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france - Page 81

  • Quand les parlementaires découvrent la radicalisation en France…

    Publié par Guy Jovelin le 27 juin 2019

    Rédigé par notre équipe le 27 juin 2019

     

    Depuis deux jours, pas un débat organisé par les chaînes d’information en continu ne fait l’impasse sur le sujet. La radicalisation ferait son petit bonhomme de chemin dans des services publics atones face à ce danger mortel. Armée, police, transports publics, école, rien n’échappe à la vaste entreprise de transformer la France en une terre où l’islamisme règne sans partage. Malgré le petit bruit médiatique bien sympathique qui permet de sortir des sempiternels reportages sur la canicule, on ne découvre rien sous le soleil de France… Le pire est que les deux parlementaires ont tendance à minimiser l’ampleur du phénomène.

    Eric Diard et Eric Pouillat sont des députés heureux. Fiers représentants des Républicains pour le premier et d’En Marche pour le second, ils ont réuni leurs forces pour aller sur un terrain inquiétant et dangereux : celui de la radicalisation des services publics. Un sujet complètement nouveau pour tout individu né de la dernière pluie. Un spécimen pas si rare sur les bancs de l’Assemblée nationale où le rapport d’une centaine de pages de ces deux députés permet à l’ensemble de l’institution de se couvrir de louanges. Un travail novateur et sans concession ? On est loin du compte…

    Oui-oui fait une enquête sur l’islamisation

    Après huit mois d’enquête et des dizaines de témoignages recueillis, ces deux inspecteurs dans l’âme se sont rendus compte que la radicalisation touchait tous les services publics. Du chauffeur de la RATP qui refuse de serrer la main de ses collègues femmes aux policiers qui préfèrent suivre les règles du Coran plutôt que les lois républicaines, aucun secteur n’est épargné. Pas même l’école où les élèves reviennent dans leur famille avec l’idée de faire rentrer leurs parents dans le droit chemin de l’Islam…

    Car oui, cela est étrangement peu souligné, mais quand on parle de radicalisation, il s’agit bien entendu de la campagne des islamistes pour imposer leur religion et leur conception insupportable de textes religieux qu’ils n’ont jamais lu la plupart du temps. Il ne faut surtout pas mettre mal à l’aise les musulmans alors la radicalisation ne doit pas être directement associée avec l’Islam… Un tel aveuglement et une lâcheté aussi grossière sont justement les engrais d’une radicalisation que plus grand monde n’ose affronter de peur d’être traité d’islamophobe et de raciste. Le gauchisme a remporté la partie et c’est l’islamisme qui profite à plein de ce succès.

    Les services publics et la société dans son ensemble sont de plus en plus sous la coupe de l’Islam, mais les deux gusses de députés estiment malgré tout qu’il s’agit d’un phénomène « marginal ». Les centaines de cas répertoriés ne seraient donc que l’écume des jours. Ces deux génies sont-ils au moins sortis une fois du VIIe arrondissement de Paris pour mener leur enquête ? Les lieux où l’Islam s’impose par la force et la terreur foisonnent en France et les habitants sont obligés de changer leurs comportements afin de rentrer dans le moule…

    L’islamisation n’est pas un épiphénomène comme ces deux députés le croient et tentent de convaincre le reste des citoyens. La France va mal et ce n’est pas avec des médecins qui font des demi-diagnostics et qui refusent de préconiser le moindre traitement que les choses vont aller mieux. Les pouvoirs publics continuent de se voiler la face, préambule à un port du voile généralisé.

     

    Source : 24heuresactu

  • La confiance dans les médias se dégrade encore, en France elle passe de 35% à 24%

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2019

    Par  le 14/06/2019

    La confiance dans les médias s’est encore dégradée dans le monde, avec plus d’une personne sur deux qui ne se fie pas aux médias qu’elle consulte. C’est ce que révèle le rapport annuel du Reuters Institute (en anglais) publié mercredi 12 juin et qui s’appuie notamment sur une étude d’ampleur menée par YouGov entre fin janvier et début février auprès de 75 000 personnes dans 38 pays.

    En moyenne dans ces pays, 42% des personnes interrogées font confiance aux médias en général (en baisse de 2 points) et à peine 49% qui font confiance aux médias qu’elles consultent. […]

    En France, la confiance a nettement reculé (-11 points, à 24%), alors que les médias ont été particulièrement critiqués pour leur couverture du mouvement des « gilets jaunes ».
    […]

    Dans certains pays, le rapport observe une « saturation » des internautes pour les abonnements, ce qui favorise le divertissement (Netflix/Spotify) face à l’information. Pourtant, les médias sont de plus en plus nombreux à faire payer l’information en ligne dans le monde, note le rapport. Enfin, les personnes interrogées sont de plus en plus nombreuses (32%) à éviter activement l’actualité.

    France Info via fdesouche

    En Janvier :

    La confiance dans les médias à son plus bas historique en France

  • Syrie : Une fratrie de neuf enfants de djihadistes rapatriée en France

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2019

     
      
     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (11/06/2019) Comme le révèle BFMTV, une fratrie de neuf enfants a débarqué en France ce mardi matin en provenance de Syrie.Enfants de jihadistes, ils ont été pris en charge par le parquet de Bobigny. Lundi 10 juin, 12 enfants de djihadistes, pour la plupart orphelins, devaient atterrir à l’aéroport de Villacoublay, selon une information du Parisien. Ils étaient détenus dans les camps de Al-Hol et de Roj, en Syrie, par les forces kurdes.

    Âgés de 2 à 10 ans, ces jeunes garçons et filles ont été remis « à une délégation du ministère français des Affaires étrangères », a confié Abdelkarim Omar, haut-responsable des Affaires étrangères de l’administration kurde, dans des propos relayés par franceinfo. Parmi eux, la fille et le garçon de Yassine Sakkam, originaire de Lunel (Hérault) et récemment condamné à mort en Irak. Dès leur arrivée sur le sol français, ces jeunes enfants seront pris en charge par un médecin, avant d’être confiés à l’aide sociale à l’enfance (ASE) qui se chargera de leur trouver une famille d’accueil. Une audience devrait être organisée au tribunal de Versailles dans les deux semaines. Selon les derniers chiffres du ministère des Affaires étrangères, « 400 à 500 Français » se trouveraient actuellement dans le Nord-Est syrien, et une centaine d’autres dans la région d’Idib, au Nord-Ouest. Par ailleurs, deux orphelins néerlandais ont également été remis à une délégation gouvernementale de leur pays, précise franceinfo.

    (Source : Valeurs Actuelles) via breizatao

  • Les chiffres des demandes d’asile explosent depuis le début de l’année

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2019

    Par  le 12/06/2019

    […] Les demandes d’asile en France des Géorgiens: + 86 % depuis le 1er janvier! Avec 3548 dossiers déposés les quatre premiers mois de 2019, contre 1898 sur la même période en 2018. Le contingent albanais, lui, a augmenté de plus de 32 %, passant de 2321 dossiers déposés à 3068. Les demandes des Guinéens ont, pour leur part, grimpé de plus de 33 %, celles des Maliens de 85 %, celles des Haïtiens de 69 %. Parallèlement, celles des Afghans ont baissé de 9 %, passant de 3055 dossiers à 2778.

    Mais à regarder le mois d’avril 2019, comparé à avril 2018, les Afghans tendent à remonter en flèche puisqu’ils sont passés «au premier rang des premières demandes (hors mineurs)» sur cette période […] selon le dernier «tableau de bord» de l’Office français pour la protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra), dirigé depuis peu par un conseiller d’État, Julien Boucher. Selon ce document, 41.000 demandes ont été enregistrées en quatre mois par l’organisme, soit plus de 10.000 par mois. […]

    Le Figaro via fdesouche

  • La France accompagne les start-up africaines avec un fonds de 65 millions d’euros

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2019

    Il y a un an, Emmanuel Macron annonçait la création de Digital Africa destiné à soutenir les start-up africaines. Aujourd’hui opérationnel, le programme veut les aider à dépasser les frontières.

     

    Pour la deuxième année consécutive, Vivatech, le rendez-vous incontournable de l’innovation technologique, qui s’est déroulé du 16 au 18 mai 2019 à Paris, a célébré l’innovation africaine. Tout comme en 2018, plus d’une centaine de start-up du continent sont venues exposer leurs projets aux côtés de géants du numérique. Pour marquer cette avancée des inovations en Afrique, les chefs d’État du Sénégal et du Rwanda, Macky Sall et Paul Kagamé, avaient été invités.

    Lors du précédent Vivatech, en 2018, le président français Emmanuel Macron annonçait la mise en place d’un fonds de 65 millions d’euros pour soutenir les start-up africaines du secteur numérique en quête de financement. Ce fonds, géré par l’Agence française de développement doit être ordonné par l’association Digital Africa qui regroupe une dizaine d’acteurs du monde de l’entreprenariat et de l’innovation sur le continent dont Jokkolabs, leader du coworking en Afrique, Afrilabs ou encore CFI. « Digital Africa s’inscrit dans les engagements qu’a pris le président Emmanuel Macron lors du discours de Ouagadougou dans lequel il annonçait des actions très précises pour les entrepreneurs en Afrique« , explique Karim Sy, membre du Conseil présidentiel pour l’Afrique, et président de Digital Africa. […]

    Or, selon une étude de l’Agence Française de Développement (AFD), très peu « d’acteurs ont su se projeter au niveau continental », ainsi que l’a fait le groupe Jumia, leader africain du commerce en ligne lancé en 2012 et qui opère aujourd’hui dans une vingtaine de pays. L’entreprise a d’ailleurs réussi son entrée à la bourse de New-York devenant la première start-up africaine côtée à Wall-Street.

    L’histoire de Jumia reste exceptionnelle. Sur le continent, les start-up manquent encore de dispositifs d’accompagnement et de financements, même si quelques programmes gouvernementaux visant à structurer l’économie numérique ont émergé ces dernières années.

    Au Bénin, le gouvernement finance un immense projet de création d’une cité de l’innovation et du savoir. Au Sénégal, le gouvernement a injecté près de 30 milliards de franc CFA [soit près de 45,7 millions d’euros] à travers la Délégation à l’entreprenariat rapide (DER) dans les petites et moyennes entreprises, ainsi que les start-up. « Il faut déjà louer cet intérêt que manifestent les dirigeants, mais les États ne peuvent pas tout faire”, déclare Karim Sy, estimant qu’il faut aussi inciter des initiatives privées.

    Certains en ont déjà fait le pari, ainsi que Partech, un fonds de capital-risque spécialisé dans la technologie et implanté à San Francisco et à Paris, qui a ouvert sa première filiale africaine à Dakar en 2018 sous l’impulsion de Tidjane Deme (ancien directeur de Google Afrique) et de Cyril Collon (ancien vice-président des ventes pour l’Europe et l’Afrique de Verscom Solutions). Grâce à de gros soucripteurs, comme la Banque européenne d’investissement (BEI), la Banque africaine de développement (BAD) ou encore la Banque publique d’investissement (BPI) en France, Partech Africa a pu mobiliser plus de 100 millions d’euros uniquement dédiés aux start-up numériques africaines.

    Plusieurs autres investisseurs devraient leur emboîter le pas. « Ce sont des dynamiques que nous allons accompagner grâce à la filiale Proparco de l’AFD qui dispose d’un fonds de 50 millions d’euros. Un autre budget de 15 millions d’euros servira à financer des programmes d’accès au fond d’amorçage« , assure Karim Sy. […]

    Le programme Digital Africa donnera la priorité aux start-up qui excellent dans le domaine de l’agriculture, mais aussi de l’énergie solaire. De fait plusieurs start-up africaines étaient au salon de l’agriculture en février à Paris pour présenter des solutions innovantes et chercher des partenaires.

    France24 via fdesouche