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espagne - Page 8

  • Espagne : un migrant marocain “braqueur professionnel” auteur d’une centaine de délits et condamné une soixantaine de fois, est “toujours remis en liberté”

    Publié par Guy Jovelin le 05 janvier 2021

    Un Marocain condamné une soixantaine de fois à Barcelone

    […]

    Braqueur professionnel, le Marocain, qui venait à peine d’arriver dans la ville catalane, est déjà inscrit dans la liste des criminels les plus actifs et les plus recherchés, rapportent les médias locaux. Le récidiviste avait une préférence pour les commerces des quartiers de Sant Antoni et l’Eixample.

    Depuis le 26 octobre, date de sa dernière incarcération, Mohamed est passé 6 fois devant le juge sans jamais être condamné. Placé en détention provisoire à plusieurs reprises, il a toujours été remis en liberté

    […]

    Suite au braquage d’un magasin de chaussures du quartier Sarria, le Marocain a été inculpé et placé en détention sous 9 chefs d’accusation.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Bladi via fdesouche

  • L’Espagne va ficher les personnes refusant de se faire vacciner contre le Covid-19

    Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2020

    L’Espagne va ficher les personnes refusant de se faire vacciner contre le Covid-19
     
    Le gouvernement espagnol a annoncé lundi qu’il allait recenser les personnes refusant de se faire vacciner contre le Covid-19. Un registre sera partagé avec d’autres pays européens, officiellement “pour anticiper la répartition des doses de vaccin”, mais ne sera pas rendu public, a précisé le ministre espagnol de la Santé :

     

    Source : ndf

  • Espagne : le ministère de l’intérieur fait affréter des bateaux pour reconduire des migrants algériens chez eux, en Algérie

    Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2020

    L’intérieur ordonne à [la compagnie] Trasmediterránea d’affréter trois bateaux pour ramener des migrants en Algérie

    […]

    Le contrat avec la compagnie maritime a un coût de 200.000 euros et permettra le retour d’environ 120 migrants algériens 

    Le ministère de l’Intérieur a chargé la compagnie maritime espagnole Trasmediterránea d’affréter trois navires pour transférer en Algérie d’Alicante quelque 120 migrants en situation irrégulière en Espagne. 

    […]

    L’Algérie est l’un des pays africains avec lesquels le gouvernement de coalition a intensifié ses efforts politiques ces derniers mois pour tenter d’accélérer le retour des migrants arrivant en Espagne, ce qui a conduit à des visites à Alger en 2020 par le ministre de Affaires étrangères, Union européenne et coopération (Arancha González Laya) ainsi que le ministre de l’Intérieur (Fernando Grande-Marlaska). Plus précisément, il s’est rendu le 10 août et a rencontré le président, Abdelmadjid Tebboune; le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Kamel Beldjoud, et avec le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum.

    […]

    Conformément aux conditions convenues, “un maximum de 40 immigrés irréguliers” voyageront sur chacun des trois navires, accompagnés des policiers qui assurent le service d’escorte correspondant. Le coût de chaque voyage a été estimé à 65000 euros et comprend le transfert des citoyens et agents algériens, l’entretien des groupes et l’hébergement dans les cabines des fonctionnaires du corps national, étant susceptibles de faire l’objet de dépenses – selon l’Intérieur – Il peut être financé par le Fonds d’intégration des migrations d’asile (FAMI) de l’Union européenne.

    L’article dans son intégralité sur Elindependiente via fdesouche

  • Espagne : des centaines de migrants algériens expulsés

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2020

    Mardi, dans la soirée, un bateau de voyageurs espagnol a accosté au port de Ghazaouet, à son bord des Algériens sans papiers dont on ignore le nombre.

    Un rapatriement effectué dans un black-out total. En ce sens, que cette opération (qui sera suivie par deux autres, selon nos informations) était entourée de mesures sécuritaires drastiques, empêchant toute personne d’approcher de l’infrastructure portuaire.

    Voulant nous informer sur le nombre d’expatriés, nous nous sommes retrouvés face à un mur de silence inexplicable. Aucune autorité n’a souhaité nous entretenir sur ce sujet.

    Et encore une fois, ce sont nos sources de l’étranger qui nous ont éclairés : le média ibérique ABC, dans la même journée, a indiqué que «l’Algérie commence à accepter les immigrants de retour d’Espagne».

    (…)

    Depuis le début de l’année 2020, l’immigration irrégulière algérienne en Espagne a augmenté de 606%. Au 6 septembre dernier, 5343 Algériens ont été appréhendés sur les côtes du sud de la péninsule ibérique. Sans compter ceux qui ont réussi à se faufiler entre les mailles du filet et qui ne figurent donc pas dans le décompte officiel d’immigré irréguliers.

    (…) El Watan via fdesouche

  • Espagne – #christianophobe sur twitter en libre circulation : « Brûler les prêtres »

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2020

    Twitter à la « haine » sélective : il y a celle que le réseau social s’empresse de censurer même si ce n’est que l’expression d’une pensée politique anti-immigration ou souverainiste, et il y a celle qui peut se répandre comme traînée de feu, sans qu’aucune des consciences morales universelles embauchées par Twitter n’intervienne.

     

    En Espagne, une campagne avec le #Fuegoalcero (Brûler les prêtres) a eu la belle vie sur twitter pendant plusieurs jours. Elle coïncide avec la discussion sur la loi Celaá, qui vise à limiter les écoles paritaires, en particulier catholiques, et l’enseignement de la religion. Les dirigeants espagnols des réseaux sociaux  n’interviennent pas malgré de nombreuses plaintes et le peuple chrétien a alors réagi avec le #Yoapoyoalclero (. La gauche tente de recréer le même climat de guerre civile dans lequel plus de 4 000 prêtres ont été tués. En cinq ans, depuis Podemos, les attaques se sont multipliées par sept contre des églises et des chrétiens.

    À un moment où les plateformes de médias sociaux se vantent de prendre des mesures audacieuses pour supprimer les « discours de haine » et la « désinformation », le site d’information catholique Crux a rapporté lundi que Twitter avait autorisé la publication de ces milliers de tweets appellant tout bonnement à « brûler le prêtre »en Espagne.

    Crux a expliqué que « le hashtag a commencé comme une campagne menée par des comptes Twitter marxistes pour soutenir les réformes éducatives espagnoles qui donneraient au gouvernement plus de contrôle sur l’instruction religieuse dans les écoles publiques et limiteraient le financement des établissements d’enseignement catholiques.

    « Cependant, le sujet tendance était accompagné d’appels à incendier des églises parce que ‘la seule église qui illumine est celle qui est en flammes’, signée par ‘les filles des sorcières que vous ne pouviez pas brûler’ », rapporte Crux.

    « Mardi soir, Twitter n’avait rien fait contre les tweets, malgré des milliers d’utilisateurs se plaignant que le hashtag incitait à la haine et à une violation directe des règles de l’entreprise contre ‘la violence, le harcèlement et d’autres types de comportement similaires’ », poursuit le rapport.

    L’une des images republiées par Crux était une caricature de prêtres catholiques avec leurs têtes transformées en boules de feu. D’autres observateurs ont repéré des photoshops de prêtres en feu, associés à des slogans tels que « Quiconque veut un prêtre devrait le payer » et « Non au financement public de l’Église catholique ou de toute autre religion ». Les messages de #FuegoAlClero ont accusé les prêtres catholiques d’être des « pédophiles », des « homophobes » et des « voleurs ».

    Les utilisateurs espagnols de Twitter, y compris de nombreux non-catholiques, se sont demandé comment le hashtag brûlant des prêtres pouvait être toléré par la plate-forme de médias sociaux, qui use ostensiblement de règles strictes contre les discours haineux et les incitations à la violence. Les critiques ont noté que #FuegoAlClero n’était pas l’affaire de quelques têtes brûlées qui se déchaînaient dans les confins les plus éloignés de l’Internet; c’est devenu un « sujet tendance », l’un des hashtags les plus populaires d’Espagne.

    Mercredi, un autre hashtag en faveur des prêtres catholiques, #YoApoyoAlClero (« Je soutiens le clergé ») est devenu un sujet d’actualité sur le twitter espagnol. Les messages sous ce hashtag ont célébré le clergé catholique pour ses œuvres caritatives dans le monde entier, ont dénoncé #FuegoAlClero pour son sectarisme et critiqué le PDG de Twitter Espagne, Nathalie Picquot, pour avoir laissé le hashtag « brûler des prêtres » évoluer.

    Les critiques de #FuegoAlClero en Espagne ont notamment souligné la censure par Twitter des tweets du président américain Donald Trump et son implication pour supprimer les informations nuisibles à l’opposant de Trump, Joe Biden, comme preuve de l’hypocrisie de la plateforme de médias sociaux. Beaucoup ont également rappelé un hashtag précédent, #MataraAbascal, qui avait été autorisé à évoluer sur Twitter même s’il appelait à l’assassinat d’un homme politique, le chef du parti Vox, Santiago Abascal.

    Les catholiques espagnols ont de mauvais souvenirs des communistes assassinant et mutilant des milliers de prêtres et de moines pendant la Terreur rouge des années 1930, lorsque des églises ont été incendiées et que le gouvernement a refusé d’intervenir. Beaucoup de victimes ont été béatifiées en tant que saints par l’Église catholique. Le symbolisme des groupes marxistes faisant circuler des caricatures de prêtres en feu est particulièrement scandaleux pour les catholiques espagnols à la lumière de cette terrible histoire. 

    Mais pour twitter, les catholiques sont des citoyens de seconde zone !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info