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menaces de mort - Page 2

  • Suite à des menaces de mort sur sa famille, Olivier Marchal ne veut plus soutenir publiquement la police

    Publié par Guy de Laferrière le 03 novembre 2022

    Pour Olivier Marchal, la ligne blanche a été franchie… Le réalisateur du polar 36 quai des Orfèvres (2004) se refuse désormais à descendre dans l’arène pour défendre les policiers. Ses prises de position lui ont valu de lourds problèmes personnels, comme il le confie cette semaine dans les colonnes du magazine Voici. « J’ai toujours pris parti, mais, maintenant, je ne le fais plus parce que ce sont mes enfants qui sont menacés de mort », explique-t-il.

    « Quand j’ai pris parti pour les policiers, c’est allé très loin », poursuit-il, sans entrer dans les détails – Olivier Marchal est père de quatre enfants âgés de 13 à 28 ans. « Moi, j’ai fait ma vie, je suis allé au bout de mes rêves. C’est juste que j’ai des enfants et j’ai les jetons pour eux. »

    Il y a deux ans, le cinéaste publiait une tribune, « Larmes de flic », dans laquelle il dénonçait les attaques continuelles envers les policiers, « des types ordinaires, avec des salaires de merde, au service des citoyens, qui continuent de faire leur job dans des conditions lamentables ». Il critiquait notamment les artistes qui « vomissaient » ceux qu’ils « acclamaient » il y a peu encore « parce qu’ils avaient risqué ou donné leur vie pour protéger leur « vie de citoyen privilégié du terrorisme ».

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    Le Point via fdesouche

  • « Je n’ai pas su garder mon calme. Je me suis senti frustré. » : Samy Zhioua, un Lyonnais de 32 ans avec une quinzaine de mentions au casier, justifie les menaces de mort qu’il a proférées à un gendarme lors d’un contrôle routier

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2022

    Lors du contrôle routier, la situation va se tendre lorsque les gendarmes lui passent les menottes pour le ramener dans les locaux de la brigade. « Je me suis senti très frustré ». C’est ainsi que Samy Zhioua, un Lyonnais de 32 ans, justifie les menaces de mort qu’il a proférées à un gendarme lors d’un contrôle routier.

    […]

     

    Des menaces de mort à un gendarme

    Lors du contrôle routier, la situation va se tendre lorsque les gendarmes lui passent les menottes pour le ramener dans les locaux de la brigade d’Heyrieux. « Je n’ai pas su garder mon calme », reconnaît-il. À l’un des gendarmes, il a déclaré : « Je vais te prendre ton calibre et te tirer une balle dans la tête ». Des insultes lui sont également reprochées. « C’était contre moi-même », précise le prévenu, au casier chargé d’une quinzaine de mentions.

    Il a écopé d’une peine de sept mois d’emprisonnement. Qu’il a commencé à purger dès ce lundi 17 octobre dans une cellule de la prison de Saint-Quentin-Fallavier.

    Le Dauphiné via fdesouche

  • « Sur le Coran, je vais t’égorger » : un habitant de Villeurbanne agressé et menacé de mort pour avoir demandé du calme

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2021

    “Nous vivons dans la peur” témoigne la victime.

    Dans la nuit de samedi à dimanche, une tentative d’intimidation s’est déroulée à l’est de Lyon, sur la commune de Villeurbanne. Peu après 3h du matin, le sommeil d’un habitant d’un immeuble du quartier de Croix Luizet a été perturbé par des fêtards installés dans la rue.

    Trois véhicules qui bloquaient les voies de circulation selon le témoin, “ce qui engendrait un concert de klaxons et des cris incessants de la part d’une quinzaine d’individus”. A sa fenêtre, l’homme a demandé aux perturbateurs de faire moins de bruit, ce qui a provoqué leur fureur.

    Le tapage s’est alors transformé en une agression, avec des jets de projectiles en direction de l’appartement du riverain, des menaces de mort et une tentative d’effraction. Les intrus ont ensuite frappé sur les portes d’entrée de l’immeuble tout en hurlant “sur le coran je vais t’égorger”. Les deux vitres ont été étoilées, des impacts ont été relevés sur des volets roulants.

    (…) Lyon Mag via fdesouche

  • Carcassonne : “Je vais te crever les yeux… Je vais te tuer, toi et tes proches…” un ancien athlète marocain condamné pour “menace de mort réitérée”

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2021

    fdesouche

    Carcassonne : “Je vais te crever les yeux… Je vais te tuer, toi et tes proches !”

     

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    L’histoire remonte au samedi 25 septembre à Carcassonne. Ce jour-là, c’est à 16 h 20 que les policiers interviennent sur le secteur de La Conte dans la rue Claude-Perrault, où une automobiliste était bloquée sur la route par son futur ex-concubin. Ils sont en instance de divorce, mais il a visiblement du mal à comprendre la situation. “Je vais te crever les yeux… Je vais te tuer, toi et tes proches…”. Voilà le type de menaces lancées à la figure de cette femme qui souhaite aujourd’hui couper les ponts. “Mes enfants sont des victimes collatérales. Ce n’est pas normal qu’ils aient vécu ça ! Ça fait six mois que je me cache dans des hôtels, mais il arrive toujours à savoir où je suis…”, explique la victime qui bénéficiait d’un téléphone grave danger (TGD).

    Condamné à 4 mois ferme

    Face au tribunal, le prévenu n’a su que dire qu’il regrettait “ce qui était sorti de ma bouche”. En revanche, il a contesté le fait d’avoir pris connaissance de l’ordonnance de protection. Il comprend le Français, l’écrit “avec beaucoup de fautes” et ne sait pas vraiment le lire. Aux intérêts de la victime, présente à l’audience, Me Manon Crochet est revenu sur le sentiment de sa cliente qui “n’en peut plus. Ce qu’elle veut, c’est avoir une vie normale, sans avoir à surveiller s’il n’est pas sur le secteur. Il n’a jamais cessé de la suivre. Ma cliente a envie de ne plus avoir peur de se faire violer, de mourir ou qu’il enlève ses enfants…”

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur L’Indépendant

  • « On s’est fait menacer au téléphone, menacés de mort » : la pharmacie de la Négresse à Biarritz, change de nom

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2021

    La pharmacie “La Négresse” ne s’appellera plus ainsi. Le propriétaire a décidé de changé de nom, une décision que salue l’association “Mémoire et Partages” qui dénonce depuis des années la dénomination du quartier.

    […]

     

    Il y a quinze jours, la pharmacie a fait recouvrir la partie “de la Négresse” de sa devanture. “Et nous allons changer d’ici la fin de l’année” explique Thierry Ramon, propriétaire de la pharmacie depuis 15 ans. “On veut arrêter toutes ces polémiques. On a autre chose à faire que de se battre sur ce nom là”. En effet, le propriétaire de la pharmacie recevait régulièrement des menaces à ce sujet “On s’est fait menacer au téléphone, menacés de mort, je trouve que ça a quand même un petit peu loin, donc  on a décidé de changer”.

    Une décision que salue donc l’association “Mémoire et Partages” qui avait lancé une procédure devant le tribunal administratif de Pau pour faire changer le nom du quartier. Son représentant local Galery Gourret Houssein, se satisfait du changement de nom “En le découvrant, j’étais très content que soient enlevés les mots ridicules de “la Négresse”. Une étape supplémentaire pour le président de l’association basé à Bordeaux, le conseiller régional Karfa Diallo: “Pour nous, ça représente très clairement une évolution qu’il faut lier au réveil de la mémoire de l’esclavage, de la traite des Noirs et de la conscience que nous avons des symboles du racisme sur l’espace public”.

    […]

     

    France Bleu via fdesouche