, un sapin de Noël a été mis en place devant l’académie hongroise de lutte István Kozma dans le sud de Budapest, pour Bordeaux, après que le maire de gauche dure de Bordeaux a interdit la sapin sur la place principale de la ville.”

    “Le chef du groupe parlementaire du Fidesz, Máté Kocsis, a estimé qu’il était inqualifiable et inacceptable que précisément ceux qui parlent toujours de tolérance et d’acceptation en viennent à interdire les symboles chrétiens. Selon le député, il est probable que bientôt les nations considérant Noël comme une fête importante soit en minorité.”
    “C’est surréel et en même temps un honneur d’ériger ici un arbre de Noël pour une ville française. Jamais au cours des trente dernières années nous n’aurions cru, ici en Europe centrale, vivre cela, a déclaré Zsolt Bayer, le fameux éditorialiste proche de Viktor Orbán.”
    “Même au temps du communisme, ils ne se sont pas attaqués au sapin. Ils parlaient de la fête du sapin au lieu de Noël et de Mikulás au lieu du Père Noël, mais jamais le sapin n’a été interdit ou empêché, rajoute-t-il. Nous savons précisément ce que cela signifie lorsque des illuminés voulant changer le monde essayent de modifier nos vies et effacer de la surface de la Terre toutes les traditions.”
    “Le publiciste Zsolt Bayer a ajouté que depuis Budapest, ce sapin envoie un message à tous les Français qui perçoivent l’effacement de leurs traditions : vous n’êtes pas seuls, chaque année il y aura ici un sapin pour vous tant que Bordeaux ne chassera pas son illuminé et changeur de monde de maire, tant que Noël ne sera pas récupéré.”
    “Selon Máté Kocsis, un petit sapin à Budapest n’aidera pas en soi la situation des Chrétiens à Bordeaux bien entendu, mais le symbole est fort, et souligne qu’il y a encore des endroits en Europe où on a pas à avoir peur en tant que chrétien.”

    Bayer Zsolt a BLM-szoborrĂłl: MĂĄr mĂĄsnap le fogjuk dĂśnteni!

    A publicistĂĄnak nem tetszik Baranyi Krisztina Ăśtlete a ferencvĂĄrosi BLM-szoborrĂłl. Baranyi Krisztina polgĂĄrmester szobrot ĂĄllĂ­tana a szĂŠlsőbalos BLM-mozgalomnak FerencvĂĄrosban. „VĂŠgre ez a nő is belefogott a lĂĄzas pĂłtcselekvĂŠsbe, idiĂłta semmittevĂŠsbe. Alig vĂĄrjuk a szoboravatĂĄst. MĂĄr mĂĄsnap le fogjuk dĂśnteni a picsĂĄba!”  – Ă­rja blogjĂĄn Bayer Zsolt.   Mi meg ÉLŐBEN fogjuk kĂśzvetĂ­teni…  

  • Bordeaux : 13 000 euros de PV pour un couple qui dormait dans leur voiture avec leur nourrisson après une expulsion

    Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2020

    À Bordeaux, un couple et leur nourrisson se sont retrouvés durant six mois à la rue après une expulsion. Dormant dans leur voiture, ils ont reçu un total de 13 000 euros de PV pour ne pas avoir payé l’horodateur durant 141 jours.

    En mai dernier, un couple et leur nourrisson ont été expulsés de leur logement. Depuis, ils dormaient, en partie pour la femme et son enfant, dans leur voiture. Après 141 jours d’occupation de l’espace public sans avoir payé l’horodateur, ils ont reçu un total de 13 000 euros de PV à payer.

    En octobre 2018, le père avait été licencié de son entreprise. Puis selon les informations de Sud-Ouest, le couple a été prié de quitter le logement, car le propriétaire de l’appartement souhaitait y loger son petit-fils. Malgré leurs réclamations, le couple a dû quitter le logement, leur expulsion étant confirmée le 13 mars 2020. Entre temps, le 22 décembre dernier, leur enfant est venu au monde.

    Finalement la famille se retrouve à la rue en mai, avec leur nourrisson de six mois. Depuis, le couple ne parvenait pas à retrouver un logement. La mère et le nourrisson enchaînaient les séjours de courte durée, chez des amis, leurs parents, à l’hôtel ou bien dans leur voiture, selon Sud-Ouest. De son côté, le père a dû dormir dans leur voiture, à Bordeaux, pour son nouvel travail.

    Toutefois, n’ayant alors pas de domicile pour recevoir ces amendes, le père a dû faire face à une saisie de salaire de 2 000 euros, qui lui a coûté son nouvel emploi.

    Ouest-France via fdesouche

  • Bordeaux : l’insécurité met la ville sous tension, “quand des gens qui ont commis 10 agressions sont remis en liberté, ça donne le sentiment que la police ne fait rien”

    Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2020

    Louée pour sa qualité de vie, la cité bordelaise fait face à une recrudescence des violences. Comment en est-on arrivé là ? Notre enquête.

    (…) Ce qui est inédit, c’est la multiplication subite des agressions à l’arme blanche en divers points du centre-ville. Une trentaine au cours du seul mois de juillet. Plus inquiétant : sur les neuf premiers mois de 2020, les vols avec arme ont connu un bond spectaculaire de 69 % par rapport à 2019.

    (…) Tout au long de l’été, ce climat d’insécurité s’est imposé sur les chaînes d’info en continu comme une nouveauté. Cela fait pourtant plusieurs mois que la situation s’est dégradée. « Il y a eu une explosion médiatique car la violence touche maintenant le centre-ville. Mais, de 2012 à 2019, la délinquance a augmenté en moyenne de 30 % », observe Amine Smihi, adjoint (EELV) chargé de la sécurité.

    (…) Quoi qu’il en soit, les commerçants du centre-ville assistent depuis à la montée d’un phénomène inconnu. Ils voient se répéter – parfois devant leur pas-de-porte – les agressions, les vols et les bagarres.

    (…) Non loin de là, les habitants du quartier populaire et cosmopolite de Saint-Michel sont confrontés à une délinquance endémique. Impuissants, ils assistent aux vols à répétition et au trafic de drogue qui se fait ici à ciel ouvert – ou presque. Il y a peu, un pochoir à la peinture noire est apparu sur un mur au pied duquel se déroulent les transactions : « Ici vente de drogue avec la bienveillance de la police. » Un pied de nez qui résume une exaspération générale que Philippe Rolland, secrétaire régional d’Unité SGP police FO, perçoit comme un signal de détresse. « C’est l’expression d’un ras-le-bol de la population que je comprends », résume ce syndicaliste.

    (…) « Il n’y a heureusement pas de zone de non-droit à Bordeaux », soutient la procureure, Frédérique Porterie. Reste que, à la nuit tombée, mieux vaut être vigilant dans certains endroits.

    (…) « Quand des gens qui ont commis dix agressions sont remis en liberté, ça donne le sentiment que la police ne fait rien. La réponse pénale n’est pas assez forte pour être dissuasive. »

    (…) Le Point via fdesouche