Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2021

Telle une pyramide sur sa pointe, tout l’Islam repose sur la véracité du Coran. Sa nature divine éclaterait de façon si évidente qu’Allah lance souvent le défi de tenter d’en produire un texte semblable (Coran 2.23-24 ; 11.13-14 ; 10.38 ; 17.88 ; 52.34). Et de l’impossibilité escomptée de relever la gageure, chacun devrait en déduire LA PREUVE de la divinité du Coran, et donc de celle de l’islam. C’est dire l’impertinence, ou l’importance, de ce petit livre prétendant relever le défi d’Allah. Y réussit-il ? En 125 paragraphes, l’abbé Pagès expose les contradictions internes du Coran, ses absurdités, ses non-sens… Exemple :
Car enfin, Allah, a-t-il créé le monde en deux jours (41.9), en six (7.54; 10.3; 11.7; 25.59), en huit (41.9-12), ou bien instantanément (2.117) ? A-t-il créé la terre puis le ciel (2.29), ou bien l’inverse (79.27-30) ? […] Iblis (Satan) est-il un djinn (18.50) ou un ange (2.34) ? Caïn est-il au nombre des perdants (5.27,30), ou non (5.31) ? Allah a-t-il sauvé le fils de Noé (21.78;37.77), ou non (11.42-43) ?
Si le Coran est si intraduisible, au point que certaines phrases ne veulent rien dire sur le plan grammatical, c’est qu’il s’agit d’abord d’un texte mal traduit
les premiers rédacteurs du Coran pensaient en syriaque, pétris de références chrétiennes. Les travaux de Luxemberg mettent en évidence que les références culturelles du Coran étaient chrétiennes, syro-araméennes, et qu’en raison de l’hégémonie arabe, elles ont fini par ne plus être comprises, de sorte que les scribes omeyyades, puis abbassides, ne connaissant plus le sens des mots étrangers, ni donc de la polysémie de certains termes, ont collé sur ceux-ci des significations arabes étrangères à leur sens premier.
Concernant le Coran, lire aussi le dossier du numéro d’avril de La Nef.
Source : lesalonbeige
Les similitudes sont évidentes entre l'Islam et le Système que nous subissons, hérité de la Révolution française et qui se proclame "république" alors qu'il n'en est pas une : il n'est rien d'autre qu'un Totalitarisme, une Nouvelle Religion Républicaine idéologique...
Aux journalistes présents dans l’avion du retour, François a ainsi déclaré : « On doit avancer avec les autres religions. Le concile Vatican II a permis un grand pas. L’institution catholique a suivi. Mais il faut prendre des risques et donc subir des critiques : “Le pape n’est pas courageux, il est inconscient, il marche hors de la doctrine catholique. Il est à un pas de l’hérésie !” Ce sont des risques mais ces décisions d’avancer se prennent toujours par la prière, dans le dialogue en demandant conseil. C’est une réflexion et non un caprice, c’est aussi la ligne de Vatican II. »
