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bordeaux - Page 16

  • Bordeaux : une famille algérienne exploitait entre 50 et 100 mineurs non accompagnés pour commettre des vols

    Publié par Guy Jovelin le 21 février 2020

    Par  le 21/02/2020

    Des téléphones, des vélos, des ordinateurs portables, des montres, des bijoux en or, deux véhicules, 589 boîtes de médicaments et plus de 37 000 euro: perquisitions fructueuses pour la police de Bordeaux en début de semaine. Un butin amassé par une famille d’origine algérienne, à la tête d’un réseau de vols et de recels de biens impliquant des mineurs non accompagnés originaires du Maghreb.
    […]
    Ces intermédiaires « employaient eux-mêmes ces jeunes issus d’Algérie et du Maroc qui occupent les squats de Bordeaux et qui vivent de vols, de cambriolages. Ils les ont exploité et drogué pour les mettre sous pression et créer une relation de dépendance afin de les faire travailler pour eux. »
    […]

    France Bleu via fdesouche

  • La délinquance des mineurs explose en France

    Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2020

    Par  le 29/01/2020

    Une augmentation de 30 % à Paris, 60 % Pontoise ; 100 % à Bordeaux. Des chiffres révélés par « l’Obs » montrent une hausse très importante du nombre de mineurs déférés devant la justice entre 2017 et 2019. En revanche, cette délinquance décroît à Reims, Melun ou Toulouse.

    Tout est parti de l’enquête que « l’Obs » publie cette semaine dans son numéro en kiosques jeudi 30 janvier à propos de la délinquance à Paris. Au cours de ce long reportage réalisé fin décembre au parquet des mineurs de Paris, nous avons constaté qu’entre 2017 et 2019 le nombre de défèrements des moins de 18 ans pour des faits de délinquance avait bondi de 29,7 % (de 3 340 en 2017 à 4 333 en 2019). Le parquet de Paris, qui voit défiler les vols à la tire de portables, les violences et autres phénomènes de rixe, assure que « ces chiffres ne correspondent pas un changement de politique pénale mais uniquement à une hausse de la délinquance ».

    La capitale est-elle la seule concernée par ce phénomène ? « L’Obs » a voulu le vérifier en enquêtant sur la situation des autres tribunaux judiciaires de France. Les procureurs de la République que nous avons interrogés nous ont permis de dresser un état des lieux basé sur ce seul critère judiciaire : quel est le nombre de mineurs interpellés, poursuivis et donc présentés à la justice, c’est-à-dire déférés ? Quelle est l’évolution ? Les résultats montrent des pics très localisés mais très nets, en particulier à Bordeaux et à Pontoise. La carte de France ainsi établie est cependant contrastée. A Reims, Melun ou Toulouse, on constate une nette baisse du nombre de mineurs déférés devant la justice. Chaque affaire judiciaire étant toujours une histoire différente, la sécheresse des chiffres ne donne évidemment aucun détail des crimes et des…

    […]

    L’article dans son intégralité sur L’OBS

  • Cathophobie ordinaire : six églises taguées d’insulte à Bordeaux

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2020

     le 

    Cathophobie ordinaire : six églises taguées d’insulte à Bordeaux

    Un entrefilet dans le Figaro et la nuit passera sur ce qui devient le quotidien de la haine en France :

    “Une demi-douzaine d’églises de Bordeaux et de son agglomération ont été la cibles de tags injurieux envers l’Eglise, dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 janvier, des inscriptions sans doute liées à l’actualité.

    Au moins cinq églises à Bordeaux, et une à Talence, ont été visées par ces graffitis insultants, découverts dimanche matin sur le portail ou sur les murs, et «sans doute de la même main», a indiqué le diocèse de Bordeaux”.

     

    Source : lesalonbeige

  • Bordeaux : Un SDF antillais tire en pleine rue sur son dealer pour une dette de 60€. Son avocate relativise : « aux Antilles, le rapport à la sécurité est différent »

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2020

    Par  le 08/01/2020

    Le 1er janvier, parce qu’il ne récupérait pas les 60 euros confiés pour acheter de la drogue, un homme a tiré à trois reprises sur son fournisseur. Jugé lundi par le tribunal correctionnel pour avoir tiré à trois reprises, en pleine rue de Bordeaux et en plein après-midi, sur son fournisseur défaillant, un trentenaire antillais, sans domicile fixe, ne nie pas les faits qui lui sont reprochés. Il n’en tire aucune gloire mais explique dans un haussement d’épaules pourquoi et comment il s’est fait justice lui-même.

    « Il me devait 60 euros », estime pouvoir justifier le prévenu. De l’argent confié pour acheter de la drogue qui n’a jamais été livrée. Lassé d’attendre, il a préféré demander le remboursement de la somme. « Pendant une semaine, je l’ai harcelé pour qu’il me remette mes sous. S’il me les avait rendus, je n’aurais pas tiré. »

    Mais le 1er janvier, au sortir d’un hôtel proposé comme hébergement par le 115, il rencontre son dealer. Il remonte dans sa chambre et redescend armé d’un pistolet 6.35. Chargé. « C’est pour ma protection », confie l’Antillais, arrivé à Bordeaux au début du mois de décembre.

    Sans exonérer le prévenu de ses responsabilités, son avocate Me Laury Costes rappelle qu’il s’est senti menacé par la victime, qu’après avoir été opéré récemment, il ne se sentait pas en mesure de courir ou se battre et que, « venant des Antilles où le rapport à la sécurité est différent », il s’est armé. Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné Roger Ajax à deux ans de prison ferme. Il est reparti en prison.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Migrants : Le diocèse de Bordeaux appelle à soutenir une association anarchiste anti-catholique

    Publié par Guy Jovelin le 05 août 2019

    Par  le 02/08/2019

    Dans un communiqué de presse signé par Michel Barrabès, délégué épiscopal pour la « Pastorale des Migrants », le diocèse de Bordeaux appelle les catholiques à la « solidarité » avec les migrants.

    Celui qui est également diacre (photo) et qui office dans le secteur des Graves « lance un appel à la solidarité » et demande aux catholiques de rejoindre les associations d’extrême gauche qui luttent contre la préfecture, et aident de nombreux immigrés en situation irrégulière.

    « Au cœur de l’été, de nombreuses associations d’entraide se trouvent à court de bénévoles. Nous lançons donc un appel à la solidarité à tous les catholiques du diocèse de Bordeaux pour qu’ils apportent leur soutien et aide, chacun selon ses moyens, aux hommes et femmes de bonnes volontés déjà mobilisés pour aider ces personnes mises à la rue (…) vous pouvez vous rendre directement à l’Athénée libertaire, 7 rue du Muguet, où le Collectif des Migrants de Bordeaux assure un accueil de jour au mois d’août (accueil et orientation, tri des vêtements, permanence juridique quotidienne de 10h à 12h, distribution d’un repas en fin d’après-midi…) (05 56 81 01 91) ».

    Ce que ne précise pas le diocèse de Bordeaux dans ce message envoyé à de nombreux catholiques de Gironde, c’est que l’Athénée libertaire est le fief des milieux anarchistes et violemment anticatholiques.

    Ce local situé dans le centre-ville de Bordeaux se définit comme « un espace associatif militant, crée dans les années 60 par des militant-e-s anarchistes bordelais-e-s. Ce lieu héberge des activités de libertaires sur Bordeaux. Il favorise des rencontres, des initiatives, des débats, des échanges sur d’autres bases que celles du fric, de la consommation, de l’aliénation, de l’exploitation et de la domination ».

    Ce sont des associations hébergées dans ce local qui avaient en 2011 dégradé la libraire catholique « La Barque des apôtres » (voir notre article). Ces derniers militent pour « le droit à l’euthanasie », « L’abolition du genre : le sexe biologique ne détermine plus la place des individu.es, les catégories hommes – femmes cessent d’être la norme de référence pour l’organisation de la société », « l’IVG libre et gratuit », ou encore « le libre choix de nos sexualités ».