Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeunes - Page 3

  • L’Union (31) : “C’était totalement gratuit”, raconte Gérard, 65 ans, roué de coups par quatre jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 05 août 2022

    Alors qu’il rentrait chez lui en voiture dans la nuit de vendredi à samedi, à L’Union (11 800 hab.) en Haute-Garonne, Gérard, un retraité, a été agressé par quatre personnes à scooter. Sans raison.

    « Je m’en veux de ne pas avoir senti le vent venir… » Victime d’une agression aussi violente que gratuite, dans la nuit de vendredi à samedi, à L’Union, au nord de Toulouse, Gérard, 65 ans, a des regrets. Pourtant, attaqué par quatre personnes, il ne pouvait rien faire.

    « Je rentrais chez moi en voiture après ma tournée pour nourrir les chats errants. Il devait être minuit, détaille le retraité. Au rond-point de l’Autan, j’ai entendu râler derrière moi. J’ai vu un scooter avec deux personnes. Il était arrivé sur ma gauche, je ne l’avais pas vu car il n’avait pas de lumière et l’éclairage public était éteint à cette heure-là. Je suis sorti de ma voiture pour lui dire qu’il roulait sans lumière. » […]

    La Dépêche via fdesouche

  • Vaulx-en-Velin (69) : l’OL et Adidas rénovent le terrain multisports du quartier, des jeunes l’incendient la veille de l’inauguration

    Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2022

    Mais des jeunes du quartier Vernay-Verchères de Vaulx-en-Velin n’ont eu que faire de ces montants. Dans la nuit de mercredi à jeudi, ils ont ravagé le terrain multisports qui avait été rénové par OL Fondation et Adidas. L’inauguration avec les élus vaudais devait avoir lieu ce vendredi, elle a évidemment été annulée à la dernière minute.

    Selon le Progrès, un incendie a été réalisé près d’une cage de football, mettant le feu à ses filets. Des tags ont aussi été réalisés au sol.

    Les dégâts ne sont pas trop importants mais retarderont l’ouverture du playground aux habitants du quartier.

    Lyon Mag via fdesouche

  • Les Mureaux (78) : Jocelyne, 68 ans, s’est fait agresser en rentrant chez elle par deux jeunes qui l’ont étranglée puis dépouillée. “J’ai eu très peur”

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2022

    Mercredi 29 juin, alors qu’elle rentrait chez elle dans le centre-ville des Mureaux, Jocelyne C. s’est fait agresser par deux jeunes gens qui l’ont étranglée avant de lui arracher son collier.

    « J’ai eu très peur ». Alors qu’elle rentrait chez elle ce mercredi 29 juin, un peu après midi, Jocelyne C. s’est fait arracher son collier devant son immeuble, en plein centre-ville, a-t-on appris de source policière. « J’y tenais beaucoup, c’était un cadeau de mes filles. Ça fait 30 ans que je l’avais » indique-t-elle à Valeurs actuelles, en parlant de ce collier, un bijou simplement « plaqué or ». Ses agresseurs, deux « grands blacks, minces », âgés d’environ 17 à 18 ans, selon la victime, ont pris la fuite après leur méfait. « L’un m’a serré au cou, l’autre m’a arraché mon collier » indique Jocyline C., qui n’a heureusement pas été blessée. Elle a porté plainte ce jeudi au commissariat des Mureaux et présenté une photo de son collier aux policiers, qui ont également prélevé les empreintes présentes sur son cou, les agresseurs ne portant pas de gants.

    (…) Quelques jours plus tôt, à la gare des Mureaux, un couple de sourds-muets s’était fait lui aussi agressé lors d’un vol à l’arraché. La police avait pu interpeller l’agresseur ainsi qu’un de ses complices, tous deux originaires du Maghreb et en situation irrégulière sur le territoire français.

    Valeurs via fdesouche

  • L’idéologie du genre détruit des jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    L’idéologie du genre détruit des jeunesL’idéologie du genre détruit des jeunes

    Alors que les demandes de changement de sexe chez les mineurs sont en très forte augmentation en France, l’Académie de médecine alerte sur le

    «nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant “détransitionner”» .

    Elle a appelé fin février à une «grande prudence médicale» chez l’enfant et l’adolescent,

    « compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles» .

    Ypomoni, un collectif de parents qui milite «pour une approche éthique des questions de genre» rapporte

    «des histoires qui se ressemblent toutes: ados harcelés, agressés sexuellement, haut potentiel intellectuel (HPI), autistes, consultations expédiées, certificats de complaisance…»

    Inquiétant phénomène d’embrigadement : les cas d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes qui pensent ne pas être «nés dans le bon genre» et veulent changer de sexe se sont multipliés ces dernières années. En mai, le suicide d’un élève transgenre de 15 ans dans son lycée a suscité l’émotion. C’est une épidémie de suicides. Chez les adultes, le nombre de personnes prises en charge médicalement (admises en affection longue durée) pour transidentité a été multiplié par dix en dix ans, pour atteindre environ 9000 personnes en 2020, selon des chiffres de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam).

    «Isolées de la vie réelle, des jeunes filles se sont convaincues en ligne, en quelques semaines, qu’elles étaient des garçons. Des adolescentes m’ont raconté qu’elles étaient en permanence connectées à des forums de communautés trans qui jouent sur la victimisation. Elles avaient l’impression de rejoindre le camp du bien, des opprimés, et se voyaient acclamées quand elles se déclaraient non-binaires».

    Même constat pour l’association SOS Éducation :

    L’emprise des idéologies militantes trans-affirmatives fait croire à de plus en plus de jeunes en questionnement que le changement de sexe est la seule solution pour échapper à la souffrance identitaire qu’ils traversent.

    Aveuglés par les réseaux sociaux, pris dans les mailles d’un dispositif associatif sectaire, le risque est qu’ils s’engagent, en marge de leur famille, mais adoubés à l’école, dans des transitions irréversibles. Les pays qui ont pratiqué ces expériences sur des enfants font marche arrière face aux vies brisées. Pourquoi l’Éducation nationale n’en tient-elle pas compte?

    Passé la période de l’adolescence, un certain nombre de ces jeunes se rendent compte qu’ils ont fait fausse route ; mais c’est une démarche très difficile de revenir en arrière.

     

    Source : lesalonbeige

  • En France, 5% des jeunes de 16 ans sont illettrés : “L’illettrisme est aussi le fait d’une origine sociale, d’une culture, d’un rapport à l’écrit et d’une aisance à l’oral”

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2022

    Ils ont 16 ans, sont Français, mais parviennent difficilement à lire un texte de plusieurs lignes en entier. En France, le nombre de jeunes en situation d’illettrisme est important : environ 35000, soit 5% de cette classe d’âge. Une estimation inquiétante, publiée dans le récent rapport de l’Inspection générale de l’éducation, organe dépendant du ministère de l’Éducation nationale, qui établit aussi qu’environ un jeune sur dix éprouverait de «fortes difficultés en lecture».

    (…) Des données préoccupantes, mais «constantes depuis la fin des années 80», estime Claude Lelièvre, historien de l’Éducation. «Depuis que l’illettrisme est évalué en France, les chiffres sont les mêmes : 80% de lecteurs satisfaisants, 15% en difficulté et 5% qui totalement hors champ», selon le spécialiste. Une stabilité «à la fois désolante et rassurante : on ne progresse pas mais on ne se dirige pas vers un trou noir», poursuit-il.

    (…) «Ces disparités persistantes sur un même territoire prouvent bien une chose : l’illettrisme n’est pas uniquement dû aux méthodes d’enseignement, puisqu’elles fonctionnent très bien dans certaines régions et moins bien dans d’autres», observe Claude Lelièvre.

    Selon l’historien, pour parvenir à diminuer ces «irréductibles 5%», il est indispensable de comprendre que l’illettrisme est aussi le fait «d’une origine sociale, d’une culture, d’un rapport à l’écrit et d’une aisance à l’oral».

    (…) Le Figaro via fdesouche