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paris - Page 7

  • “Avec 7 milliards d’euros de dettes, Paris peut-elle encore soutenir financièrement ces 2600 associations aux missions parfois très éloignées du quotidien des Parisiens ?”

    Publié par Guy de Laferrière le 11 décembre 2022

    fdesouche

    « Extrêmement fière que la majorité municipale vote la subvention de 100 000 euros à cette association indispensable. Il y va de notre dignité et de nos valeurs. » Sur Twitter, Anne Hidalgo applaudissait, mi-novembre, comme un pied de nez à son opposition de droite qui s’était élevée contre le soutien financier apporté par Paris à l’ONG SOS Méditerranée. Une subvention octroyée chaque année depuis 2016 à cette association d’aide aux migrants. Mais avec l’arrivée controversée à Toulon (Var), le 11 novembre, de l’« Ocean Viking » chargé de 234 personnes, les débats avaient pris une tournure symbolique au Conseil de Paris.

    « Les Parisiens, qui ont parfaitement su accueillir les réfugiés ukrainiens, n’ont pas besoin d’un tel vœu pour être sensibilisés au problème des migrants, avait déclaré David Alphand, le vice-président du groupe LR au Conseil de Paris, dans les colonnes du Figaro. S’il y a 100 000 euros de trop à Paris, avait ajouté l’élu du XVIe, qu’on en fasse profiter les crèches de la capitale. »

    « Les dépenses de la Ville doivent être évaluées à l’aune du bénéfice exclusif des Parisiens », plaide aussi Maud Gatel, présidente du groupe MoDem, démocrates et progressistes au Conseil de Paris. Conseil dont l’assemblée débattra à partir de ce mardi 13 décembre du budget primitif.

    La polémique rejaillit régulièrement dans les couloirs de l’Hôtel de Ville. Avec plus de 7 milliards d’euros de dettes, la capitale peut-elle encore distribuer les fonds municipaux à des causes qui peuvent être jugées très éloignées du quotidien des Parisiens ? Le tribunal administratif a répondu à cette question le 12 septembre dernier en validant la possibilité pour une collectivité de voter une telle subvention, au nom du droit propre à la « coopération décentralisée ». […]

    L’intégralité disponible sur Le Parisien

  • Coupure d’électricité : le centre de Paris plongé dans le noir pendant une quinzaine de minutes ce jeudi soir

    Publié par Guy de Laferrière le 09 octobre 2022

     
     

    De nombreuses rues de la capitale ont été plongées dans le noir ce jeudi soir peu avant 23 heures.

    Le centre de Paris plongé dans le noir. Une coupure de courant touche actuellement plusieurs quartiers de la capitale ce jeudi soir, a appris BFMTV.com de la part d’Enedis.

     

     

     

    Le groupe affirme sur son site internet que, aux alentours de 23 heures, 75 rues étaient touchées dans les 1er et 4e arrondissements, 62 rues sont coupées dans le 3e et enfin 34 rues dans le 5e arrondissement. Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes ont commencé à partager dès 22h30 de nombreux clichés et des photos des rues parisiennes dans le noir total.

    (…) Ces coupures ont lieu dans un contexte de crise énergétique en France, alors qu’on ignore pour l’heure les causes exactes de ces coupures.

     

    BFMTV via lesmoutonsrebelles

  • Paris 18ème : des enfants escortés par la police pour se rendre à l’école à cause de la présence de dealers et de consommateurs de crack

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    Dans le nord de la capitale, la police municipale est contrainte d’escorter des enfants et leurs familles pour se rendre à l’école à cause de la présence de dealeurs et de consommateurs de crack sur leur chemin. Une situation « indigne » selon la mairie d’arrondissement.

    C’est un petit chemin situé le long du périphérique parisien, d’où surgissent deux familles avec cinq enfants en bas âge, bien emmitouflés pour résister aux premiers flocons de neige fondue. Il est 8h20, ce lundi matin, et dans leur sillage, trois policiers municipaux de la Ville de Paris les escortent sur le chemin de l’école maternelle Charles-Hermite, située dans le nord de la capitale (XVIIIe).

    Les familles accompagnées matin et soir

    Si cette mère de famille a besoin d’être rassurée, c’est que la situation s’est considérablement dégradée dans le quartier de la porte d’Aubervilliers, avec l’arrivée de nombreux consommateurs de crack« En général, ils sont entre 30 et 40 à se réunir sur l’allée Valentin-Abeille. Dès qu’ils nous voient arriver avec les familles, ils se dispersent, raconte ce policier municipal. Nous sommes là matin et soir pour accompagner les parents qui sont en retard et n’ont pas pu prendre les petits bus mis à leur disposition par la Ville. » Ce matin-là, en effet, une vingtaine de consommateurs se sont égayés dans le quartier quelques minutes avant le passage des policiers et des enfants… pour mieux revenir sur le site quelques minutes plus tard.

    « Depuis le démantèlement du camp de Forceval à la porte de la Villette (XIXe) , le 5 octobre, nous rencontrons un problème lié à la présence de dealers de crack, les fameux modous, qui attirent de nombreux consommateurs sur l’allée Valentin-Abeille. Ce petit chemin est un lieu à couvert et difficile d’accès pour les forces de l’ordre, c’est pourquoi malgré la présence importante de policiers et de CRS sur le secteur, il reste un noyau dur de consommateurs de drogue, décrypte Kevin Havet, adjoint à la sécurité de l’arrondissement. Nous avons donc décidé de mettre une escorte matin et soir à la disposition des familles et cela durera aussi longtemps que ce sera nécessaire. »

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Laissée à l’abandon, une rame du métro parisien classée monument historique ne peut plus rouler. Recouverte de tags, on trouve ses pièces détachées en vente sur internet.

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

    Nichée dans un tunnel confidentiel du réseau souterrain, la rame Sprague-Thomson, premier métro entièrement métallique de Paris, serait complètement dégradée. C’est l’alerte déclenchée par Jean-Paul Devienne, créateur du blog Paris Bise Art. La Sprague-Thomson A-475 – dernière rame autonome de ce modèle – a été classée à l’inventaire des monuments historiques, en décembre 1998. Et bénéficie au titre de ce régime juridique d’une protection en raison de son intérêt historique.

    Le vert bouteille (2nd classe) et le rouge brique des voitures (1ʳᵉ classe) percent faiblement sous les graffitis. « Les portes de connexion entre les voitures ont été volées ainsi que du mobilier. Sur Internet, on retrouve déjà des pièces détachées en vente ». Si l’entretien mensuel de la rame coûte 15 000 euros par mois, selon ce passionné, sa remise en état après dégradation pourrait être « dix fois plus importante ». « Un gâchis financier », qui aurait pu être évité.

    Avant qu’elle ne tombe en perdition, la rame Sprague-Thomson était utilisée pour des tournages, notamment à la station-cinéma Porte des Lilas. Peu sollicitée ces derniers temps, elle pourrait avoir été laissée à l’abandon pour des motifs financiers.

    Actu Paris via fdesouche

  • Paris : Un migrant libyen jugé pour le viol de la femme qui l’hébergeait. Armé de deux couteaux, il aurait tenté de voler le téléphone de son hôte, puis l’aurait frappée et violée

    Publié par Guy de Laferrière le 01 décembre 2022

    Un homme jugé à Paris pour le viol de la femme qui l'hébergeait

    Ce jeudi 1er décembre 2022, un homme comparaît devant la cour d’assises de Paris. Il est accusé d’avoir commis un viol sous la menace d’une arme.

    Les faits remontent au début d’année 2021. Sabrina C*, 33 ans, se présente au commissariat. Elle explique avoir été frappée puis violée par un homme qu’elle hébergeait depuis plusieurs semaines à son domicile. Il s’agit de Samir L*. Ce dernier, âgé d’une trentaine d’années et réfugié d’origine libyenne, vivait en squat et avait rencontré la plaignante lors d’une soirée. Après avoir sympathisé avec elle, cette dernière lui avait proposé de l’héberger quelque temps en échange d’une compensation financière quotidienne.

    Lors de son dépôt de plainte, la victime a expliqué que durant une soirée alcoolisée dans son appartement avec l’accusé, ce dernier serait devenu violent. Armé de deux couteaux, il aurait tenté de voler le téléphone de Sabrina C. puis l’aurait frappée et violée. De multiples ecchymoses sur son corps ont été constatées. Les policiers découvrent dans l’appartement de Sabrina C. un couteau avec les empreintes de l’accusé. Interrogée, une autre femme témoignait qu’avant les faits, l’accusé l’aurait embrassé plusieurs fois sans son consentement alors qu’elle était dans les transports en commun.

    actu.fr via fdesouche