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  • ALERTE – L’État délègue la surveillance du web au CRIF

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

     
    Le gouvernement français confie la modération des contenus en ligne à une douzaine d’associations militantes, leur offrant un pouvoir inédit de signalement rapide via l’Arcom. Un pas de plus vers une surveillance idéologique du web, au détriment de la liberté d’expression.
    La ministre française de la lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, a dévoilé un plan qui sent bon la surveillance généralisée d’Internet. Objectif affiché : éradiquer les contenus « haineux » en ligne. Traduction : confier à une coalition d’associations triées sur le volet le pouvoir de signaler à tour de bras tout ce qui leur déplaît, avec une rapidité digne d’un DSK au Sofitel. Et devinez qui est aux manettes ? Le Crif, bras armé autoproclamé des intérêts d’Israël, parade en tête de cortège, accompagné d’une ribambelle d’organisations bien-pensantes prêtes à faire la pluie et le beau temps sur les réseaux sociaux. Stupéfiant, non ?

    Une coalition pour tout nettoyer (ou tout contrôler ?)

    Sur France 2, Bergé a annoncé la couleur : l’État va généreusement financer une douzaine d’associations pour qu’elles traquent les discours jugés antisémite, raciste, anti-musulmans, homophobe ou encore misogyne. Parmi elles, on retrouve le Crif, la Licra, SOS Racisme, SOS Homophobie, Osez le féminisme, le Planning familial ou encore Respect Zone. Ces structures, déjà gavées de subventions publiques, vont recevoir un coup de pouce supplémentaire pour recruter des « cyber-justiciers » chargés de signaler à l’Arcom (l’autorité de régulation de la communication) tout contenu qui ne passe pas le test de la moralité. Résultat ? Les publications visées seront supprimées à la vitesse de l’éclair, sans trop se poser de questions.

    Avec un tel dispositif, ces associations deviennent les shérifs du web, des juges autoproclamés de ce qui est acceptable ou non. Et quand on voit le Crif, champion toutes catégories de la chasse à l’antisémitisme (ou à tout ce qu’il décide de qualifier comme tel), on se demande si la liberté d’expression n’est pas en train de prendre un sérieux coup dans l’aile. Parce que, soyons sérieux deux minutes : confier à des groupes militants, souvent alignés sur des agendas politiques bien précis, le pouvoir de censurer à tour de bras, c’est comme donner les clés d’un bulldozer à un enfant de cinq ans. Ça risque de déraper.

    Aurore Bergé, la croisade pour un Internet « propre »

    Pour Aurore Bergé, cette initiative serait une « cause commune » et un « enjeu démocratique majeur ». Rien que ça. Selon elle, les réseaux sociaux exercent une influence « absolument énorme » sur nos vies, au point de menacer la santé publique, notamment celle des adolescents. Un discours qui fleure bon la panique morale, histoire de justifier une mainmise accrue sur ce qui se dit en ligne. La ministre n’a pas hésité à convoquer les géants du numérique – Meta, YouTube, TikTok, Snapchat, Twitch – pour leur rappeler leurs « obligations ». Sous-entendu : alignez-vous, ou l’Union européenne sortira l’artillerie lourde des sanctions.

     

    Mais derrière les grands mots et les appels à la responsabilité, c’est une réalité bien moins reluisante qui se dessine. En dotant ces associations d’un accès prioritaire à l’Arcom, l’État leur offre un passe-droit pour imposer leur vision du monde. Et quand on sait que certaines d’entre elles, comme le Crif, n’hésitent pas à brandir l’accusation d’antisémitisme pour faire taire toute critique d’Israël, on peut légitimement craindre une dérive où la censure deviendra un outil politique plus qu’un rempart contre la haine.

    Une annonce qui arrive juste après l’adoption  le 2 juillet 2025. par l’Assemblée nationale, d’une loi relative à la lutte contre l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur. Les députés ont été 366 députés à voter pour, mais 88 députés, issus majoritairement de La France insoumise (65), du groupe communiste (12) et des écologistes (11), ont en revanche rejeté le texte, ce que le Crif a condamné. Plus de soixante députés, en application de l’article 61§2 de la Constitution, ont saisi le Conseil constitutionnel.

    La délation est chaudement recommandée par le texte de loi :

    « Tout membre du personnel ayant connaissance d’un fait d’antisémitisme, de racisme, de discrimination, de violence ou de haine survenu dans ou en dehors de l’établissement, ayant un lien avec la vie universitaire, le signale sans délai auprès du dispositif mentionné au premier alinéa. »

    L’interdiction de travailler en université est prévue :

    « Ce décret précise également les mesures d’interdiction d’accès aux enceintes et locaux qui peuvent être décidées par le président ou le directeur de l’établissement à l’encontre des usagers faisant l’objet d’une procédure disciplinaire »

    Un air de déjà-vu pendant la période McKinsey.

    Et pendant ce temps, la liberté d’expression, ce vieux machin poussiéreux, risque de se retrouver reléguée au rang de souvenir lointain. Bravo, Aurore, belle performance.

  • Retailleau et le CRIF pètent un plomb à cause d’un message pour… la paix !

    Publié par Guy de Laferrière le 08 novembre 2024

     

    Hier soir pour le match de champions league contre l’Atlético Madrid, les supporters parisiens (ou ce qu’il en reste depuis la scandaleuse interdiction du Kop Of Boulogne) ont déployé un tifo avec deux messages : “Free Palestine” et “La guerre sur le terrain mais la paix dans le monde”. Ces messages de bon sens, la liberté et la paix étant les objectifs naturels de tout homme civilisé, ont malgré leur relative platitude déclenché l’ire du président du CRIF et du ministère de l’Intérieur, deux entités dont il est assez difficile de savoir qui est qui.

    Le président du CRIF a vu dans ce message un “appel à la haine” et souhaite que les supporters soient “sanctionnés”, quant au ministre de l’Intérieur il a carrément demandé au PSG d’interdire les tifos qui “abîment le sport” avec la “politique”.

    Bien évidemment, l’UEFA a contredit notre ministre qui prétendait que “Free Palestine” contrevenait à ses règles.

    Mais au-delà de cette anecdote, il est amusant de constater que Bruno Retailleau refuse que la politique entre dans les stades quand il s’agit de défendre un peuple qu’Israël déteste, alors qu’il ne trouve rien à redire lorsque l’antiracisme et le lobbyisme LGBT s’incrustent à chaque match, sans parler de la ridicule pantomime de ces équipes dont les joueurs mettent un genou à terre avant chaque coup d’envoi.

    Liberté pour les supporters, liberté pour les ultras, liberté pour les Palestiniens, et à bas l’antiracisme à sens unique !

  • Le CRIF loue la censure de la presse

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2022

    Auteur : 

    Ils étaient Charlie, battaient le pavé et signaient des communiqués pour le droit intangible à la liberté d’expression et la liberté de la presse, mais ils se réjouissent de chaque coup de butoir dont est victime l’hebdomadaire Rivarol.

    Il ne faut chercher aucune cohérence dans le monde d’aujourd’hui où les hypocrites et les Tartuffe règnent en maîtres.

     

    Source :  medias-presse.info

  • Le gouvernement israélien très satisfait des services du CRIF…

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

    Le vice-premier ministre israélien et ministre des Affaires étrangères, Yaïr Lapid, a reçu la semaine dernière une délégation du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

    « Heureux de ma rencontre avec le CRIF. Une organisation importante qui représente les juifs de France, combat l’antisémitisme et contribue à renforcer les liens entre la France et Israël. Nous continuerons à agir ensemble afin de renforcer les liens entre la diaspora et Israël », a tweeté le vice-premier ministre israélien. Le gouvernement hébreu est visiblement très satisfait des services du CRIF.

    L’ambassade de France en Israël et le Consul Général de France à Jérusalem ont naturellement déroulé le tapis rouge pour accueillir cette délégation du CRIF reçue comme une mission diplomatique.

    On notera pourtant que plusieurs médias communautaires amenés à faire écho de cette visite se sont montrés très critiques à l’égard du CRIF qualifié de « controversé »  par Le Monde Juif. « Depuis plusieurs années le CRIF est contesté au sein de la communauté juive. De nombreuses voix juives (…) accusent l’organisation de confisquer la voix des Juifs à des fins politiques pour ses propres intérêts. », a notamment précisé Le Monde Juif. Ce qui n’a pas l’air de gêner le gouvernement français.

     

    Source : medias-presse.info

  • De quoi rassurer le CRIF : le Grand Orient organise un voyage mémoriel à Auschwitz

    Publié par Guy Jovelin le 05 septembre 2019

     

    Le discours d’installation 2019 du Grand Maître du Grand Orient de France (GODF) Jean-Philippe Hubsch, réélu pour un second mandat, mérite quelque attention.

    Ce discours a d’abord rappelé que la laïcité devait être le centre de la rhétorique de la franc-maçonnerie comme de la République :

    « La laïcité est plus que jamais menacée, tant dans la sphère publique, que dans les entreprises, les clubs sportifs ou encore les associations. Notre rôle, à nous francs-maçons du Grand Orient de France, et d’arriver à obtenir la constitutionnalisation des deux premiers articles de la loi de 1905, et à ce que cette loi soit appliquée sur tout le territoire de la République, sans aucune exception. Cette insertion de la laïcité dans la Constitution lui donnera une force juridique majeure qui la mettra à l’abri des tentatives de la réduire à néant. »

    Ensuite, le Grand Maître du Grand Orient de France a fait une annonce qui ravira le CRIF après la polémique qui avait créé quelques apparentes tensions entre les deux organisme : le GODF organisera un voyage mémoriel à Auschwitz en mars ou en avril prochain, pour le 75e anniversaire de la libération du camp :

    « à l’heure du regain de l’antisémitisme, de l’antimaçonnisme et de la montée de toutes formes de racisme, j’ai pensé qu’il était important pour nous francs-maçons du Grand Orient de France, de nous rendre sur ces lieux où la souffrance de nos ancêtres est encore palpable, pour nous recueillir, pour nous rappeler, pour ne jamais oublier… »

    Le Grand Maître a aussi évoqué le « livre blanc de la politique internationale » du Grand Orient, dans lequel sont abordés la politique européenne de l’obédience maçonnique, ses relations avec les pays méditerranéens, la coopération Afrique Europe, son rôle au sein du continent américain, et le développement de la franc-maçonnerie en Asie. Il y est aussi question du rôle de l’Alliance Maçonnique Européenne (AME), qui a pour objet de devenir un interlocuteur maçonnique auprès des institutions européennes.

    Le GODF lancera aussi un nouveau projet cette année, visant à tenter de recruter de nouveaux adeptes : les Universités Populaires Maçonniques.

    « il s’agira d’organiser tous les mois une conférence publique, sur des sujets de réflexion philosophique, avec des intervenants de premier plan. »

     

    Source : medias-presse.info