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jeunes - Page 4

  • Les Mureaux (78) : Jocelyne, 68 ans, s’est fait agresser en rentrant chez elle par deux jeunes qui l’ont étranglée puis dépouillée. “J’ai eu très peur”

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2022

    Mercredi 29 juin, alors qu’elle rentrait chez elle dans le centre-ville des Mureaux, Jocelyne C. s’est fait agresser par deux jeunes gens qui l’ont étranglée avant de lui arracher son collier.

    « J’ai eu très peur ». Alors qu’elle rentrait chez elle ce mercredi 29 juin, un peu après midi, Jocelyne C. s’est fait arracher son collier devant son immeuble, en plein centre-ville, a-t-on appris de source policière. « J’y tenais beaucoup, c’était un cadeau de mes filles. Ça fait 30 ans que je l’avais » indique-t-elle à Valeurs actuelles, en parlant de ce collier, un bijou simplement « plaqué or ». Ses agresseurs, deux « grands blacks, minces », âgés d’environ 17 à 18 ans, selon la victime, ont pris la fuite après leur méfait. « L’un m’a serré au cou, l’autre m’a arraché mon collier » indique Jocyline C., qui n’a heureusement pas été blessée. Elle a porté plainte ce jeudi au commissariat des Mureaux et présenté une photo de son collier aux policiers, qui ont également prélevé les empreintes présentes sur son cou, les agresseurs ne portant pas de gants.

    (…) Quelques jours plus tôt, à la gare des Mureaux, un couple de sourds-muets s’était fait lui aussi agressé lors d’un vol à l’arraché. La police avait pu interpeller l’agresseur ainsi qu’un de ses complices, tous deux originaires du Maghreb et en situation irrégulière sur le territoire français.

    Valeurs via fdesouche

  • L’idéologie du genre détruit des jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    L’idéologie du genre détruit des jeunesL’idéologie du genre détruit des jeunes

    Alors que les demandes de changement de sexe chez les mineurs sont en très forte augmentation en France, l’Académie de médecine alerte sur le

    «nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant “détransitionner”» .

    Elle a appelé fin février à une «grande prudence médicale» chez l’enfant et l’adolescent,

    « compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles» .

    Ypomoni, un collectif de parents qui milite «pour une approche éthique des questions de genre» rapporte

    «des histoires qui se ressemblent toutes: ados harcelés, agressés sexuellement, haut potentiel intellectuel (HPI), autistes, consultations expédiées, certificats de complaisance…»

    Inquiétant phénomène d’embrigadement : les cas d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes qui pensent ne pas être «nés dans le bon genre» et veulent changer de sexe se sont multipliés ces dernières années. En mai, le suicide d’un élève transgenre de 15 ans dans son lycée a suscité l’émotion. C’est une épidémie de suicides. Chez les adultes, le nombre de personnes prises en charge médicalement (admises en affection longue durée) pour transidentité a été multiplié par dix en dix ans, pour atteindre environ 9000 personnes en 2020, selon des chiffres de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam).

    «Isolées de la vie réelle, des jeunes filles se sont convaincues en ligne, en quelques semaines, qu’elles étaient des garçons. Des adolescentes m’ont raconté qu’elles étaient en permanence connectées à des forums de communautés trans qui jouent sur la victimisation. Elles avaient l’impression de rejoindre le camp du bien, des opprimés, et se voyaient acclamées quand elles se déclaraient non-binaires».

    Même constat pour l’association SOS Éducation :

    L’emprise des idéologies militantes trans-affirmatives fait croire à de plus en plus de jeunes en questionnement que le changement de sexe est la seule solution pour échapper à la souffrance identitaire qu’ils traversent.

    Aveuglés par les réseaux sociaux, pris dans les mailles d’un dispositif associatif sectaire, le risque est qu’ils s’engagent, en marge de leur famille, mais adoubés à l’école, dans des transitions irréversibles. Les pays qui ont pratiqué ces expériences sur des enfants font marche arrière face aux vies brisées. Pourquoi l’Éducation nationale n’en tient-elle pas compte?

    Passé la période de l’adolescence, un certain nombre de ces jeunes se rendent compte qu’ils ont fait fausse route ; mais c’est une démarche très difficile de revenir en arrière.

     

    Source : lesalonbeige

  • En France, 5% des jeunes de 16 ans sont illettrés : “L’illettrisme est aussi le fait d’une origine sociale, d’une culture, d’un rapport à l’écrit et d’une aisance à l’oral”

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2022

    Ils ont 16 ans, sont Français, mais parviennent difficilement à lire un texte de plusieurs lignes en entier. En France, le nombre de jeunes en situation d’illettrisme est important : environ 35000, soit 5% de cette classe d’âge. Une estimation inquiétante, publiée dans le récent rapport de l’Inspection générale de l’éducation, organe dépendant du ministère de l’Éducation nationale, qui établit aussi qu’environ un jeune sur dix éprouverait de «fortes difficultés en lecture».

    (…) Des données préoccupantes, mais «constantes depuis la fin des années 80», estime Claude Lelièvre, historien de l’Éducation. «Depuis que l’illettrisme est évalué en France, les chiffres sont les mêmes : 80% de lecteurs satisfaisants, 15% en difficulté et 5% qui totalement hors champ», selon le spécialiste. Une stabilité «à la fois désolante et rassurante : on ne progresse pas mais on ne se dirige pas vers un trou noir», poursuit-il.

    (…) «Ces disparités persistantes sur un même territoire prouvent bien une chose : l’illettrisme n’est pas uniquement dû aux méthodes d’enseignement, puisqu’elles fonctionnent très bien dans certaines régions et moins bien dans d’autres», observe Claude Lelièvre.

    Selon l’historien, pour parvenir à diminuer ces «irréductibles 5%», il est indispensable de comprendre que l’illettrisme est aussi le fait «d’une origine sociale, d’une culture, d’un rapport à l’écrit et d’une aisance à l’oral».

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Saint-Pargoire (34) : Pauline et Laurent, deux restaurateurs, tabassés en pleine rue par une vingtaine de “jeunes”, qui les harcelaient depuis longtemps. “On pensait ce village tranquille. En fait, on vit l’enfer depuis 2 ans”

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2022

    Depuis l’ouverture de leur restaurant il y a deux ans, les jeunes gérants du Cocagne à Saint-Pargoire (Hérault) se sentent harcelés par une bande du village. Vendredi, ils ont été violemment agressés. Sous le choc, ils n’ont pas pu rouvrir l’établissement et en appellent à la mairie.

    Il y a deux ans, Pauline Varalda, 28 ans et Laurent Cipriano 38 ans investissent leurs économies pour racheter le snack de Saint-Pargoire (près de Pézenas, Hérault). Ils transforment l’établissement en bar restaurant pizzeria et font un peu “le ménage”. Finis les petits trafics, le Cocagne devient un restaurant familial. 

    Une mutation qui ne semble pas plaire à tout le monde. Depuis deux ans, le jeune couple de gérants se sent harcelé, régulièrement insulté dans la rue. Des signalements ont été faits à plusieurs reprises à la gendarmerie et à la mairie.

    “On leur a demandé à cinq reprises d’aller jouer plus loin.”

    Vendredi soir, la situation a dégénéré. Une vingtaine de personnes ont privatisé la rue (sans aucune autorisation) pour la transformer en terrain de foot improvisé. Résultat, les ballons atterrissent régulièrement sur les tables des clients. “On avait clairement l’impression que les cages de foot étaient nos tables et notre terrasse, donc les clients prenaient les ballons, des verres ont été renversés” explique Pauline

    (…) Et brusquement après avoir servi leurs derniers clients, un des jeunes avec lequel ils avaient déjà eu maille à partir, donne une violente gifle au jeune gérant qui s’écroule. Puis c’est Pauline qui prend des coups à son tour. “Laurent s’est levé et on s’est rapidement retrouvé tabassé par 20 jeunes de la rue.”

    (…) Le jeune couple a passé la nuit de vendredi à samedi à l’hôpital, 6 jours d’ITT pour lui, 4 pour elle. Mais les constatations médicales ne font que commencer. “Mon compagnon n’y voit presque plus d’un oeil et il a le visage complètement violet. Des entorses au genou, les cervicales et les lombaires qui sont très douloureuses, des maux de tête tous les deux” 

    (…) Aujourd’hui, Pauline et Laurent sont incapables de travailler, complètement angoissés. “On est retourné deux fois chez nous en passant devant cette même bande de jeunes qui continuent à boire dans la rue et qui nous regardent comme s’ils allaient nous tuer. C’est complètement décourageant. On a monté cette structure avec mon compagnon, avec le peu d’économie qu’on avait pour démarrer dans la vie et se créer un confort de travail et un confort de vie dans un village qu’on pensait tranquille. Et en fait, on vit l’enfer depuis deux ans.” 

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Cahors (46) : un lycéen de 17 ans gravement blessé au couteau à la sortie de son établissement par 4 jeunes déjà connus de la police

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2022

    Un lycéen et son grand frère ont été agressés à la sortie du lycée Clément Marot, mardi 29 mars. Des armes blanches étaient mêlées aux coups. Les auteurs des faits ont été interpellés.

    Une rixe a éclaté, mardi 29 mars, devant le lycée Clément Marot. Vers 16 heures, quatre jeunes sont venus tabasser un élève, âgé de 17 ans, de l’établissement. Il était accompagné de son grand frère, venu le chercher à la sortie. Les agresseurs, deux anciens de l’établissement exclus quelque temps auparavant et deux toujours scolarisés là-bas, ont sorti des couteaux. L’une des victimes a été blessée au cou. “Cela aurait pu être très grave”, assure le commissaire divisionnaire Patrick Meynier, directeur départemental de la sécurité publique du Lot. Les deux jeunes ont été transportés à l’hôpital, et ont reçu plusieurs jours d’ITT (incapacité temporaire de travail).

    Cette rixe, d’une “violence spectaculaire” selon le commissaire, a créé de l’inquiétude et de l’insécurité au sein de l’établissement cadurcien mais aussi dans le quartier. Avant l’arrivée de la police nationale, les auteurs ont pris la poudre d’escampette. Le dossier a été pris très au sérieux et placé en “priorité absolue”. Les enquêteurs de la sûreté ont été mobilisés, ainsi que certains agents de la police scientifique.

    (…) Les quatre auteurs sont connus des services de police, déjà pour des affaires de violence. “Ce sont des mini-terreurs qui jouent au caïd dans la rue”, regrette le commissaire. Il va plus loin : “c’est un gaspillage de réflexion et de talent. Ils ont tâché leur avenir professionnel”.

    La Dépêche via fdesouche