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grèce - Page 6

  • Migrants : les renforts européens sont arrivés à la frontière gréco-turque… mais pas de Français

    Publié par Guy Jovelin le 15 mars 2020

    La frontière entre la Grèce et la Turquie est plus fermée que jamais aux migrants. Quelques renforts venus de toute l’Europe sont arrivés ces dernières heures pour faire remparts avec la Grèce à cette arrivée massive de migrants lancée par Erdogan. Plus de 600 gardes-frontières ainsi que des véhicules militaires et de police allemands, portugais, hongrois ou polonais ont donc débarqué à Kastanies, à l’extrême est de la Grèce, à l’appel du gouvernement grec.

    Leur mission, qui débute la semaine prochaine est la même que celle dont l’armée grecque est chargée depuis dix jours : empêcher tout migrant venu de Turquie d’entrer en Grèce, et donc dans l’Union européenne.

    Mais où sont les militaires Français ? Pas en Grèce à défendre les frontières de l’Europe contre l’invasion ! Tout est dit par cette absence de militaires français aux frontières de l’Europe au sujet du gouvernement Macron et de son immigrationnisme mondialiste.

     

     

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info

  • Grèce : À la frontière, des citoyens patrouillent pour « éviter l’invasion » de migrants, « Si un accident doit arriver, il arrivera ! »

    Publié par Guy Jovelin le 08 mars 2020

    Par  le 07/03/2020

    A la nuit tombée, dans le village de Poros, dans le Nord-Est de la Grèce, les tracteurs sont à l’arrêt et les rues désertes. Sakis, vêtu d’un treillis militaire, se rend le long du fleuve Evros, à la frontière avec la Turquie, « pour défendre les portes de la Grèce et de l’Europe ».

    Au bout de ce petit bourg agricole, le fleuve, relativement étroit, reste un point privilégié de passage des réfugiés entrant en Grèce. Depuis la décision de la Turquie d’ouvrir ses portes, le 28 février, policiers lourdement équipés, agriculteurs, éleveurs, chasseurs et pêcheurs bloquent tout accès.

    Rassemblés autour d’un feu improvisé, ils veulent « éviter l’invasion », explique Sakis, un agriculteur de 38 ans. Fusil de chasse sur le dos, l’heure est venue de quadriller le secteur.

    « J’ai très peu dormi depuis. Jour et nuit, je fais des rondes avec ma voiture sur le chemin longeant le fleuve pour observer si des barques tentent d’accoster sur le rivage grec », raconte-t-il, épuisé.

    Dès qu’un migrant est repéré, la police ou l’armée est avertie et l’exilé est embarqué. Giokas Xanthos s’adonne à la pêche régulièrement sur l’Evros et connaît les points sensibles où les passeurs lâchent les migrants: « nous avons une connaissance parfaite du terrain qui peut être utile aux autorités ».

    Encore hantée par la crise migratoire de 2015, la population locale sombre dans une rhétorique xénophobe, guerrière, et s’organise pour que les frontières grecques restent hermétiques.

    (…) Depuis mardi, Dimitris Kolgionis, maire adjoint de Pherès, la commune de 5.000 habitants dont dépend Poros, a organisé des rotations pour surveiller la frontière: « 500 personnes ont répondu présentes et se relayent par tranches horaires ».

    De 9H à 13H, mercredi, c’était au tour de Giorgos Ioumis, retraité, de participer à la patrouille citoyenne: « Toute la région de l’Evros est mobilisée. Nous sommes en zone de guerre et il faut défendre notre territoire ».

    (…) Des médias grecs rapportent également des arrestations musclées de migrants par des groupes de citoyens armés. « Nous avons des armes par protection », précise Sakis, « nous sommes décidés à garder nos frontières. Et si un accident doit arriver, il arrivera ! ».

    (…) Nice-Matin via fdesouche

  • Crise migratoire : fracture au sein de l’Union Européenne

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2020

    Le gouvernement rouge-jaune italien campe sur ces positions immigrationniste et politiquement correcte. Lors du sommet des ministres de l’Intérieur tenu en urgence à Bruxelles en fin d’après-midi le mercredi 4 mars, l’Italie a refusé de consentir à la Grèce des renforts de police. Athènes demandait l’envoi symbolique de 100 hommes de toute l’Europe, la Pologne en garantit 200, tandis que Rome n’accorde que des hommes pour étudier les demandes d’asile et ses bateaux des garde-côtes ne chasseront pas les canots

    Pourtant l’activation de Frontex, l’agence communautaire de défense des frontières, faite à la demande du premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, signifie que les pays membres doivent fournir leurs propres unités de renfort à la police et aux garde-côtes grecs afin qu’ensemble les 27 pays de l’UE protègent les frontières extérieures de l’Europe.

    Dans les coulisses européennes, la crise des réfugiés lancée par la Turquie contre la frontière grecque, creuse encore une autre fracture parmi les Vingt-sept.  Car si d’un côté les pays du Visegrad veulent aider la Grèce à repousser les « migrants », les pays de l’ouest se montrent plus frileux dans l’usage de moyens fermes contre l’invasion, l’Allemagne de son côté, ayant une forte communauté turque sur son sol, désirant également ménager Erdogan.

    Le document final a donc fait l’objet de longues discussions, le pays d’outre-Rhin voulant à tout prix éviter le mot “condamnation” contre la Turquie, remplacé par « rejeter fermement ». « Bien que le Conseil – écrivent les ministres – reconnaisse l’augmentation de la charge migratoire et les risques auxquels la Turquie est confrontée sur son territoire et les efforts considérables en transportant 3,7 millions de migrants et de réfugiés, refuse fermement que la Turquie utilise la pression migratoire à des fins politiques » peut-on donc lire dans le communiqué final du sommet.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Lesbos (Grèce) : la chapelle Saint-Georges saccagée par une vingtaine de migrants, les habitants indignés

    Publié par Guy Jovelin le 05 mars 2020

    Par  le 05/03/2020

    Grèce – La chapelle de Hagios Georgios (Saint Georges) sur l’île grecque de Lesbos a été vandalisée par des migrants le lundi 2 mars.

    Indignés, les habitants de l’île accusent un groupe de migrants qui vivent dans le camp de Moria d’avoir commis cet acte. Ils affirment que lorsque la police a empêché la tenue d’une manifestation de centaines de migrants demandant à être transférés à Athènes, un groupe d’une vingtaine de migrants s’est rendu à l’église et s’est vengé en détruisant la nef et l’autel.

    Les images montrent également que les assaillants ont détruit des icônes et des meubles. La chapelle a été vandalisée à plusieurs reprises ces dernières années, selon les habitants. Il n’y a pas eu d’arrestations.

    Protothema / Greek Times via fdesouche

  • Des militaires turcs parmi les foules d’immigrés qui tentent de pénétrer en Grèce

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2020

    Parmi les multitudes qui tentent en ce moment de franchir la frontière grecque, certains se débarrassent discrètement de… leur uniforme militaire turc !

    Ces images reprises par une Française sur son compte Twitter sont authentiques et ont préalablement été relayées par des médias grecs.

    ReiNe Margot ✞@c_toujours_moi

    Des hommes portant des uniformes militaires turcs ont été capturés alors qu’ils entraient illégalement en Grèce. L’uniforme a été enlevé.