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islam - Page 5

  • Ce n’est pas la faute de l’islam, c’est la faute au confinement

    Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021

    Ce n’est pas la faute de l’islam, c’est la faute au confinement

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    Ils ont toujours beaucoup d’imagination pour éviter de remettre en cause la politique immigrationniste ou l’islam :

    Jamel G., selon les papiers d’identité retrouvés sur lui, était un ressortissant tunisien de 36 ans. Originaire de la région de Sousse, dans l’est de la Tunisie, il était arrivé en France en 2009 et avait bénéficié en 2019 d’une autorisation exceptionnelle de séjour salarié, puis d’une carte de séjour en décembre 2020, valable jusqu’en décembre 2021, selon le Parquet national antiterroriste (Pnat).

    Selon une source proche de l’enquête, ce chauffeur-livreur de profession vivait depuis quelques années dans une maison excentrée de Rambouillet. D’après un proche de sa famille en Tunisie interrogé par l’AFP, il habitait chez sa tante et avait au moins deux frères, dont un jumeau. Une source policière a toutefois confié au Figaro que le trentenaire résidait chez son père, qui se trouve d’ailleurs actuellement en garde à vue.

    L’homme avait résidé auparavant à Thiais, dans le Val-de-Marne. L’un de ses anciens voisins, interrogé par l’AFP, qui l’a connu à cette adresse deux mois en 2017, se souvient d’un homme «musulman» mais «pas pratiquant», vivant seul et travaillant dans le bâtiment. Il était inconnu des services de police et de renseignements, comme l’a confirmé une source policière au Figaro.

    «C’était quelqu’un de calme, pas particulièrement pieux», a indiqué à l’AFP un cousin, Noureddine, qui reconnaît ne pas avoir pas vu Jamel G. depuis longtemps. L’un de ses beaux-frères a indiqué à un correspondant de l’AFP qu’il était revenu deux semaines en Tunisie récemment. Une cousine trentenaire, Sameh, le décrit comme un homme dépressif, elle indique qu’il était suivi par un psychiatre en France.

    Sur sa page Facebook, le trentenaire, aux cheveux plutôt courts comme sa barbe, écrit être originaire de M’saken, ville de 60.000 habitants sur la côte est de la Tunisie. Pendant plusieurs années, ses posts publics sont consacrés en nombre à la dénonciation de l’islamophobie ou des propos de différents polémistes.

    Mais à partir d’avril 2020, au moment du confinement, il ne publie plus que de pieuses prières et des versets coraniques. Le 24 octobre, huit jours après l’assassinat du professeur de collège Samuel Paty par un islamiste, il avait changé sa photo de profil et rejoint une campagne intitulée: «Respectez Mohamed prophète de Dieu». Les enquêteurs sont en train d’analyser tous ses supports numériques (téléphones, ordinateurs…). Ils cherchent également à déterminer si Jamel G. a bénéficié d’un soutien, matériel ou idéologique.

    Au moment de l’attaque, l’assaillant aurait crié «Allah Akbar» avant de poignarder mortellement la fonctionnaire de police. Cet élément ainsi que «des éléments de repérages», la qualité de la victime – une fonctionnaire de police, conformément aux mots d’ordre récurrents du groupe djihadiste État islamique (EI), ont conduit le parquet antiterroriste à se saisir de l’enquête après «une évaluation (…) par la Sous-direction antiterroriste (Sdat)», a justifié le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard.

    Le mode opératoire, une attaque à l’arme blanche, a également motivé cette saisine. L’enquête a été confiée conjointement à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

    En attendant d’en savoir plus, le sinistre de l’Intérieur a fait savoir que la sécurité allait être renforcée devant les commissariats et les gendarmeries du pays.

     

    Source : lesalonbeige

  • Jusqu’à quand les musulmans refuseront-ils l’examen historico-critique de leurs textes ?

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2021

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    Jusqu’à quand les musulmans refuseront-ils l’examen historico-critique de leurs textes ?L’abbé Guy Pagès, licencié en théologie et prêtre de l’archidiocèse de Paris, publie un livret sur l’islam, tiré de l’ouvrage Interroger l’islam, publié en 2013 et qui en est aujourd’hui à sa quatrième édition.

    Telle une pyramide sur sa pointe, tout l’Islam repose sur la véracité du Coran. Sa nature divine éclaterait de façon si évidente qu’Allah lance souvent le défi de tenter d’en produire un texte semblable (Coran 2.23-24 ; 11.13-14 ; 10.38 ; 17.88 ; 52.34). Et de l’impossibilité escomptée de relever la gageure, chacun devrait en déduire LA PREUVE de la divinité du Coran, et donc de celle de l’islam. C’est dire l’impertinence, ou l’importance, de ce petit livre prétendant relever le défi d’Allah. Y réussit-il ? En 125 paragraphes, l’abbé Pagès expose les contradictions internes du Coran, ses absurdités, ses non-sens… Exemple :

    Car enfin, Allah, a-t-il créé le monde en deux jours (41.9), en six (7.54; 10.3; 11.7; 25.59), en huit (41.9-12), ou bien instantanément (2.117) ? A-t-il créé la terre puis le ciel (2.29), ou bien l’inverse (79.27-30) ? […] Iblis (Satan) est-il un djinn (18.50) ou un ange (2.34) ? Caïn est-il au nombre des perdants (5.27,30), ou non (5.31) ? Allah a-t-il sauvé le fils de Noé (21.78;37.77), ou non (11.42-43) ?

    Si le Coran est si intraduisible, au point que certaines phrases ne veulent rien dire sur le plan grammatical, c’est qu’il s’agit d’abord d’un texte mal traduit

    les premiers rédacteurs du Coran pensaient en syriaque, pétris de références chrétiennes. Les travaux de Luxemberg mettent en évidence que les références culturelles du Coran étaient chrétiennes, syro-araméennes, et qu’en raison de l’hégémonie arabe, elles ont fini par ne plus être comprises, de sorte que les scribes omeyyades, puis abbassides, ne connaissant plus le sens des mots étrangers, ni donc de la polysémie de certains termes, ont collé sur ceux-ci des significations arabes étrangères à leur sens premier.

    Concernant le Coran, lire aussi le dossier du numéro d’avril de La Nef.

     

    Source : lesalonbeige

  • Système et Islam : ces deux Totalitarismes mortels qui nous menacent, et se ressemblent tant...

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

    islam,république,système,totalitarismeLes similitudes sont évidentes entre l'Islam et le Système que nous subissons, hérité de la Révolution française et qui se proclame "république" alors qu'il n'en est pas une : il n'est rien d'autre qu'un Totalitarisme, une Nouvelle Religion Républicaine idéologique...

    1. Islam et République ou (Système) font débuter l'Histoire avec eux-mêmes : pour les musulmans, nous sommes en 1442, car l'Histoire commence pour eux avec l'Hégire (fuite de Mahomet de La Mecque vers Médine, en 622); les terroristes républicains dataient leurs premiers décrets criminels de "l'an I de la République"; parlaient des "soldats de l'An II" etc... Si leur puéril calendrier républicain n'a pas tenu bien longtemps, il n'en demeure pas moins que, pour eux, la France commence en 1789, ce qui est, évidemment, une aberration... 

    2. Islam et République ont fait disparaître le plus possible de témoignages antérieurs à eux-mêmes, dans cette volonté insensée de ré-écrire l'Histoire : ainsi, la République nous a-t-elle privée du tiers de notre patrimoine historique, monumental ou artistique, entre la Révolution et la démolition des Tuileries en 1883, ou la vente des Diamants de la Couronne en 1887. Pour ce qui est de l'Islam, on connaît moins son vandalisme en Europe, mais la destruction des Bouddhas de Bâmiyân en mars 2001 ou d'une partie des ruines de Palmyre en 2017 ont marqué les esprits du monde entier, et relèvent de la même logique...

    3. Islam et République sont, tous les deux, "un bloc" (l'expression, pour la France, la Révolution et la République qui en est issue, est de Clemenceau.) On ne peut composer ni avec l'un, ni avec l'autre. Et, du reste, ni l'un ni l'autre ne souhaitent composer. Soit on les rejette intégralement, soit ils s'imposent intégralement. Le révolutionnaire sanguinaire Saint Just (celui qui disait "Je ne juge pas je tue", ou "Une Nation ne se régénère que sur un monceau de cadavres") disait également : "Ce qui constitue une République, c’est la destruction totale de ce qui lui est opposé." (Convention, Rapport du 26 février 1794 (premier décret de ventôse). Ces deux blocs sont tous les deux un Totalitarisme, qui ne veut et ne peut rien accepter d'autre en dehors de lui-même, qui doit tout régir. Même si l'Islam professe un Dieu au-dessus des hommes, sa Charia - qui règle la totalité de la vie de la totalité de la Société - induit le Totalitarisme, de fait.

    4. Au début, la France n'était menacée, dans son Être profond, que par le premier de ces Totalitarismes : la Révolution. Mais le Système, en quoi la République issue de cette Révolution a dégénéré, mène depuis 1976 et les scélérats décrets Chirac sur le regroupement familial une suicidaire politique d'immigration massive et incontrôlée, dans le but de diluer et faire disparaître tout ce qui lui résiste encore, un siècle et demi après son instauration en 1875. Il a donc volontairement et délibérément implanté l'Islam en France, et comme greffé de nouvelles populations, absolument allergiques à nos moeurs, coutumes, traditions, façons d'être, de vivre et de penser etc...

    Voilà comment un second risque mortel pour la survie et l'avenir de notre Peuple, de sa Culture et de sa Civilisation nous menace aujourd'hui...

    Ce nouveau danger mortel a été pensé, voulu et imposé sur notre sol par le Système, dans le but de détruire notre Passé, notre Héritage.

    Le seul combat utile à mener aujourd'hui est celui qui est "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)

     

    Source : lafautearousseau

  • Islam Le pari de François

    Publié par Guy Jovelin le 13 mars 2021

    © Antoine Mekary / Godong 

    On me permettra de prolonger la réflexion que j’ai commencée lundi dernier, à propos du voyage du pape en Irak. Lui-même nous invite à méditer l’événement, ce qui l’a précédé et ce qui devrait le suivre, non sans se référer aux critiques que sa volonté de rapprochement avec certains responsables de l’islam peut susciter. 

    hérésie,islam,pape françoisAux journalistes présents dans l’avion du retour, François a ainsi déclaré : « On doit avancer avec les autres religions. Le concile Vatican II a permis un grand pas. L’institution catholique a suivi. Mais il faut prendre des risques et donc subir des critiques : “Le pape n’est pas courageux, il est inconscient, il marche hors de la doctrine catholique. Il est à un pas de l’hérésie !” Ce sont des risques mais ces décisions d’avancer se prennent toujours par la prière, dans le dialogue en demandant conseil. C’est une réflexion et non un caprice, c’est aussi la ligne de Vatican II. »

    En contraste avec une telle déclaration, on pourrait s’interroger sur l’énorme polémique qui concerne ce qu’on appelle l’islamo-gauchisme. Le pape ne serait-il pas à côté de la plaque, alors que nos pays d’Occident sont confrontés à un véritable problème de civilisation et que leurs universités mêmes sont le lieu d’un bouleversement culturel majeur, à cause précisément de la présence de l’islam ? Et lorsque l’un de nos meilleurs spécialistes de la question, Gilles Kepel, dans son dernier livre [1] met en cause la quatrième mutation du virus djihadiste, on pourrait se demander si l’Église n’est décidément pas hors course.

    Le pape, cependant, a pu constater de visu le caractère incroyable de la cruauté djihadiste. Il ne devait donc rien ignorer du défi. Mais il parie sur la possibilité de trouver des alliés chez certains dirigeants musulmans. Ce pari est-il risqué ? Je suis payé pour savoir que parmi les plus hauts responsables de la hiérarchie, il est l’objet d’un débat sérieux.

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 10 mars 2021.

    [1Gilles Kepel, Le prophète et la pandémie, Du Moyen-Orient au jihadisme d’atmosphère, Gallimard, Paris, 2021.

    Sources : https://www.france-catholique.fr/

    https://radionotredame.net/

  • Toulouse : en poste aux urgences, un médecin, qui évoquait beaucoup les préceptes de l’islam, accusé d’agressions sexuelles et incarcéré

    Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2020

    Accusé d’agressions sexuelles, un médecin en poste aux urgences de l’hôpital Joseph-Ducoing a été mis en examen et placé en détention à Toulouse (Haute-Garonne). Une étape importante après une enquête de la sûreté départementale qui n’est pas bouclée. Les auditions de ses collègues décriraient un individu au comportement très particulier, évoquant beaucoup les préceptes de l’islam, facilement agressif avec les femmes dans ses paroles mais également dans ses gestes.

    Pendant plusieurs semaines, les enquêteurs de la brigade de protection des familles ont essayé de comprendre les accusations formulées par les victimes. Le médecin avait été entendu avant l’été par les policiers de la sûreté départementale et avait rejeté en bloc les accusations.  […]

    La Dépêche via fdesouche