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euthanasié - Page 2

  • Des universitaires canadiens plaident pour l’euthanasie des pauvres

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mai 2023

    L'euthanasie des pauvres au Canada
    L’euthanasie des pauvres au Canada

    Le Canada s’enfonce dans le soutien au suicide assisté favorisant des histoires atroces de pauvres et d’handicapés optant pour des injections létales par pur désespoir. Le magazine britannique The Spectator demandait l’année dernière : « Pourquoi le Canada euthanasie-t-il les pauvres ? ». La réponse de certains bio-éthiciens semble être :  « Pourquoi pas ? »

    Une tribune rédigée par deux bioéthiciens de l’Université de Toronto affirme que l’euthanasie des pauvres devrait être socialement acceptable. Kayla Wiebe, doctorante en philosophie, et la bioéthicienne Amy Mullin, professeure de philosophie, ont écrit dans le Journal of Medical Ethics que :

    « Forcer des personnes qui se trouvent déjà dans des circonstances sociales injustes à devoir attendre que ces circonstances sociales s’améliorent, ou que la possibilité d’une charité publique se produise de manière incertaine lorsque des cas particulièrement pénibles deviennent publics, est inacceptable. Une approche de réduction des méfaits reconnaît que la solution recommandée est nécessairement imparfaite : un « moindre mal » entre deux ou plusieurs options moins qu’idéales. »

    « Les gens peuvent déterminer par eux-mêmes si leur vie vaut la peine d’être vécue, et nous devons respecter cela. »

    A méditer à l’heure où le président Macron voudrait renforcer la légalisation de l’euthanasie en France. Nous voyons ce qui se passe lorsque on change le sens des mots ; le suicide assisté et les injections létales deviennent d’abord une “aide médicale” ou des soins de santé, puis une “réduction des méfaits” de la pauvreté et “la voie la moins nocive” pour ceux qui vivent dans des conditions de misère.

    Comme l’a déclaré Yuan Yu Zhu, chercheur canadien au Harris Manchester College d’Oxford qui écrit régulièrement sur l’euthanasie : « C’est plus que tragique : c’est une tache morale sur notre pays, pour laquelle les générations futures devront se racheter. »

     

    Source : medias-presse.info

  • L’euthanasie des enfants de 1 à 12 ans aux Pays-Bas

    Publié par Guy de Laferrière le 19 avril 2023

    Le ministre de la Santé des Pays-Bas prépare une nouvelle règlementation pour l'euthanasie des enfants
    Le ministre de la Santé des Pays-Bas prépare une nouvelle règlementation pour l’euthanasie des enfants

    Le gouvernement néerlandais est sur le point d’adopter une nouvelle règlementation de l’euthanasie pour les enfants âgés de 1 à 12 ans. La mesure a été annoncée vendredi dernier par le ministre de la Santé, Ernst Kuipers. Pendant ce temps, le nombre de décès par suicide assisté ne cesse de croître dans le pays et représente déjà plus de cinq pour cent de tous les décès.

    Cette nouvelle règlementation concernera l’euthanasie appliquée aux enfants entre 1 et 12 ans qui ont “une maladie ou un trouble si grave que la mort est inévitable”. L’euthanasie des enfants est déjà pratiquée en Belgique et aux Pays-Bas depuis quelques années.

    Le nombre de personnes décédées aux Pays-Bas à l’aide d’une procédure d’euthanasie a augmenté de 13,7% l’année dernière, pour atteindre un total de 8 720 cas, représentant 5,1% de tous les décès enregistrés dans le pays en 2022, selon les chiffres officiels.

     

    Source : medias-presse.info

  • Après la réforme des retraites, l’euthanasie

    Publié par Guy de Laferrière le 05 avril 2023

    Après la réforme des retraites, l’euthanasie

    Le même jour, on apprend qu’un enfant atteint de mucoviscidose alerte sur la pénurie de médicaments pouvant le sauver :

    « Des médicaments sont quasi introuvables », alerte Maxime, atteint de mucoviscidose

    et que Macron veut accélérer sur la fin de vie.

    À la suite des conclusions de la convention citoyenne sur la fin de vie, le président de la République Emmanuel Macron a affirmé ce lundi 3 avril vouloir un projet de loi d’ici la fin de l’été 2023.

    Dans un rapport publié dimanche, les membres de la convention ont répondu «oui» aux trois quarts à une aide «active à mourir» , en assortissant toutefois leurs positions de restrictions, dont on sait qu’elles sont là pour rassurer les indécis mais qu’elles disparaitront au moment opportun, comme tous les garde-fous sur l’avortement.

    Emmanuel Macron a également plaidé pour un «plan décennal national pour la prise en charge de la douleur et pour les soins palliatifs ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Canada : le scandale de l’euthanasie proposé aux vétérans handicapés se poursuit

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2023

    Canada : le scandale de l’euthanasie proposé aux vétérans handicapés se poursuit

    L’an dernier un scandale avait éclaté au Canada : on proposait l’euthanasie à des personnes handicapées qui demandaient des soins. Ainsi, des vétérans qui demandaient des soins se voyaient proposer l’« aide médicale à mourir ». Suite au scandale, le ministre des Anciens combattants avait reconnu le fait, indiquant que la proposition émanait d’un seul agent qui avait été suspendu. Il ajoutait que cela était « totalement inacceptable » et qu’une formation était donnée aux agents pour que cela ne se reproduise plus.

    Un cinquième cas fut ensuite révélé. Puis trois autres. Et cela continue. Christine Gauthier, vétéran des Forces armées canadiennes blessée en 1988, s’est vu proposer l’« aide médicale à mourir ». Depuis qu’elle a été déclarée invalide, en 1995, la lenteur bureaucratique l’a épuisée. Elle a dû attendre 18 ans avant d’obtenir un deuxième jeu de roues pour son fauteuil, 5 ans pour un renouvellement d’élévateur et 12 ans pour un nouveau fauteuil. Fatiguée par ces « blessures inutiles et dommages corporels », infligés par le gouvernement, elle s’est plainte au ministère qui lui a proposé, comme solution, l’« aide médicale à mourir ». Pourtant, elle souhaitait simplement demander des services pour adapter sa maison et renouveler certaines pièces d’équipement.

    « Je ne peux pas croire qu’on ne peut pas juste me donner les équipements dont j’ai besoin pour vivre, mais qu’on va m’aider à mourir. (…) C’est inadmissible ».

    C’est la logique de la culture de mort : c’est tellement plus simple d’exterminer le problème que de prendre le temps de le résoudre.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le rejet de l’euthanasie nous concerne aussi, par Civitas Portugal

    Publié par Guy de Laferrière le 02 février 2023

    Moins d’un mois après que le Président de la République ait demandé un contrôle préventif de la loi sur l’euthanasie, la Cour Constitutionnelle a annoncé hier que certaines des règles de la loi sont inconstitutionnelles.

    Le document a été renvoyé par le Palais de Belém à l’Assemblée de la République, qui devrait bientôt reprendre le processus révolutionnaire de “correction” du texte et le soumettre à nouveau au vote, puis à l’analyse du “catholique” Marcelo Rebelo de Sousa. Au total, ce sera la quatrième fois que le Chef de l’État devra décider de la suite à donner à cette affaire, après avoir demandé, en février 2021 et au début de ce mois, le contrôle préventif du diplôme et, en novembre 2021, avoir opposé son veto au diplôme, le renvoyant à l’Assemblée de la République, en évitant, en tant que “catholique”, de rejeter définitivement cette initiative insensé.

    Réaffirmant ce qu’il avait transmis dans son bref communiqué de presse du 5 janvier, le mouvement Civitas regrette, d’une part, le manque d’engagement non négociable envers la vie humaine, dont seul Dieu peut disposer, de la part du Président de la République et, d’autre part, l’euphorie déplacée des deux partis politiques et d’autres entités, pour la plupart conservatrices, face au “plomb” du Palais Ratton.

    Loin d’être un exploit, comme beaucoup le prétendent, prouvant un manque total de discernement, nous nous trouvons face à une circonstance passagère, c’est-à-dire que la loi en question peut être parfaitement confirmée par la Cour Constitutionnelle à condition que, comme on peut le lire dans l’Arrêt n.º 5/2023, le législateur prend l’initiative de préciser «si l’exigence [associée à la pratique infâme de l’euthanasie] est cumulative (souffrance physique, plus souffrance psychologique, plus souffrance spirituelle) ou alternative (à la fois souffrance physique, psychologique et spirituelle).» En bref, il s’agit de la substitution vulgaire d’une conjonction. Comme si cela ne suffisait pas, dans le communiqué accompagnant l’arrêt susmentionné, les juges de la Cour Constitutionnelle déclarent allègrement que «la Cour a considéré que le droit de vivre ne peut en aucun cas être transformé en un devoir de vivre», cherchant grossièrement à se substituer au Créateur et prétendant avoir la fausse primauté constitutionnelle de décider quand mettre fin à la vie humaine, même en piétinant de manière insensée et préméditée les desseins de Dieu.

    Comme il fallait s’y attendre, les partis politiques promoteurs de ce diplôme infâme, qui défendent tous des idéologies conduisant à l’égocentrisme et à l’absence totale de surnaturel, se sont déjà déclarés tout à fait intéressés à corriger le “petit détail” de la conjonction erronée afin que, “au nom du progrès”, il soit légal d’assassiner ses semblables.

    Si les médecins et autres personnels médicaux sont tenus de combattre de manière constructive la souffrance de leurs patients, ces derniers, comme l’écrivait Mgr Bernard Tissier de Mallerais, doivent «essayer d’en assumer au moins une partie [la souffrance], en profitant de cette grâce qui leur est offerte pour satisfaire la justice divine de leurs péchés et éviter ainsi les peines du Purgatoire», tout en s’unissant à la Passion rédemptrice de Notre Seigneur Jésus-Christ.

    De la part du mouvement Civitas, une résistance ferme sera maintenue aux initiatives promouvant la culture satanique de la mort, avec la promesse de l’intensification nécessaire des activités de formation et d’information dans les semaines à venir. Néanmoins, il est impératif que les catholiques portugais offrent des prières et des sacrifices pour les auteurs de cette infamie, ainsi que pour l’élimination de toutes les lois qui portent atteinte, même le moins du monde, aux droits de Dieu, et pour le triomphe de la Sainte Mère l’Église. La prière, le sens surnaturel et l’action militante sont les seules armes efficaces pour vaincre de manière exemplaire les ennemis du Christ Roi.

    31 janvier 2023

    Le Secrétariat de Civitas Portugal

    Source : Délégation Civitas Portugal