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jeunes - Page 5

  • Argenteuil (95) : une trentaine de jeunes d’environ 13 ou 14 ans ont tenté de mettre le feu au poste de police, aucune interpellation

    Publié par Guy Jovelin le 03 novembre 2021

    Ils ont pris pour cible un lieu symbolique de l’autorité. Entre 20 et 30 jeunes vêtus en noir ont tenté de mettre le feu au poste de police de la dalle d’Argenteuil alors qu’il était inoccupé, lundi soir. Âgés d’environ 13 ou 14 ans, ils ont placé une poubelle devant la façade de l’immeuble et y ont mis le feu dans la soirée. Ils ont également lancé des projectiles contre le bâtiment et endommagé des fenêtres au premier étage. Ces dernières ne correspondant pas aux locaux de la police mais à ceux de l’antenne sociale du conseil départemental qui compte notamment un centre de protection maternelle et infantile.

    Le feu a seulement noirci le rideau de fer du poste de police. Les jeunes ont été dispersés un temps grâce à l’intervention de médiateurs. La police est intervenue plus tard et a essuyé quelques tirs de mortiers

    Certains des fauteurs de troubles se préparaient à les recevoir en prévoyant de lancer des projectiles depuis la place de la Commune-de-Paris sur des véhicules qui sortaient de sous la dalle, rue Jean-Lurçat. Une vingtaine de policiers du secteur, appuyés par une soixantaine de CRS venus de l’Essonne, sont intervenus. Les auteurs des dégradations se sont rapidement enfuis. Aucune interpellation n’a eu lieu. Deux véhicules ont été incendiés allée Beethoven, mais il n’est pas établi que cela avait un rapport avec les dégradations du poste de police.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Vaccin COVID-19 : Où est le principe de précaution pour les plus jeunes ?

    Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2021

    Vaccin COVID-19 : Où est le principe de précaution pour les plus jeunes ?

    Communiqué d’Emmanuel Sapin, chirurgien pédiatre :

    Chirurgien pédiatre dans un hôpital d’enfants, le Professeur Emmanuel Sapin a estimé qu’il était de sa responsabilité de faire part à la Défenseure des droits et au Défenseur des enfants, de sa vive inquiétude devant l’extension du passe sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022, entériné par l’Assemblée nationale le 20 octobre dernier.

    L’obligation du passe sanitaire imposée depuis la fin du mois de septembre aux enfants de 12 à 17 ans, et étendue dans le projet de loi “portant diverses dispositions de vigilance sanitaire” les prive de toute possibilité d’activité sportive ou culturelle et de droit à la vie familiale, sauf pour eux à se faire vacciner.

    Or les vaccins COVID-19 font courir aux enfants des risques, certes peu fréquents, mais de complications graves.

    Comme tout médecin, le Professeur Sapin considère la découverte des vaccins comme un progrès indéniable de la médecine et leur pratique a évité, en particulier pour les enfants, des drames que les générations précédentes ont connus.

    Mais le SARS-Cov-2 responsable de la COVID-19 n’est pour lui pas comparable aux affections qui touchent gravement les enfants. Et les vaccins COVID-19 ne sont pas anodins. Au 30 septembre 2021, 356 enfants vaccinés ont présenté ensuite des effets secondaires graves. Ce sont 356 enfants qui n’auraient probablement jamais été malades même s’ils avaient contracté la COVID-19.

    Le Professeur estime qu’on ne peut infliger un tel risque à une population indemne, même si le but était de protéger les plus âgés. Or, cela même s’avère erroné puisque la vaccination n’éradique pas la contagiosité.

    Compte-tenu de la discordance entre le bénéfice attendu et le risque déjà réellement encouru, et les séquelles possibles au long cours, car inconnues à ce jour, le principe de précaution ne devrait-il pas contre-indiquer cette vaccination des plus jeunes et supprimer pour eux l’obligation du passe sanitaire ?

    Les Défenseurs des droits et des enfants qui, dans plusieurs communications ont fait part d’objections contre le passe sanitaire, interpelleront-ils une nouvelle fois le Chef de l’Etat et son Gouvernement ? Seront-ils entendus ?

     
    Source : lesalonbeige
  • Bruxelles : Deux agents de quartier encerclés et pris à partie par une trentaine de jeunes. « Ici, c’est chez nous, c’est nous qui gérons la cité ! »

    Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2021

  • Le PDG de Moderna affirme que même les plus jeunes devront recevoir des rappels de vaccins pendant une durée indéterminée

    Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2021

     

    Le PDG du géant pharmaceutique Moderna affirme que même les plus jeunes devront se faire vacciner au moins une fois tous les trois ans, ce qui signifie qu’une société à deux vitesses qui punit les non-vaccinés pourrait rester en place indéfiniment.

    Selon Stéphane Bancel, la pandémie se poursuivra pendant encore au moins un an, après quoi il y aura suffisamment de doses de vaccin “pour que tout le monde sur cette Terre puisse être vacciné”.

    “Ceux qui ne se font pas vacciner s’immuniseront naturellement car la variante Delta est très contagieuse”, a déclaré M. Bancel, tout en affirmant que ces personnes tomberont quand même malades.

    “Vous pouvez soit vous faire vacciner et passer un bon hiver. Soit vous ne le faites pas et vous risquez de tomber malade et peut-être même de finir à l’hôpital”, a déclaré le PDG de Moderna.

    M. Bancel affirme que la vie reviendra à la normale “dans un an”, mais que cela dépendra du fait que les gens continueront à recevoir régulièrement des injections de rappel de COVID-19.

    Le PDG a déclaré que les personnes âgées et vulnérables auraient “sans aucun doute” besoin d’une injection de rappel au moins une fois par an, tandis que même les personnes plus jeunes qui ont un risque infinitésimal de mourir du virus auront besoin de rappels tous les trois ans.

    Israël a déjà fait savoir que les passeports de vaccination contiendront la preuve obligatoire qu’une personne a reçu des rappels.

    Cela signifie que ceux qui espèrent survivre à la pandémie sans être vaccinés, et retrouver toutes leurs libertés l’année prochaine, risquent en fait de se retrouver dans un état policier permanent qui les maintiendra de facto enfermés pour toujours.

    Ceux qui, pour quelque raison que ce soit, refusent de se faire vacciner seront également victimes de discriminations lorsqu’il s’agira de voyager et de mener des activités de base dans de nombreux pays.

    Malgré l’insistance de Bancel sur le fait que la planète entière sera vaccinée d’ici un an, selon Amnesty International, “Moderna n’a pas encore livré une seule dose de vaccin à un pays à faible revenu.”

    Source : summit.news

    Traduction : lesmoutonsrebelles

  • Nouvelle alloc pour les 1,5 million de jeunes « ni en études ni en emploi ni en formation ».

     

     

     

    C’était l’un des points forts d’Emmanuel  dans son allocution du 12 juillet 2021. À la veille d’une fête nationale pluvieuse et « covidienne », le chef de l’État annonçait une nouvelle grande réforme dans son quinquennat expirant : « Je présenterai à la rentrée le “revenu d’engagement” pour les jeunes, qui concernera les jeunes sans emploi ou formation et sera fondé sur une logique de devoirs et de droits. 

    J’entends d’ici des sceptiques qui ricanent…

    Dans le nouveau vocabulaire de la start-up nation, ce revenu d’engagement s’adresse aux « NEETs », les « Not in Education, Employment or Training ». Parler globish, c’est toujours plus classieux que le français des bouseux. Et puis, il faut bien trouver un moyen de travestir ce qui existe déjà, à savoir la Garantie jeunes pour les 16/25 ans « ni en études ni en emploi ni en formation », généralisée depuis 2015.

    Celle-ci demandait aux jeunes de suivre « un parcours d’insertion en mission locale ». Trop difficile d’accès, disait le ministre Élisabeth Borne à L’Etudiant, en juillet dernier, pointant « ceux qui sont les plus éloignés de l’emploi et qui ne viennent pas spontanément dans les dispositifs ». Elle s’interrogeait : « Comment trouver la bonne façon de ramener ceux qui ne sont pas forcément capables de franchir d’emblée la marche de l’exigence de la Garantie jeunes ? »

    Il semble que le gouvernement ait trouvé la solution avec le revenu d’engagement.

    Août tirant à sa fin, on ne devrait plus tarder à connaître les modalités de cette nouvelle pompe à fric, et c’est à elle que Nicolas Beytout, directeur du journal L’Opinion, consacrait, le 27 août, sa chronique sur Europe 1.

    Quid novi ?, demandaient les Anciens qui s’y connaissaient déjà en ficelles politiques. Cette fois, il s’agit d’un « engagement réciproque. Le jeune s’engage à effectuer un parcours qui doit l’amener aux portes du marché du travail, et en échange, il reçoit une aide de près de 500 euros par mois. » Et « cette réforme, si toutefois Emmanuel Macron arrive à la valoriser politiquement, ce sera un moment important du quinquennat », assure Monsieur Beytout.

    Eh oui, car ça n’est pas gagné pour un Emmanuel Macron envers qui les Français sont ingrats. Il lui faut donc montrer qu’il a gardé l’esprit réformateur de son début de mandat et, surtout, « convaincre que ce revenu d’engagement coche la case sociale », histoire de prendre de vitesse « la gauche qui demande depuis des années la création d’un RSA jeunes pour les moins de 25 ans .

    En plus du risque politique – la ficelle est tout de même grosse, à six mois des élections –, le gouvernement prend celui « que ce soit juste une aide sociale de plus, une ligne de plus dans un interminable catalogue d’allocations et de subsides publics ». Et Nicolas Beytout d’énumérer : « Rappelons-nous le RMI qui devait faciliter l’insertion, le RSA qui devait faciliter l’activité… ça n’a que très mal fonctionné. C’est d’ailleurs jusque-là l’argument qu’opposait Emmanuel Macron à toutes les demandes de RSA jeune et autres nouvelles aides pour les moins de 25 ans ».

    On continue d’empiler les cautères sur une jambe de bois… Car la France détient là aussi un triste record. Nous sommes l’un des pays d’Europe où la proportion des fameux « NEETs » est la plus élevée : près de 14 % des moins de 25 ans, soit 1,5 million de personnes « ni en étude, ni en emploi ni en formation ».

    On ne dira évidemment pas combien, parmi eux, sont immigrés ou issus de l’immigration et n’arrivant pas à suivre un cursus scolaire normal…

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne

    Source : https://www.bvoltaire.fr/