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islam - Page 3

  • Le Maréchal de Lattre de Tassigny a mille fois raison

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2022

     

    Le Maréchal de Lattre de Tassigny a mille fois raison :

    "À la Grèce, nous devons surtout notre raison logique.  À Rome, nos maximes de droit et de gouvernement.
    Mais à l'Évangile nous devons notre idée même de l'homme.
    Si nous renions l'Évangile, nous sommes perdus."

    Or le Système en place non seulement "renie" l'Évangile mais promeut son reniement, sans se rendre compte que les mots creux, les paroles verbales, les incantations ridicules par lesquelles il remplace ce christianisme qui faisait notre force et notre grandeur, tout cela ne fait que.. ^préparer la voie à l'Islam. Chateaubriand l'avait pressenti : "Ôtez le christianisme, vous aurez l'Islam".

    Nous y sommes.

    C'est le résultat de presque cent cinquante ans de néfaste république idéologique. Voilà pourquoi nous menons la seule action qui vaille :

    "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

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    Source : lafautearousseau

  • Sénégal : l’Église dénonce le «mépris» d’un imam pour qui il n’y a que deux religions, «l’islam et les mécréants»

    Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2022

    L’Église catholique du Sénégal a condamné mardi 1er mars le «mépris» d’un imam pour des propos jugés offensants envers la communauté chrétienne, en l’invitant à présenter ses excuses sur la chaîne de télévision où il s’était exprimé.

    L’imam Serigne Lamine Sall était invité jeudi sur le plateau de la chaîne de télévision locale Walf TV où il a notamment affirmé que les catholiques étaient «condamnés de la même manière» que les francs-maçons et les juifs dans l’islam. Selon lui, il n’existe que deux religions, «l’islam et les mécréants». Les propos de l’imam sont «inadmissibles et ne peuvent être justifiés que par le mépris, l’indécence et l’ignorance», a estimé mardi lors d’un point presse à l’archidiocèse de Dakar Philippe Abraham Birane Tine, le président du Conseil national du Laïcat, qui rassemble les associations et mouvements catholiques du pays.

    Ces propos ont déclenché une vive polémique au Sénégal, pays ouest-africain réputé pour sa tolérance, avec une population musulmane à près de 95%. Parmi les réactions, Mame Mactar Guèye, vice-président de Jamra, une ONG islamique, a estimé sur une radio que «l’imam Serigne Lamine Sall aurait pu se passer de ces propos malheureux à l’égard de la communauté chrétienne. C’est (une) parole de trop».  […]

    Le Figaro via fdesouche

  • “Il y a beaucoup d’argent disponible pour l’islam”

    Publié par Guy Jovelin le 10 février 2022

    “Il y a beaucoup d’argent disponible pour l’islam”

    Le Forum de l’islam de France (FORIF) doit remplacer le Conseil français du culte musulman (CFCM). Le ministre de l’Intérieur a accordé à Saphirnews un entretien dans lequel il déclare :

    Vous savez, il y a beaucoup d’argent disponible pour l’islam et pour les religions en général. Il y a beaucoup de possibilités ! Tout d’abord, l’Etat peut subventionner les difficultés qui naissent de l’accessibilité pour les personnes handicapées dans les lieux de culte, les travaux à faire, la sécurité ou la transition écologique, si on a envie de passer dans tel type de protection et d’éviter des factures énergétiques trop fortes. Cela reste toujours possible. C’est ce que la loi contre les séparatismes a d’ailleurs permis de le faire. Avant, la loi ne le permettait pas toujours.

    Deuxièmement, je rappelle que, si les mosquées passent en loi 1905, ce que la loi les oblige à faire désormais, elles auront accès à un certain nombre de choses qui leur permettraient du financement national et local. La taxe foncière, vous ne la payez pas si vous êtes en (loi) 1905. Je connais des musulmans qui continuent à faire des appels aux dons et à faire venir de l’argent étranger pour payer une taxe foncière qu’ils n’auraient pas payé s’ils sont en 1905. C’est un peu absurde ! La déduction fiscale, personne ne la touche aujourd’hui parce qu’il n’y a pas des reçus fiscaux donnés. C’est pourtant une énorme source de financement pour tout le monde.

    Le hajj, c’est aussi une source de financement très important. Pareil pour le halal. C’est une question qu’on peut se poser, les juifs y ont répondu par la cacherout. Ce n’est pas l’Etat qui l’organise, ce sont les juifs eux-mêmes et une partie des financements va au Consistoire. Il n’est donc pas anormal de dire qu’on peut peut-être se partager cet argent qui, vous savez bien, est très important. Je pense qu’il y a plein de sources de financement possibles, à condition que les gros aident les petits. Que l’on considère que ce qui compte, c’est le culte musulman, pas les endroits où on a des positions monopolistiques.

     

    Source : lesalonbeige

  • De nombreuses femmes chrétiennes sont contraintes de se convertir à l’islam

    Publié par Guy Jovelin le 17 janvier 2022

    De nombreuses femmes chrétiennes sont contraintes de se convertir à l’islam

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    Lu sur IFamNews :

    Dans de nombreux pays afro-asiatiques, la violence contre les femmes est motivée par la religion. Le récent rapport de la branche canadienne de la fondation pontificale Aide à l’Église en Détresse, intitulé Entendez ses cris : L’ enlèvement, la conversion forcée et la victimisation sexuelle des femmes et des filles chrétiennes confirme une tendance déjà connue et terriblement croissante de viols, de mariages forcés et de conversions forcées. Le document détaille des études de cas récurrentes, en s’appuyant notamment sur l’Égypte, l’Irak, la Syrie, le Mozambique, le Nigeria et le Pakistan.

    Selon l’Aide à l’Église en Détresse, plus de 70 % des femmes et des filles contraintes au mariage ou à la conversion sont chrétiennes.

    “Les auteurs savent que leurs chances d’être condamnés sont considérablement réduites s’ils limitent leurs attaques contre les minorités religieuses”.

    Mais, selon le rapport, les cas qui font la une des journaux ne sont que la partie émergée de l’iceberg. La plupart des victimes ont tendance à garder le silence par crainte de nouvelles représailles. Pour l’Aide à l’Église en Détresse, les cas de femmes persécutées et victimes de chantage pour des raisons religieuses ont toujours été sous-déclarés, principalement en raison de la crainte de faire honte aux victimes et à leurs familles. Outre la stigmatisation sociale, une autre motivation du silence est la peur des représailles : les familles des victimes ont tendance à ne pas parler par crainte de nouvelles violences. En particulier, au Pakistan, où la police et le système judiciaire sont de connivence avec les personnes violentes.

    Les tribunaux de connivence avec l’islamisme

    Dans les endroits où le christianisme est minoritaire, de nombreuses femmes chrétiennes sont contraintes de se convertir, notamment à l’islam, afin que le fondamentalisme puisse trouver de nouveaux adeptes parmi leurs enfants. Les combattants d’ISIS, par exemple, ont délibérément tenté de maximiser les conversions de femmes chrétiennes en Syrie afin de s’assurer une nouvelle génération de djihadistes. Et au Nigeria, Boko Haram utilise la violence à l’égard des femmes pour provoquer un exode massif des chrétiens du nord du pays.

    Qui va les aider ?

    Parmi les cas rapportés dans le rapport figure celui de Farah Shaheen, une jeune chrétienne pakistanaise enlevée à l’âge de douze ans, mariée de force puis enchaînée comme une esclave. Lorsque son père a signalé l’incident, la police a refusé de l’écouter et de le signaler. Les experts médicaux du tribunal ont déclaré que la jeune fille était suffisamment âgée pour être légalement mariée ; ils ont donc rejeté le certificat de naissance confirmant qu’elle avait 12 ans au moment de l’enlèvement.

    De leur côté, les institutions politiques et judiciaires reflètent les normes culturelles et religieuses de la majorité, et même dans les pays où la shari’a n’est pas officiellement en vigueur, il existe des codes de conduite qui tendent à prévaloir sur le droit civil. Les tribunaux et l’ensemble du système judiciaire sont donc biaisés contre les chrétiens. “Il est très difficile d’être une jeune fille chrétienne dans notre pays”, déclare une victime anonyme, interrogée par l’Aide à l’Église en Détresse. “C’est pourquoi nos filles sont souvent enlevées et les abus qu’elles doivent subir sont trop terribles pour être imaginés. C’est vraiment effrayant. Qui est prêt à nous aider ?”.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’Allemagne s’incline devant l’islam, feu vert aux chants du muezzin dans les rues de Cologne

    Publié par Guy Jovelin le 13 octobre 2021

    Au nom de « l’inclusion », le maire de la ville de Cologne, Henriette Reker, a donné son feu vert aux chants des muezzins dans les rues. Les autorités de la ville ont donc autorisé l’ensemble des 35 mosquées de la ville, dont la plus grande du pays, à diffuser le « chant du muezzin » tous les vendredis par haut-parleurs, comme dans les pays islamiques.

    Cette décision a provoqué de nombreuses critiques en Allemagne. A la suite d’un accord signé lundi par la Commune et la communauté musulmane locale, les haut-parleurs des lieux de culte islamiques locaux pourront diffuser l’azan, c’est-à-dire l’appel des fidèles aux prières obligatoires, de midi à trois heures de l’après-midi, en prévenant toutefois à l’avance les copropriétés et les commerces à proximité. Une autre limitation contenue dans cet accord concerne le « volume non excessif ».

    Le grand promoteur de l’accord en question, qui durera deux ans et qui annule la plupart des interdictions précédentes au sujet des chants de muezzin, est le maire de Cologne Henriette Reker. Elue en 2015 en tant que candidate indépendante, elle a salué le feu vert pour « l’azan » dans sa ville comme un signe de « respect » pour l’importante minorité musulmane résidant dans la métropole. Elle est toute fière de faire de Cologne une ville qui verra coexister le son des cloches de la plus grande cathédrale gothique d’Europe du Nord et les appels des muezzins diffusés par les nombreuses mosquées urbaines. Selon Reker, l’assouplissement des restrictions sur les émissions sonores des lieux de culte musulmans tend à raviver « l’essence inclusive » de Cologne et quiconque conteste ce changement « remet en question l’identité de la ville et la coexistence pacifique ». Cancel culture et ignorance vont de paire chez dame Reker qui invente une histoire fantasmagorique d’une Cologne plurielle et multi-éthnique depuis des temps immémoriaux…

    La décision du bourgmestre a, bien évidemment, obtenu l’approbation des résidents islamiques, mais a également provoqué de vives critiques de la part des Allemands, journaux compris. Daniel Kremer, journaliste du quotidien Bild, a en effet condamné le choix de Reker dénonçant le fait que les mosquées de Cologne ne peuvent en aucun cas être considérées comme une preuve de tolérance, « d’inclusion », puisque la plupart d’entre elles ont été financées par la Turquie d’Erdogan, qui n’est pas encline à la promotion des valeurs démocratiques et de l’égalité. Kremer a alors tonné : « Il est faux d’assimiler le chant du muezzin au son des cloches. Les cloches sont un signal qui aide aussi à dire l’heure, tandis que le muezzin crie ‘’Allah est grand !’’ et ‘’Je témoigne qu’il n’y a pas de Dieu autre qu’Allah.’’ ».

    Ahmad Mansour, spécialiste des processus d’intégration ethnique, a lui-aussi contesté la thèse de Reker selon laquelle la diffusion du chant du muezzin à Cologne serait un hymne à la diversité. Selon l’expert, l’azan serait en fait une « démonstration de force ». Il a souligné auprès des journalistes de Bild : « Il ne s’agit pas de ‘liberté religieuse’ ou de ‘diversité’, comme le prétend le maire Reker. Les responsables d’une mosquée veulent de la visibilité. Ils considèrent le chant du muezzin comme une démonstration de pouvoir sur leurs quartiers. » Le parti CSU (Parti de l’union) a alors pris position contre le choix de la municipalité de Cologne : le secrétaire général adjoint Florian Hahn, a affirmé que les chants des muezzins « ne font pas partie de notre tradition occidentale ».

    Cologne n’est pas la seule ville d’Allemagne, pays avec une minorité islamique d’environ 4,5 millions d’habitants, à autoriser les mosquées à répandre l’azan. Des autorisations similaires avaient déjà été apportés dans les années 1990 par les autorités de Gelsenkirchen et Düren, des villes situées en Rhénanie du Nord-Westphalie.

    L’islamisation de la société allemande se fait avec la bénédiction des élus locaux de souche, et ce même phénomène peut être constaté en France.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info