Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

bordeaux - Page 16

  • La délinquance des mineurs explose en France

    Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2020

    Par  le 29/01/2020

    Une augmentation de 30 % à Paris, 60 % Pontoise ; 100 % à Bordeaux. Des chiffres révélés par « l’Obs » montrent une hausse très importante du nombre de mineurs déférés devant la justice entre 2017 et 2019. En revanche, cette délinquance décroît à Reims, Melun ou Toulouse.

    Tout est parti de l’enquête que « l’Obs » publie cette semaine dans son numéro en kiosques jeudi 30 janvier à propos de la délinquance à Paris. Au cours de ce long reportage réalisé fin décembre au parquet des mineurs de Paris, nous avons constaté qu’entre 2017 et 2019 le nombre de défèrements des moins de 18 ans pour des faits de délinquance avait bondi de 29,7 % (de 3 340 en 2017 à 4 333 en 2019). Le parquet de Paris, qui voit défiler les vols à la tire de portables, les violences et autres phénomènes de rixe, assure que « ces chiffres ne correspondent pas un changement de politique pénale mais uniquement à une hausse de la délinquance ».

    La capitale est-elle la seule concernée par ce phénomène ? « L’Obs » a voulu le vérifier en enquêtant sur la situation des autres tribunaux judiciaires de France. Les procureurs de la République que nous avons interrogés nous ont permis de dresser un état des lieux basé sur ce seul critère judiciaire : quel est le nombre de mineurs interpellés, poursuivis et donc présentés à la justice, c’est-à-dire déférés ? Quelle est l’évolution ? Les résultats montrent des pics très localisés mais très nets, en particulier à Bordeaux et à Pontoise. La carte de France ainsi établie est cependant contrastée. A Reims, Melun ou Toulouse, on constate une nette baisse du nombre de mineurs déférés devant la justice. Chaque affaire judiciaire étant toujours une histoire différente, la sécheresse des chiffres ne donne évidemment aucun détail des crimes et des…

    […]

    L’article dans son intégralité sur L’OBS

  • Cathophobie ordinaire : six églises taguées d’insulte à Bordeaux

    Publié par Guy Jovelin le 20 janvier 2020

     le 

    Cathophobie ordinaire : six églises taguées d’insulte à Bordeaux

    Un entrefilet dans le Figaro et la nuit passera sur ce qui devient le quotidien de la haine en France :

    “Une demi-douzaine d’églises de Bordeaux et de son agglomération ont été la cibles de tags injurieux envers l’Eglise, dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 janvier, des inscriptions sans doute liées à l’actualité.

    Au moins cinq églises à Bordeaux, et une à Talence, ont été visées par ces graffitis insultants, découverts dimanche matin sur le portail ou sur les murs, et «sans doute de la même main», a indiqué le diocèse de Bordeaux”.

     

    Source : lesalonbeige

  • Bordeaux : Un SDF antillais tire en pleine rue sur son dealer pour une dette de 60€. Son avocate relativise : « aux Antilles, le rapport à la sécurité est différent »

    Publié par Guy Jovelin le 08 janvier 2020

    Par  le 08/01/2020

    Le 1er janvier, parce qu’il ne récupérait pas les 60 euros confiés pour acheter de la drogue, un homme a tiré à trois reprises sur son fournisseur. Jugé lundi par le tribunal correctionnel pour avoir tiré à trois reprises, en pleine rue de Bordeaux et en plein après-midi, sur son fournisseur défaillant, un trentenaire antillais, sans domicile fixe, ne nie pas les faits qui lui sont reprochés. Il n’en tire aucune gloire mais explique dans un haussement d’épaules pourquoi et comment il s’est fait justice lui-même.

    « Il me devait 60 euros », estime pouvoir justifier le prévenu. De l’argent confié pour acheter de la drogue qui n’a jamais été livrée. Lassé d’attendre, il a préféré demander le remboursement de la somme. « Pendant une semaine, je l’ai harcelé pour qu’il me remette mes sous. S’il me les avait rendus, je n’aurais pas tiré. »

    Mais le 1er janvier, au sortir d’un hôtel proposé comme hébergement par le 115, il rencontre son dealer. Il remonte dans sa chambre et redescend armé d’un pistolet 6.35. Chargé. « C’est pour ma protection », confie l’Antillais, arrivé à Bordeaux au début du mois de décembre.

    Sans exonérer le prévenu de ses responsabilités, son avocate Me Laury Costes rappelle qu’il s’est senti menacé par la victime, qu’après avoir été opéré récemment, il ne se sentait pas en mesure de courir ou se battre et que, « venant des Antilles où le rapport à la sécurité est différent », il s’est armé. Après en avoir délibéré, le tribunal a condamné Roger Ajax à deux ans de prison ferme. Il est reparti en prison.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Migrants : Le diocèse de Bordeaux appelle à soutenir une association anarchiste anti-catholique

    Publié par Guy Jovelin le 05 août 2019

    Par  le 02/08/2019

    Dans un communiqué de presse signé par Michel Barrabès, délégué épiscopal pour la « Pastorale des Migrants », le diocèse de Bordeaux appelle les catholiques à la « solidarité » avec les migrants.

    Celui qui est également diacre (photo) et qui office dans le secteur des Graves « lance un appel à la solidarité » et demande aux catholiques de rejoindre les associations d’extrême gauche qui luttent contre la préfecture, et aident de nombreux immigrés en situation irrégulière.

    « Au cœur de l’été, de nombreuses associations d’entraide se trouvent à court de bénévoles. Nous lançons donc un appel à la solidarité à tous les catholiques du diocèse de Bordeaux pour qu’ils apportent leur soutien et aide, chacun selon ses moyens, aux hommes et femmes de bonnes volontés déjà mobilisés pour aider ces personnes mises à la rue (…) vous pouvez vous rendre directement à l’Athénée libertaire, 7 rue du Muguet, où le Collectif des Migrants de Bordeaux assure un accueil de jour au mois d’août (accueil et orientation, tri des vêtements, permanence juridique quotidienne de 10h à 12h, distribution d’un repas en fin d’après-midi…) (05 56 81 01 91) ».

    Ce que ne précise pas le diocèse de Bordeaux dans ce message envoyé à de nombreux catholiques de Gironde, c’est que l’Athénée libertaire est le fief des milieux anarchistes et violemment anticatholiques.

    Ce local situé dans le centre-ville de Bordeaux se définit comme « un espace associatif militant, crée dans les années 60 par des militant-e-s anarchistes bordelais-e-s. Ce lieu héberge des activités de libertaires sur Bordeaux. Il favorise des rencontres, des initiatives, des débats, des échanges sur d’autres bases que celles du fric, de la consommation, de l’aliénation, de l’exploitation et de la domination ».

    Ce sont des associations hébergées dans ce local qui avaient en 2011 dégradé la libraire catholique « La Barque des apôtres » (voir notre article). Ces derniers militent pour « le droit à l’euthanasie », « L’abolition du genre : le sexe biologique ne détermine plus la place des individu.es, les catégories hommes – femmes cessent d’être la norme de référence pour l’organisation de la société », « l’IVG libre et gratuit », ou encore « le libre choix de nos sexualités ».

  • Course « Bouge pour ton père » dans les rues de Bordeaux : la haine LGBT dégouline des murs

    Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2019

    Auteur : Michel Janva

    Course « Bouge pour ton père » dans les rues de Bordeaux : la haine LGBT dégouline des murs

    D’un lecteur :

    J’ai participé à la course « Bouge pour ton père dans les rues de Bordeaux ». Le long du parcours qui traçait les lettres du mot PAPA, des militants LGBT avaient sali les mûrs avec de très nombreux graffitis. Trois points m’ont marqué :

    • La haine n’est pas du côté de la Manif pour tous, elle est du côté du lobby LGBT. Le lobby LGBT et souvent la presse (cf l’article de Sud Ouest du 14 juin) accuse la manif pour tous d’installer des discours de haine. Pourtant les insultes et les slogans orduriers très présents sur les réseaux sociaux proviennent de militants LGBT pas de la manif pour tous. La haine des LGBT est aussi présente sur les tags des mûrs de Bordeaux.
    • Les insultes ont souvent une connotation religieuse et même blasphématoire, pourtant jamais la manif pour tous ne fait appel à des arguments de nature spirituelle. Il n’est pas nécessaire d’être catholique pour s’opposer à la PMA sans père. L’argumentaire est uniquement naturel, jamais moral ou surnaturel. Et pourtant les insultes LGBT sont souvent blasphématoires, cf les 11 tags pris en photo.
    • Les militants LGBT ont le sentiment que ce sont leurs personnes elles-mêmes qui sont rejetées par les militants de la manif pour tous. Quelques personnes de « Bouge pour ton père » ont pu discuter au calme avec 3 militantes LGBT de la contre manif qui nous attendait place des Quinconces à l’arrivée de la course. Ces militantes LGBT se sentent haïes et rejetées par les gens de la manif pour tous car elles fusionnent leur personne, leur point de vue et leur orientation sexuelle. Il me semble fondamental de rappeler la distinction à opérer entre une personne, son orientation sexuelle et ses actes. Toute personne est digne et doit être respectée parce que c’est une personne. Une personne ne se réduit pas à ses actes ou à ses opinions. Les militants de la manif pour tous cherchent à respecter toutes les personnes, y compris les militants LGBT, même si les points de vue qu’ils défendent sont inacceptables pour les partisans de la manif pour tous.

    Je n’ai pas mis les slogans blasphématoires…

    smart

    smart

    smart

     

    Source : lesalonbeige