Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

islam - Page 4

  • Bruno Macaes, ancien secrétaire d’Etat portugais aux Affaires européennes, déclare en Turquie : «L’Islam fait partie de l’histoire et de la culture européennes»

    Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2021

    Affaires européennes

    « L’islam fait partie de l’histoire européenne et de sa culture, ce n’est pas un phénomène extérieur », a souligné Bruno Macaes, qui a été ministre de l’Europe du gouvernement portugais entre 2013 et 2015, en marge du Forum diplomatique d’Antalya.

    « L’histoire glorieuse de l’Europe […] J’espère qu’elle pourra être comprise, et que nous pourrons aboutir à une bonne relation avec l’islam et comprendre qu’il fait partie de l’histoire et de la culture européennes … dans les Balkans, en Espagne et dans d’autres régions, et maintenant dans de nombreuses villes européennes à forte densité de population », a déclaré à l’agence Anadolu Bruno Macaes.

    Il a ajouté : « Il ne s’agit donc pas d’une religion étrangère, elle fait partie de nous, et peut aider à restaurer quelque diversité et dynamisme en Europe. Nous en avons besoin. »

    oumma via fdesouche

  • L’entrisme de l’islam en entreprise s’est considérablement accru, en 2020.

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2021

    De septembre à fin décembre 2020, l’Institut Montaigne a réalisé une grande enquête sur le fait religieux dans l’entreprise, via un « questionnaire en ligne auprès d’un échantillon représentatif d’environ 25.000 cadres et managers exerçant leur activité en France, complété par des enquêtes de terrain ».

    entreprises,entrisme,islamSans grande surprise pour ceux qui regardent la réalité en face, il apparaît que les comportements rigoristes et les situations conflictuelles qui en découlent sont en forte hausse : +12 %, contre 8 % en 2019. Il apparaît surtout qu’ils sont très majoritairement le fait de salariés musulmans (à 73 %), généralement jeunes (moins de 40 ans) et peu qualifiés. Globalement, il s’agit du refus de travailler avec une femme, de la remise en cause de la hiérarchie, du refus d’effectuer certaines tâches ou bien encore la tentative d’imposer une pratique religieuse au travail (pauses pour la prière, ablutions, menus spéciaux, etc.).

    Selon le « baromètre » issu de cette enquête, il ressort que « globalement, deux tiers des entreprises, soit 66,5 % des répondants (encadrants), disent rencontrer “régulièrement (31,3 %) ou occasionnellement (35,2 %)” le fait religieux au travail en 2020 ». Les entreprises de plus de 1.000 salariés sont les plus touchées (43 %) mais les comportements diffusent également dans les PME : 12 % dans celles de moins de 50 salariés. Quant aux secteurs les plus touchés, il s’agit d’abord du transport, suivi de la logistique, du BTP et de la grande distribution.

    Le Figaro de ce jour est allé à la rencontre de dirigeants confrontés au problème : la plupart « tentent de prendre la main sur l’expression du fait religieux sur le lieu de travail », autrement dit de le contourner. Exemple significatif avec le patron d’une entreprise d’insertion spécialisée dans le recyclage et la propreté. « Il y a vingt ans, j’avais des positions très claires et radicales sur la . Maintenant, je prône l’accommodement raisonnable », dit-il. Ainsi, « face à des toilettes régulièrement inondées par des flaques d’eau, Éric Challan-Belval a dû dépasser sa surprise et comprendre que ces désagréments étaient liés aux ablutions pratiquées par des salariés. Le patron étant prêt aux concessions, il va installer des toilettes à la turque et des douchettes. »

    Les forums musulmans en ligne sont très sollicités par les questions telles que « Quelle place donner à sa religion au travail ? Peut-on prier ? Porter le  ? » Depuis l’affaire de la , les entreprises ont commencé à se presser au cabinet de Michael Amado, avocat au barreau de , nous dit-on. Elles sollicitent ses conseils car, depuis l’arrêt de la Cour de cassation, déclarant en 2013 que le licenciement de la salariée voilée était « discriminatoire » et, donc, « nul »« les demandes concernant la place du fait religieux en entreprise ont augmenté ».

    Si des entreprises comme la  ou la  ont édicté des chartes et guides de conduite pour leurs salariés, les entreprises privées n’ont pas, elles, les mêmes capacités de contrôle. Elles cherchent donc des solutions de contournement. De ce fait, « les interlocuteurs joints par Le Figaro reconnaissent que cette volonté de contrôle peut se traduire par de la discrimination à l’embauche envers les musulmans (ou candidats perçus comme tel), ce qui est illégal ». Pas de loup dans la bergerie…

    Dans son livre Le Tabou de l’entrisme islamique en entreprise, Adel Paul Boulad estime qu’« il existe, chez quelque dix pour cent des salariés musulmans, une volonté manifeste d’adapter le lieu de travail aux pratiques religieuses »« C’est un tabou global dans la , mais aussi au niveau de l’entreprise pour les managers », dit-il.

    Il serait peut-être temps, alors, d’affronter le réel ?

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
  • Ce n’est pas la faute de l’islam, c’est la faute au confinement

    Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021

    Ce n’est pas la faute de l’islam, c’est la faute au confinement

    attaque à l'arme blanche,faute au confinement,islam,jamel g.,politique immigrationniste

    Ils ont toujours beaucoup d’imagination pour éviter de remettre en cause la politique immigrationniste ou l’islam :

    Jamel G., selon les papiers d’identité retrouvés sur lui, était un ressortissant tunisien de 36 ans. Originaire de la région de Sousse, dans l’est de la Tunisie, il était arrivé en France en 2009 et avait bénéficié en 2019 d’une autorisation exceptionnelle de séjour salarié, puis d’une carte de séjour en décembre 2020, valable jusqu’en décembre 2021, selon le Parquet national antiterroriste (Pnat).

    Selon une source proche de l’enquête, ce chauffeur-livreur de profession vivait depuis quelques années dans une maison excentrée de Rambouillet. D’après un proche de sa famille en Tunisie interrogé par l’AFP, il habitait chez sa tante et avait au moins deux frères, dont un jumeau. Une source policière a toutefois confié au Figaro que le trentenaire résidait chez son père, qui se trouve d’ailleurs actuellement en garde à vue.

    L’homme avait résidé auparavant à Thiais, dans le Val-de-Marne. L’un de ses anciens voisins, interrogé par l’AFP, qui l’a connu à cette adresse deux mois en 2017, se souvient d’un homme «musulman» mais «pas pratiquant», vivant seul et travaillant dans le bâtiment. Il était inconnu des services de police et de renseignements, comme l’a confirmé une source policière au Figaro.

    «C’était quelqu’un de calme, pas particulièrement pieux», a indiqué à l’AFP un cousin, Noureddine, qui reconnaît ne pas avoir pas vu Jamel G. depuis longtemps. L’un de ses beaux-frères a indiqué à un correspondant de l’AFP qu’il était revenu deux semaines en Tunisie récemment. Une cousine trentenaire, Sameh, le décrit comme un homme dépressif, elle indique qu’il était suivi par un psychiatre en France.

    Sur sa page Facebook, le trentenaire, aux cheveux plutôt courts comme sa barbe, écrit être originaire de M’saken, ville de 60.000 habitants sur la côte est de la Tunisie. Pendant plusieurs années, ses posts publics sont consacrés en nombre à la dénonciation de l’islamophobie ou des propos de différents polémistes.

    Mais à partir d’avril 2020, au moment du confinement, il ne publie plus que de pieuses prières et des versets coraniques. Le 24 octobre, huit jours après l’assassinat du professeur de collège Samuel Paty par un islamiste, il avait changé sa photo de profil et rejoint une campagne intitulée: «Respectez Mohamed prophète de Dieu». Les enquêteurs sont en train d’analyser tous ses supports numériques (téléphones, ordinateurs…). Ils cherchent également à déterminer si Jamel G. a bénéficié d’un soutien, matériel ou idéologique.

    Au moment de l’attaque, l’assaillant aurait crié «Allah Akbar» avant de poignarder mortellement la fonctionnaire de police. Cet élément ainsi que «des éléments de repérages», la qualité de la victime – une fonctionnaire de police, conformément aux mots d’ordre récurrents du groupe djihadiste État islamique (EI), ont conduit le parquet antiterroriste à se saisir de l’enquête après «une évaluation (…) par la Sous-direction antiterroriste (Sdat)», a justifié le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard.

    Le mode opératoire, une attaque à l’arme blanche, a également motivé cette saisine. L’enquête a été confiée conjointement à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

    En attendant d’en savoir plus, le sinistre de l’Intérieur a fait savoir que la sécurité allait être renforcée devant les commissariats et les gendarmeries du pays.

     

    Source : lesalonbeige

  • Jusqu’à quand les musulmans refuseront-ils l’examen historico-critique de leurs textes ?

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2021

    i-grande-40739-la-preuve-du-coran-ou-la-fin-de-l-islamnet-230x180.jpg

    Jusqu’à quand les musulmans refuseront-ils l’examen historico-critique de leurs textes ?L’abbé Guy Pagès, licencié en théologie et prêtre de l’archidiocèse de Paris, publie un livret sur l’islam, tiré de l’ouvrage Interroger l’islam, publié en 2013 et qui en est aujourd’hui à sa quatrième édition.

    Telle une pyramide sur sa pointe, tout l’Islam repose sur la véracité du Coran. Sa nature divine éclaterait de façon si évidente qu’Allah lance souvent le défi de tenter d’en produire un texte semblable (Coran 2.23-24 ; 11.13-14 ; 10.38 ; 17.88 ; 52.34). Et de l’impossibilité escomptée de relever la gageure, chacun devrait en déduire LA PREUVE de la divinité du Coran, et donc de celle de l’islam. C’est dire l’impertinence, ou l’importance, de ce petit livre prétendant relever le défi d’Allah. Y réussit-il ? En 125 paragraphes, l’abbé Pagès expose les contradictions internes du Coran, ses absurdités, ses non-sens… Exemple :

    Car enfin, Allah, a-t-il créé le monde en deux jours (41.9), en six (7.54; 10.3; 11.7; 25.59), en huit (41.9-12), ou bien instantanément (2.117) ? A-t-il créé la terre puis le ciel (2.29), ou bien l’inverse (79.27-30) ? […] Iblis (Satan) est-il un djinn (18.50) ou un ange (2.34) ? Caïn est-il au nombre des perdants (5.27,30), ou non (5.31) ? Allah a-t-il sauvé le fils de Noé (21.78;37.77), ou non (11.42-43) ?

    Si le Coran est si intraduisible, au point que certaines phrases ne veulent rien dire sur le plan grammatical, c’est qu’il s’agit d’abord d’un texte mal traduit

    les premiers rédacteurs du Coran pensaient en syriaque, pétris de références chrétiennes. Les travaux de Luxemberg mettent en évidence que les références culturelles du Coran étaient chrétiennes, syro-araméennes, et qu’en raison de l’hégémonie arabe, elles ont fini par ne plus être comprises, de sorte que les scribes omeyyades, puis abbassides, ne connaissant plus le sens des mots étrangers, ni donc de la polysémie de certains termes, ont collé sur ceux-ci des significations arabes étrangères à leur sens premier.

    Concernant le Coran, lire aussi le dossier du numéro d’avril de La Nef.

     

    Source : lesalonbeige

  • Système et Islam : ces deux Totalitarismes mortels qui nous menacent, et se ressemblent tant...

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

    islam,république,système,totalitarismeLes similitudes sont évidentes entre l'Islam et le Système que nous subissons, hérité de la Révolution française et qui se proclame "république" alors qu'il n'en est pas une : il n'est rien d'autre qu'un Totalitarisme, une Nouvelle Religion Républicaine idéologique...

    1. Islam et République ou (Système) font débuter l'Histoire avec eux-mêmes : pour les musulmans, nous sommes en 1442, car l'Histoire commence pour eux avec l'Hégire (fuite de Mahomet de La Mecque vers Médine, en 622); les terroristes républicains dataient leurs premiers décrets criminels de "l'an I de la République"; parlaient des "soldats de l'An II" etc... Si leur puéril calendrier républicain n'a pas tenu bien longtemps, il n'en demeure pas moins que, pour eux, la France commence en 1789, ce qui est, évidemment, une aberration... 

    2. Islam et République ont fait disparaître le plus possible de témoignages antérieurs à eux-mêmes, dans cette volonté insensée de ré-écrire l'Histoire : ainsi, la République nous a-t-elle privée du tiers de notre patrimoine historique, monumental ou artistique, entre la Révolution et la démolition des Tuileries en 1883, ou la vente des Diamants de la Couronne en 1887. Pour ce qui est de l'Islam, on connaît moins son vandalisme en Europe, mais la destruction des Bouddhas de Bâmiyân en mars 2001 ou d'une partie des ruines de Palmyre en 2017 ont marqué les esprits du monde entier, et relèvent de la même logique...

    3. Islam et République sont, tous les deux, "un bloc" (l'expression, pour la France, la Révolution et la République qui en est issue, est de Clemenceau.) On ne peut composer ni avec l'un, ni avec l'autre. Et, du reste, ni l'un ni l'autre ne souhaitent composer. Soit on les rejette intégralement, soit ils s'imposent intégralement. Le révolutionnaire sanguinaire Saint Just (celui qui disait "Je ne juge pas je tue", ou "Une Nation ne se régénère que sur un monceau de cadavres") disait également : "Ce qui constitue une République, c’est la destruction totale de ce qui lui est opposé." (Convention, Rapport du 26 février 1794 (premier décret de ventôse). Ces deux blocs sont tous les deux un Totalitarisme, qui ne veut et ne peut rien accepter d'autre en dehors de lui-même, qui doit tout régir. Même si l'Islam professe un Dieu au-dessus des hommes, sa Charia - qui règle la totalité de la vie de la totalité de la Société - induit le Totalitarisme, de fait.

    4. Au début, la France n'était menacée, dans son Être profond, que par le premier de ces Totalitarismes : la Révolution. Mais le Système, en quoi la République issue de cette Révolution a dégénéré, mène depuis 1976 et les scélérats décrets Chirac sur le regroupement familial une suicidaire politique d'immigration massive et incontrôlée, dans le but de diluer et faire disparaître tout ce qui lui résiste encore, un siècle et demi après son instauration en 1875. Il a donc volontairement et délibérément implanté l'Islam en France, et comme greffé de nouvelles populations, absolument allergiques à nos moeurs, coutumes, traditions, façons d'être, de vivre et de penser etc...

    Voilà comment un second risque mortel pour la survie et l'avenir de notre Peuple, de sa Culture et de sa Civilisation nous menace aujourd'hui...

    Ce nouveau danger mortel a été pensé, voulu et imposé sur notre sol par le Système, dans le but de détruire notre Passé, notre Héritage.

    Le seul combat utile à mener aujourd'hui est celui qui est "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

     

    Source : lafautearousseau