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jeunes - Page 4

  • Saint-Pargoire (34) : Pauline et Laurent, deux restaurateurs, tabassés en pleine rue par une vingtaine de “jeunes”, qui les harcelaient depuis longtemps. “On pensait ce village tranquille. En fait, on vit l’enfer depuis 2 ans”

    Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2022

    Depuis l’ouverture de leur restaurant il y a deux ans, les jeunes gérants du Cocagne à Saint-Pargoire (Hérault) se sentent harcelés par une bande du village. Vendredi, ils ont été violemment agressés. Sous le choc, ils n’ont pas pu rouvrir l’établissement et en appellent à la mairie.

    Il y a deux ans, Pauline Varalda, 28 ans et Laurent Cipriano 38 ans investissent leurs économies pour racheter le snack de Saint-Pargoire (près de Pézenas, Hérault). Ils transforment l’établissement en bar restaurant pizzeria et font un peu “le ménage”. Finis les petits trafics, le Cocagne devient un restaurant familial. 

    Une mutation qui ne semble pas plaire à tout le monde. Depuis deux ans, le jeune couple de gérants se sent harcelé, régulièrement insulté dans la rue. Des signalements ont été faits à plusieurs reprises à la gendarmerie et à la mairie.

    “On leur a demandé à cinq reprises d’aller jouer plus loin.”

    Vendredi soir, la situation a dégénéré. Une vingtaine de personnes ont privatisé la rue (sans aucune autorisation) pour la transformer en terrain de foot improvisé. Résultat, les ballons atterrissent régulièrement sur les tables des clients. “On avait clairement l’impression que les cages de foot étaient nos tables et notre terrasse, donc les clients prenaient les ballons, des verres ont été renversés” explique Pauline

    (…) Et brusquement après avoir servi leurs derniers clients, un des jeunes avec lequel ils avaient déjà eu maille à partir, donne une violente gifle au jeune gérant qui s’écroule. Puis c’est Pauline qui prend des coups à son tour. “Laurent s’est levé et on s’est rapidement retrouvé tabassé par 20 jeunes de la rue.”

    (…) Le jeune couple a passé la nuit de vendredi à samedi à l’hôpital, 6 jours d’ITT pour lui, 4 pour elle. Mais les constatations médicales ne font que commencer. “Mon compagnon n’y voit presque plus d’un oeil et il a le visage complètement violet. Des entorses au genou, les cervicales et les lombaires qui sont très douloureuses, des maux de tête tous les deux” 

    (…) Aujourd’hui, Pauline et Laurent sont incapables de travailler, complètement angoissés. “On est retourné deux fois chez nous en passant devant cette même bande de jeunes qui continuent à boire dans la rue et qui nous regardent comme s’ils allaient nous tuer. C’est complètement décourageant. On a monté cette structure avec mon compagnon, avec le peu d’économie qu’on avait pour démarrer dans la vie et se créer un confort de travail et un confort de vie dans un village qu’on pensait tranquille. Et en fait, on vit l’enfer depuis deux ans.” 

    (…) France Bleu via fdesouche

  • Cahors (46) : un lycéen de 17 ans gravement blessé au couteau à la sortie de son établissement par 4 jeunes déjà connus de la police

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2022

    Un lycéen et son grand frère ont été agressés à la sortie du lycée Clément Marot, mardi 29 mars. Des armes blanches étaient mêlées aux coups. Les auteurs des faits ont été interpellés.

    Une rixe a éclaté, mardi 29 mars, devant le lycée Clément Marot. Vers 16 heures, quatre jeunes sont venus tabasser un élève, âgé de 17 ans, de l’établissement. Il était accompagné de son grand frère, venu le chercher à la sortie. Les agresseurs, deux anciens de l’établissement exclus quelque temps auparavant et deux toujours scolarisés là-bas, ont sorti des couteaux. L’une des victimes a été blessée au cou. “Cela aurait pu être très grave”, assure le commissaire divisionnaire Patrick Meynier, directeur départemental de la sécurité publique du Lot. Les deux jeunes ont été transportés à l’hôpital, et ont reçu plusieurs jours d’ITT (incapacité temporaire de travail).

    Cette rixe, d’une “violence spectaculaire” selon le commissaire, a créé de l’inquiétude et de l’insécurité au sein de l’établissement cadurcien mais aussi dans le quartier. Avant l’arrivée de la police nationale, les auteurs ont pris la poudre d’escampette. Le dossier a été pris très au sérieux et placé en “priorité absolue”. Les enquêteurs de la sûreté ont été mobilisés, ainsi que certains agents de la police scientifique.

    (…) Les quatre auteurs sont connus des services de police, déjà pour des affaires de violence. “Ce sont des mini-terreurs qui jouent au caïd dans la rue”, regrette le commissaire. Il va plus loin : “c’est un gaspillage de réflexion et de talent. Ils ont tâché leur avenir professionnel”.

    La Dépêche via fdesouche

  • Bordeaux : victime d’un accident, une femme de 58 ans est secourue par un groupe de jeunes, qui finissent par… la dépouiller de son téléphone portable

    Publié par Guy Jovelin le 27 février 2022

    Deux jeunes ont été arrêtés. Ils ont été présentés ce samedi 26 février au parquet et devraient être jugés lundi dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate

    Une voiture qui la frôle ? Un cycliste qui la dépasse à vive allure ? Elle s’est fait peur et a donné un coup de guidon. Jeudi 24 février, vers 19 h 30, une cycliste de 58 ans a chuté de son vélo, place Bir-Hakeim à Bordeaux.

    Rapidement un groupe de jeunes a accouru pour lui porter secours, l’aider à se relever et… a dérobé son téléphone portable.

    Désignés par des témoins de la scène, deux jeunes de 26 et 29 ans ont été interpellés quelques instants plus tard cours Victor-Hugo. Ils ont été placés en garde à vue pour vol en réunion. Ils ont été déférés samedi matin et devraient être jugés dès lundi dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Nîmes : 20 à 30 jeunes encerclent et caillassent une patrouille de police en criant “On est chez nous, on est chez nous !”

    Publié par Guy Jovelin le 25 février 2022

    Mercredi soir vers 18h50, un groupe de jeunes a empêché une patrouille de la police nationale de dresser une contravention à hauteur de la place De-Lattre-de-Tassigny au quartier du Chemin-Bas d’Avignon, à Nîmes.

    Alors que les policiers étaient à l’arrêt devant un véhicule garé sur un trottoir, des jeunes sont venus à la rencontre des policiers pour un évènement tendu de plusieurs minutes. Les jeunes criaient : « On est chez nous, on est chez nous, et ils voulaient faire reculer la police« , indique une source syndicale policière.

    Des renforts de la police nationale, mais aussi de la municipale, ont été immédiatement envoyés sur place où la situation est devenue de plus en plus délicate puisque 20 à 30 jeunes encerclaient la voiture de police. Les policiers ont été obligés d’utiliser la bombe lacrymogène pour tenir les personnes à distance. Jets de pierres sur la voiture de police, puis sur les forces de l’ordre, avant que les renforts ne parviennent à faire reculer le groupe. Un adolescent de 15 ans a été interpellé et l’enquête pour « violence sur personne dépositaire de l’autorité publique » se poursuit.

    Objectif Gard via fdesouche

  • Cannes (06) : des jeunes “s’amusent à tirer sur des passants” avec une carabine à plomb, plusieurs blessés

    Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2021

     

    Plusieurs adolescents se sont « amusés » à tirer sur des passants avec une carabine à plombs à Cannes (Alpes-Maritimes), ce vendredi soir. Les policiers ont fini par interpeller le tireur et ses complices au premier étage d’un immeuble. Ils ont été placés en garde à vue. Trois victimes se sont déjà signalées.

    Une femme a alerté la police vers 20h30 ce vendredi soir. Elle se trouvait sur le boulevard Carnot à Cannes, lorsqu’elle a été touché par un projectile à la main et au tibia raconte Nice-Matin. Plusieurs équipages de police, de la police-secours et de la brigade anticriminalité (BAC), se sont lancés à la recherche de l’auteur des faits.

    C’est un riverain qui l’a repéré quelques heurs plus tard, au premier étage d’un bâtiment situé sur ce même boulevard. Vers 00h30, les forces de l’ordre ont frappé à la porte de l’appartement et ont interpellé trois jeunes hommes de 17 à 18 ans qui ont été placés en garde à vue pour violences avec arme en réunion. L’un est passé aux aveux.

    (…) Actu 17 via fdesouche