Publié par Guy de Laferrière le 03 décembre 2023
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Un musulman taré passe à l'acte.
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Les choses ne fonctionnent pas entre Berlin et Paris
Publié par Guy de Laferrière le 05 octobre 2023
Les choses ne fonctionnent pas entre Berlin et Paris, déplore David Mac Allister, un influent eurodéputé allemand.
C'est bien pire que cela : nos ennemis allemands mènent une guerre énergétique à la France. Et une "guerre tous azimuts", tout court : l'Allemagne - qui s'est transformée en 51ème État des États désunis d'Amérique - veut couler EDF, commande des F35 plutôt que des Rafale, lance un projet concurrent du MGCS, choisit SpaceX au détriment d'Ariane et via l'Inde achète du pétrole russe !
Et Macron fait semblant de ne rien voir, parcequ'il rêve de devenir "Président de l'Europe", le pauvre !
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Paris : Anne Hidalgo veut construire des logements sociaux avenue George V, à deux pas des Champs-Elysées
Publié par Guy de Laferrière le 30 septembre 2023
Le luxueux hôtel Prince de Galles est à deux pas, Louis Vuitton et le Fouquet’s à quelques centaines de mètres seulement. La Ville de Paris souhaite céder à Paris Habitat l’immeuble qu’elle possède au 37 de la très chic avenue George V dans le 8ème arrondissement. Ce, en vue d’y voir s’y installer « un équipement de santé, des commerces et des logements dont 70% de logements locatifs sociaux et 30% de logements libres« , indique la mairie dans une délibération qui devrait être présentée lors du prochain conseil de Paris prévu du mardi 3 au vendredi 6 octobre 2023.
L’immeuble situé 37 avenue George V et 14 rue Quentin Bauchart, en pierre de taille, a été édifié en 1880. Il se compose d’un rez-de-chaussée et de 5 étages ainsi que d’une cour intérieure, d’une surface utile de 3 630 m².
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Paris (20ème) : Mehdi menace son maire, force la porte de son bureau et agresse un agent pour avoir un HLM. À la fin de sa garde à vue, il apprend qu’il va pouvoir emménager dans un logement social.
Publié par Guy de Laferrière le 05 septembre 2023
«Tout cramer», «tout péter», «ramener tout le quartier des Fougères». Telles sont les menaces proférées par Mehdi*, gardien d’immeuble sans logement, à la mairie du 20e arrondissement. Une démarche violente visant à faire avancer sa demande de logement social, déposée 4 mois auparavant. Le 29 août dernier, la violence monte encore d’un cran. Ce qui provoque l’ire du quadragénaire? Un appel de la secrétaire du maire assurant qu’il manque un document dans son dossier de demande d’un logement social.
Ce jour-là, un agent municipal est en train de renforcer la sécurité d’une porte dont l’ouverture s’enclenche à l’aide d’un code. Mehdi le pousse et menace de lui fracasser la tête à l’aide de sa béquille. L’agent aura 4 jours d’incapacité totale de travail par la suite. Mehdi force ensuite l’entrée du bureau du maire du 20e arrondissement, Éric Pliez. «Je m’excuse, mais monsieur le maire, vous avez intérêt à faire votre boulot», s’emporte-il.
(…)
À la fin de sa garde à vue, Mehdi apprend qu’il va pouvoir emménager dans un logement social. Un dénouement surprenant au vu de la violence dont le quadragénaire a fait preuve. «Nous n’avons pas eu connaissance de cette information. Peut-être a-t-il obtenu un logement social de manière indépendante, par un autre organsime», confie le service communication de la mairie du 20e au Figaro.
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«Notre appartement est invendable, on est bloqués» : à Paris, les riverains de la prison de la Santé excédés par les nuisances et l’insécurité autour de l’enceinte
Publié par Guy de Laferrière le 07 août 2023
Depuis la réouverture de la prison parisienne en 2019, le quotidien des habitants du quartier s’est fortement dégradé. À bout, ces derniers ont alerté le ministre de l’Intérieur.
En ce début de soirée d’été, à l’angle des rues Jean Dolent et Messier dans le 14e arrondissement de Paris, plusieurs jeunes traînent devant un immeuble. Ces détenus en semi-liberté se retrouvent pour rejoindre, ensemble, la prison de la Santé. «Aujourd’hui, c’est la version soft. Le problème, c’est quand ils parlent fort, dealent et font preuve d’incivilité», explique une riveraine qui sort sa poubelle puis montre du doigt un filet de pomme de terre resté coincé sur l’enceinte du célèbre centre pénitentiaire, inauguré en 1867. «La nuit ici, c’est lancer de paquets par-dessus le mur et parloirs sauvages», témoigne un autre résident, quelques portes plus loin. «Ce soir, la pluie est plus efficace que la police», ironise-t-il. Depuis la réouverture, en 2019, du dernier centre pénitentiaire de Paris intra-muros après quatre ans de rénovation, la cohabitation, même à bonne distance, avec les détenus est très mal vécue par les habitants du quartier.
«Tout ça se passe sous les yeux des caméras»
Dans une lettre adressée au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, en date du 28 juillet dernier, ils font état de «trafic de drogue, invectives, incivilités, bruits, agressions verbales, menaces», notamment au moment du transfert des détenus en semi-liberté, entre 18 heures et 20 heures. Ils décrivent aussi les nuisances sonores la nuit : les bruits de moteur ou de klaxon des voitures, les conversations entre détenus à travers les fenêtres à barreaux . «À bout», les riverains réclament «une réunion avec un représentant de la Préfecture de police» afin de trouver des solutions. Ils sont pour le moment sans réponse. Déjà, quelques mois après la réouverture de la Santé, l’association avait écrit à la directrice de l’établissement pour alerter sur les dégradations de leur quotidien.