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france - Page 83

  • Les chiffres des demandes d’asile explosent depuis le début de l’année

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2019

    Par  le 12/06/2019

    […] Les demandes d’asile en France des Géorgiens: + 86 % depuis le 1er janvier! Avec 3548 dossiers déposés les quatre premiers mois de 2019, contre 1898 sur la même période en 2018. Le contingent albanais, lui, a augmenté de plus de 32 %, passant de 2321 dossiers déposés à 3068. Les demandes des Guinéens ont, pour leur part, grimpé de plus de 33 %, celles des Maliens de 85 %, celles des Haïtiens de 69 %. Parallèlement, celles des Afghans ont baissé de 9 %, passant de 3055 dossiers à 2778.

    Mais à regarder le mois d’avril 2019, comparé à avril 2018, les Afghans tendent à remonter en flèche puisqu’ils sont passés «au premier rang des premières demandes (hors mineurs)» sur cette période […] selon le dernier «tableau de bord» de l’Office français pour la protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra), dirigé depuis peu par un conseiller d’État, Julien Boucher. Selon ce document, 41.000 demandes ont été enregistrées en quatre mois par l’organisme, soit plus de 10.000 par mois. […]

    Le Figaro via fdesouche

  • La France accompagne les start-up africaines avec un fonds de 65 millions d’euros

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2019

    Il y a un an, Emmanuel Macron annonçait la création de Digital Africa destiné à soutenir les start-up africaines. Aujourd’hui opérationnel, le programme veut les aider à dépasser les frontières.

     

    Pour la deuxième année consécutive, Vivatech, le rendez-vous incontournable de l’innovation technologique, qui s’est déroulé du 16 au 18 mai 2019 à Paris, a célébré l’innovation africaine. Tout comme en 2018, plus d’une centaine de start-up du continent sont venues exposer leurs projets aux côtés de géants du numérique. Pour marquer cette avancée des inovations en Afrique, les chefs d’État du Sénégal et du Rwanda, Macky Sall et Paul Kagamé, avaient été invités.

    Lors du précédent Vivatech, en 2018, le président français Emmanuel Macron annonçait la mise en place d’un fonds de 65 millions d’euros pour soutenir les start-up africaines du secteur numérique en quête de financement. Ce fonds, géré par l’Agence française de développement doit être ordonné par l’association Digital Africa qui regroupe une dizaine d’acteurs du monde de l’entreprenariat et de l’innovation sur le continent dont Jokkolabs, leader du coworking en Afrique, Afrilabs ou encore CFI. « Digital Africa s’inscrit dans les engagements qu’a pris le président Emmanuel Macron lors du discours de Ouagadougou dans lequel il annonçait des actions très précises pour les entrepreneurs en Afrique« , explique Karim Sy, membre du Conseil présidentiel pour l’Afrique, et président de Digital Africa. […]

    Or, selon une étude de l’Agence Française de Développement (AFD), très peu « d’acteurs ont su se projeter au niveau continental », ainsi que l’a fait le groupe Jumia, leader africain du commerce en ligne lancé en 2012 et qui opère aujourd’hui dans une vingtaine de pays. L’entreprise a d’ailleurs réussi son entrée à la bourse de New-York devenant la première start-up africaine côtée à Wall-Street.

    L’histoire de Jumia reste exceptionnelle. Sur le continent, les start-up manquent encore de dispositifs d’accompagnement et de financements, même si quelques programmes gouvernementaux visant à structurer l’économie numérique ont émergé ces dernières années.

    Au Bénin, le gouvernement finance un immense projet de création d’une cité de l’innovation et du savoir. Au Sénégal, le gouvernement a injecté près de 30 milliards de franc CFA [soit près de 45,7 millions d’euros] à travers la Délégation à l’entreprenariat rapide (DER) dans les petites et moyennes entreprises, ainsi que les start-up. « Il faut déjà louer cet intérêt que manifestent les dirigeants, mais les États ne peuvent pas tout faire”, déclare Karim Sy, estimant qu’il faut aussi inciter des initiatives privées.

    Certains en ont déjà fait le pari, ainsi que Partech, un fonds de capital-risque spécialisé dans la technologie et implanté à San Francisco et à Paris, qui a ouvert sa première filiale africaine à Dakar en 2018 sous l’impulsion de Tidjane Deme (ancien directeur de Google Afrique) et de Cyril Collon (ancien vice-président des ventes pour l’Europe et l’Afrique de Verscom Solutions). Grâce à de gros soucripteurs, comme la Banque européenne d’investissement (BEI), la Banque africaine de développement (BAD) ou encore la Banque publique d’investissement (BPI) en France, Partech Africa a pu mobiliser plus de 100 millions d’euros uniquement dédiés aux start-up numériques africaines.

    Plusieurs autres investisseurs devraient leur emboîter le pas. « Ce sont des dynamiques que nous allons accompagner grâce à la filiale Proparco de l’AFD qui dispose d’un fonds de 50 millions d’euros. Un autre budget de 15 millions d’euros servira à financer des programmes d’accès au fond d’amorçage« , assure Karim Sy. […]

    Le programme Digital Africa donnera la priorité aux start-up qui excellent dans le domaine de l’agriculture, mais aussi de l’énergie solaire. De fait plusieurs start-up africaines étaient au salon de l’agriculture en février à Paris pour présenter des solutions innovantes et chercher des partenaires.

    France24 via fdesouche

  • Je hais la démocratie!

    Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2019

    démocratie,france

    Comment puis je haïr la démocratie? Par le simple fait d'observer les révolutions de certains pays du Maghreb et les élections "libres" de certains pays africains!! Par le simple fait d'observer notre omnipotent autant qu'incompétent gouvernement!

    Commençons par notre pays, chère France, berceau de la démocratie populaire, pays de LA révolution, la grande, celle qui devait associer le peuple aux décisions de gouvernements mis en place par le soin d'élections!! On aurait dû se méfier dès le début, comment prétendre que le peuple a voix au chapitre quand la moitié de celui ci n'a pas le droit de s'exprimer puisque les femmes n'avaient pas le droit de voter, nous aurions dû savoir que ce n'était qu'un leurre et que le seul changement tangible était les noms des décideurs! Les nantis abuseurs de peuple n'étaient plus les nobles, ils étaient déjà pauvres, ce sont donc les nouveaux riches qui se sont nantis plus encore et en se donnant bonne conscience puisque c'est le peuple qui votait!
    Et, depuis rien n'a changé, ou plutôt si, ils ont de moins en moins de scrupules et ne se cachent même plus pour nous spolier de nos droits fondamentaux (même moi, je passe de plus en plus pour un dangereux contestataire aux yeux de la bien pensance populaire!!), des caméras, des radars, des flics à chaque coin de rue, des lois de plus en plus répressives et tout ça, hein, je vous le dis, au nom de la démocratie!!!
    Qui sont ces gens du peuple, élus par le peuple, pour le peuple et qui à peine les rênes du pouvoir dans les mains se croient libres d'agir comme ils l'entendent? De quel droit se revendiquent ils pour ne respecter aucune des promesses faites avant leur élection? Et quand se décidera t on à les juger et à les condamner pour ces mensonges éhontés que sont ces promesses non tenues? Là, oui, nous pourrons parler à nouveau de démocratie! En attendant, le peuple courbe l'échine et se trouve des excuses en se disant que les autres ne sont pas mieux, mais cela risque pourtant bel et bien de finir dans le bain de sang d'une révolution tardant trop à venir pour n'être pas guidée par la haine et des têtes tomberont à nouveau!!
    Ce n'est qu'en levant l'immunité des classes dirigeantes que nous pourrons à nouveau être fiers de notre démocratie et que les tenants du pouvoir devront s'en tenir à leur seul vrai rôle, être les voix du peuple dans son ensemble!! Il faut mettre un terme aux abus de pouvoir liés à l'argent ou aux minorités, la seule voix que l'on doive écouter dans une démocratie est celle de la majorité et les grandes lois ne devraient être votées qu'après référendum! Il faudrait surtout museler ces minorités "bien pensantes", tous ces gens qui prétendent vouloir le bien commun alors qu'ils ne visent qu'une amélioration de leurs conditions personnelles!
    Ce n'est certes pas simple, mais si nous avions voulu faire dans la simplicité nous aurions voté pour une dictature! Nous ne serions qu'à peine plus malheureux qu'aujourd'hui, mais au moins ne le saurions nous pas!!
    C'est pour cet ensemble de faits que je hais la démocratie, pour ce que nos tenants du pouvoir actuels en font, la foulant aux pieds, insultant des peuples entiers par des lois liberticides et réadaptées à chaque fait divers, agissant au coup par coup comme des bandits peu éclairés puisque c'est, bel et bien, ce qu'ils sont devenus!
    Allez, c'est tout pour cette fois, vous pouvez éteindre vos ordinateurs et aller déchirer votre carte d'électeur avant de l'envoyer par la poste à l'Elysée afin que notre classe politique réagisse avant que la révolution ne soit inéluctable!
     
  • L’Afrique est un danger pour la France!

    Publié par Guy Jovelin le 22 mai 2019

    POSTÉ LE 21 MAI , 2019

    La France est le pays le plus africanisé d’Europe. L’immigration africaine y est considérable. Elle le sera bien davantage à l’avenir (cf. ma chronique du 12avril, n°1189 des «4 Vérités »).

    Aujourd’hui, cette africanisation se manifeste dans les affaires proprement françaises de deux façons: la présence d’Africains au sommet de l’État et l’engagement militaire français en Afrique sahélienne où l’islam agressif ne cesse de progresser.

    L’Afrique du Nord, à nos portes, en particulier l’Algérie, ne présente, pour sa part, aucune garantie. C’est un ensemble musulman étendu, dont la population de plus en plus nombreuse voit la France comme une terre de refuge et aussi de mission où déjà se sont fixés des millions de Maghrébins, parmi lesquels beaucoup sont profondément hostiles à tout ce qui est français et chrétien.

    La guerre au Sahel mobilise 4500 hommes dans l’opération Barkhane, à qui est demandé de pacifier une zone aussi étendue que toute l’Europe. Bien qu’appuyée par l’ONU, les États-Unis, et l’Allemagne, la France ne peut rétablir la paix sur un territoire aussi vaste. Quant aux armées locales, non seulement elles ne sont pas la solution, mais elles sont surtout une partie du problème.

    Au Sahel, nous avons déjà perdu des hommes et des hommes de grande qualité – et aussi beaucoup d’argent. Tout récemment, deux soldats d’élite ont été tués pour délivrer deux otages aux mains des islamistes, deux messieurs en « voyage de noces » au nord du Bénin, nous précise la presse – une imprudence qui a coûté très cher. On remarquera en passant qu’il n’était pas convenable que ces deux « jeunes mariés » soient accueillis par le président de la république en personne. Les ministres des Armées et des Affaires étrangères auraient largement suffi.

    Le Mali, le Burkina Faso appelé naguère la Haute-Volta, le Niger et maintenant le nord du Bénin, du Togo et de la Côte d’Ivoire sont infestés de groupes armés très mobiles qui savent qu’en cas de nécessité, l’Algérie du sud, frontalière, peut leur servir de refuge. Ce sont des groupes qui s’adonnent aussi à tous les trafics. On sait qu’une part des grandes quantités de drogue consommées en France transitent par ces groupes, à la fois islamistes et experts en banditisme. Ils évoluent d’autant plus facilement que la population locale dans son ensemble leur est plutôt favorable. Ces groupes composés de Peuls et de Touaregs sont assez bien structurés. On y trouve AQMI (Al Qaïda au Maghreb Islamique), le GSIM (Groupe de soutien à l’islam) dirigé par Iyad Ag Ghaly, un Touareg. On sait que les Touaregs du Sahel étaient pratiquement dirigés par Muammar Kadhafi, le colonel libyen que Sarkozy a fait assassiner pour les résultats que l’on connaît, en Libye notamment.

    La composante peule du terrorisme musulman est dirigée par Amadou Koufa qui agit non seulement au Mali, mais au Burkina Faso, maintenant profondément déstabilisé, où, dimanche dernier, six personnes dont un prêtre catholique ont été tués dans une église. Plus au nord, les importantes localités de Tombouctou et de Gao au Mali sont à nouveau très menacées. On notera à ce propos qu’une carte établie par le ministère des Affaires étrangères démontre que les trois quarts de l’Afrique sont ou peuvent être en insécurité, y compris le Congo dit démocratique, l’ancien Congo belge. Seuls paraissent à l’abri des attentats et autres exactions des islamistes, le Maroc, le Sénégal et le Gabon. Attendons la suite …

    Mention particulière doit être faite du Nigéria, où Boko Haram, très implanté au Nord-Est de ce pays très peuplé, déborde sur le Niger, le Cameroun et le Tchad voisins, où des islamistes lancent fréquemment des raids meurtriers.

    Dans la corne de l’Afrique, c’est bien pire. En Somalie, Al Shebab fait régner la terreur. L’idéologie de ce mouvement, très proche d’Al Qaïda, est mise en œuvre par des islamistes radicalisés formés au Pakistan et en Afghanistan où l’État islamique, chassé d’Irak et de Syrie, est en train de se reformer.

    On voit à quel point la situation est maintenant, en Afrique, grave et complexe. On ne voit pas comment sur ce continent, dont beaucoup d’États sont livrés au chaos depuis la fin de la colonisation, l’ordre pourrait être rétabli par 4 500 soldats français, aussi performants soient-ils. Il en faudrait des centaines de milliers, pendant très longtemps, s’appuyant sur des structures administratives solides, permettant le renseignement. C’est ce qu’on appelait naguère la colonisation. Tout cela n’existe plus et, en réalité, ne peut plus être rétabli.

    Je laisse au lecteur le soin d’imaginer ce que sera l’évolution sécuritaire de ce continent. Je donne pour ma part la réponse aux questions que l’on peut se poser à ce sujet. Ce sera l’insécurité, tous les trafics imaginables, agrémentés de réceptions en grande pompe à l’Élysée, pour honorer les chefs de ces pays, qui disposent maintenant du droit garanti de disposer d’eux-mêmes et de la vie des autres !

    Nous sommes en Afrique sur la défensive, prisonniers d’une situation que nous ne maîtrisons pas. Pendant combien de temps encore va durer cet engagement, un abcès détestable qu’il aurait été d’une sagesse élémentaire d’éviter  ?

     

    Source : les4verites

  • Le rappeur noir Nick Conrad “baise la France ” et étrangle une blanche dans son dernier clip

    Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2019

     

    Le rappeur noir Nick Conrad, qui se croit chanteur alors qu’il ne sait que baragouiner un sabir insipide mais violent, récidive dans la haine de la France dans son dernier clip.

    Il faut dire que la justice de la France ne s’est pas montré bien sévère, c’est le moins que l’on puisse dire, avec le bonhomme qui éructe pourtant sa détestation des blancs dans ses chansons inécoutables. Alors que l’essayiste Alain Soral, en mars dernier, a été condamné à un an de prison ferme pour contestation de crime contre l’humanité et injure raciale à cause… d’un dessin qui parodiait une couverture de Charlie Hebdo, le rappeur Conrad ne fut condamné, en ce même mois de mars, qu’à une amende de 5 000 € avec sursis  pour sa vidéo raciste et ultra-violente “Pendez les Blancs”, qui avait suscité une vive polémique à l’automne dernier.

    Voie libre donc pour relancer ses appels au meurtre des Français et des blancs avec un autre clip de la même teneur raciste que le précédent et au titre évocateur « Je baise la France, je brûle la France » et dans lequel on voit Conrad étrangler une blanche.

    C’est ça les « chances » pour la France que nous vantent les mondialistes apatrides…

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info