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policier - Page 3

  • Bois-d’Arcy (78) : armé d’un couteau, il agresse un policier hors service devant chez lui et vole sa voiture, il a tenté d’étrangler un autre policier

    Publié par Guy Jovelin le 17 août 2021

    Un policier qui était en repos a été violemment agressé par un individu armé d’un couteau, à proximité de son domicile à Bois-d’Arcy (Yvelines) ce samedi en début d’après-midi. Le suspect a été interpellé un peu plus tard.

    Un homme s’est introduit sur le parking d’une résidence à Bois-d’Arcy samedi vers 14 heures. Il s’est dirigé vers un habitant – un policier hors service – et lui a demandé une cigarette relate 78actu. L’inconnu a essuyé un refus et a alors exhibé un couteau qu’il a placé sous la gorge du fonctionnaire, avant de lui dérober son véhicule avec lequel il a pris la fuite.

    (…) L’alerte a été donnée et l’agresseur a été rapidement identifié. Il a été interpellé dans un foyer Adoma situé à Versailles

    (…) Lors de son séjour au commissariat, le mis en cause a tenté d’étrangler un autre policier alors que ce dernier était en train de prendre ses empreintes.

    Actu 17 via fdesouche

  • “Si un policier riposte, il se retrouvera entre quatre murs, sinon il se retrouvera entre quatre planches !”

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2021

     Thooris revient sur l’attaque au mortier de policiers dans leur véhicule à Bonneuil-sur-Marne (94) et dénonce la faiblesse des réponses pénales dans ce type d’événement. Il réclame la réforme de la légitime  pour les policiers.

    https://soundcloud.com/bvoltaire/michel-thooris-179675235

     

    Des policiers ont récemment été blessés alors qu’ils intervenaient sur un rodéo urbain dans le Val-de-Marne. Comment se passent les interventions ?

    Ce sont des interventions à haut risque. Si les collègues interviennent de manière trop musclée et qu’il y a un blessé chez les individus, on va immédiatement accuser la  de  et de violences policières. A contrario, si les collègues ne prennent pas suffisamment de précautions, on se retrouve avec des collègues attaqués avec une volonté de tuer. À Bonneuil-sur-Marne, on a essayé d’immoler mes collègues dans leur véhicule, avec ensuite une réponse de la  qui n’est pas à la hauteur puisque cinq mineurs impliqués ont déjà été relâchés, faute de preuves, et l’auteur principal est en fuite. C’est le même problème qu’à Viry-Châtillon où il y a eu des peines dérisoires et des acquittements faute de preuves suffisantes ou d’aveux de la part des mis en cause.

     

    Lorsque les policiers sont pris à partie, quelles sont leurs moyens pour se défendre ?

    Absolument aucun puisqu’aujourd’hui le policier a deux alternatives. Soit il riposte à ce type d’attaque létale (lorsqu’on vous lance un mortier ou un cocktail Molotov à bout portant), avec son arme de service, il se retrouvera entre quatre murs. Et s’il ne riposte pas il se retrouvera entre quatre planches. C’est la réalité que vivent mes collègues au quotidien sur le terrain.

     

    La police manque-t-elle d’outils juridiques pour se défendre en cas d’agression ?

    C’est une évidence. Nous demandons une réforme de la  et que soit inscrite clairement la possibilité de riposter et d’ouvrir le feu, dès lors qu’un fonctionnaire de la police nationale ou de la gendarmerie nationale est visé directement par un tir tendu d’artifice, un lancer de cocktail Molotov ou un tir de mortier.

    Comme ce n’est pas inscrit dans la loi, si le collègue ouvre le feu, cela laisse libre cours à toutes les interprétations jurisprudentielles de la part d’un magistrat qui pourra estimer que la proportionnalité entre une arme à feu et un cocktail Molotov n’est pas remplie, ou que l’absolue nécessité n’est pas remplie. On reprochera aux fonctionnaires de police de ne pas avoir pris la fuite pour éviter la confrontation.

    Le texte sur la légitime défense n’est plus du tout adapté à la montée de la violence dans notre pays. On est clairement en guerre civile quand on s’attaque ainsi à mes collègues pour les tuer, les immoler gratuitement. Malheureusement, l’arsenal juridique et législatif ne suit pas la réalité.

     

    Que pensez-vous des décisions de justice rendues pour les agresseurs de policiers ?

    Elles ne sont pas à la hauteur de ce que l’on peut attendre. Cela pose un problème de fond : il n’y a plus d’intime conviction dans les verdicts aujourd’hui. On est dans la culture de la preuve absolue par l’ADN ou de l’aveu. Si vous n’avez pas un individu filmé, parfaitement identifiable sur la vidéo et qui ensuite avoue, les juridictions relâchent les mis en cause au nom du bénéfice du doute. Il est très compliqué d’arriver à des verdicts sévères dans la mesure où quand vous avez une quarantaine d’individus cagoulés et masqués qui attaquent les collègues et peu d’éléments matériels pour confondre les auteurs, on se retrouve avec des acquittements.

    Cela augmente le sentiment d’impunité des auteurs qui se disent qu’il n’y a aucun risque à attaquer des policiers puisque derrière la justice ne les condamnera pas et qu’ils passeront au travers des mailles du filet.

     

    Pourquoi, en France, les véhicules d’intervention ne sont-ils pas équipés de caméra haute définition pour filmer les interventions ?

    C’est en pourparlers, le problème est que l’on a toujours un train de retard en France. Mais ces caméras ne filment pas H 24, et il y a un moment de temporisation. Quand vous êtes en patrouille ou en intervention et que vous êtes pris dans un guet-apens de manière inattendue, si vous n’avez pas une caméra qui tourne H 24, c’est compliqué de filmer. De plus la caméra ne peut pas tout résoudre. Par exemple dans un guet-apens où l’on est attaqué par une quarantaine d’individus cagoulés, même si la scène est filmée, ça ne va rien donner de particulier.

    Le travail dont les enquêteurs ont besoin est de trouver une police du renseignement où on a des informations qui puissent être exploitées par la suite et reconnues par les services de justice. Aujourd’hui, les seules preuves reconnues par les tribunaux sont des images où l’on voit parfaitement la tête de l’auteur, puis ses traces ADN et ses aveux. L’exigence de telles preuves pour une condamnation fait que les condamnations ont exceptionnelles car malheureusement les criminels qui nous attaquent, prennent des précautions, ont souvent des gants pour ne pas laisser de traces ADN, ont le visage cagoulé, et prennent rapidement la fuite. Si les témoignages et les dénonciations ne sont pas pris en compte par la justice qui estime que ce type de preuve laisse subsister un doute, on arrive à plus aucune condamnation en France.

     

    Michel Thooris

    Secrétaire général du syndicat France Police
     
  • Tarbes (65) : Il se jette sur un policier et tente de se saisir de son arme en hurlant «Allah Akbar»

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2021

    Un équipage de police de Tarbes (Pyrénées-Orientales) s’est rendu à l’hôpital ce dimanche matin vers 11 heures pour conduire un homme faisant l’objet d’une hospitalisation d’office.

    Une fois sur place et alors qu’ils expliquaient la situation au personnel médical, un individu a surgi d’un box et s’est jeté sur l’un des policiers, tentant de se saisir de son arme de service. L’agresseur s’est mis à hurler « Allah Akbar ».

    Âgé de 52 ans, il a vite été maîtrisé par les forces de l’ordre et les sapeurs-pompiers qui se trouvaient sur place.

    Aucun fonctionnaire n’a été blessé et une enquête a été ouverte. Le quinquagénaire, qui est déjà connu des services de police, a fait l’objet d’une hospitalisation d’office en psychiatrie quelques heures plus tard…

    Actu17 via fdesouche

  • Montauban (82) : un homme fonce sur un policier avec un couteau, ce dernier fait alors usage de son arme

    Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2021

    On assiste à une banalisation de ce genre de faits“, nous confie un policier encarté au syndicat Alliance. Les faits dont il parle sont graves. Vendredi 12 mars 2021, à 19 heures, la police reçoit un coup de téléphone d’un habitant de Montauban dans le Tarn-et-Garonne. Un homme, bien connu des services de police, aurait été vu rue Frédéric Cayrou avec un couteau de 20 centimètres, il serait un danger pour lui-même. Les forces de l’ordre interviennent alors pour éviter ce qui semble être une tentative de suicide. Mais l’homme devient menaçant pour la police.

    Sur place, les premiers policiers en civil demandent des renforts. Des forces de l’ordre arrivent en tenue, l’homme muni de son couteau fonce alors sur l’un d’entre eux. Surpris, le policier tire, sans toucher son agresseur.

    L’homme aurait ensuite été “tasé” afin que les policiers puissent le désarmer et l’interpeller. “Après avoir été vu par un médecin, il a été placé en garde à vue dans les locaux de Montauban“, indiquent les policiers.

    Le policier syndiqué que nous avons contacté fait part de sa satisfaction en apprenant que le procureur ouvre une enquête pour tentative d’homicide. “Cela montre que le procureur espère faire entendre la dangerosité de ces faits. Cependant, l’affaire ne sera probablement pas portée aux assises, elle risque d’être re-qualifiée en violence volontaire ou aggravée“.

    L’enquête devrait révéler le profil de l’agresseur, espèrent les policiers. “On saura s’il était malade ou sous l’emprise de drogue“.

    […]

    France 3 via fdesouche

  • Montpellier : il crache sur un policier et traite l’autre de “sale blanc”

    Publier par Guy Jovelin le 22 décembre 2020

    Montpellier : trois interpellations mouvementées pour les policiers nationaux

    Dimanche à 18h40, un Montpelliérain de 31 ans a créé une belle agitation à la station de tramway Comédie. Des témoins ont signalé au 17, que le trentenaire en état de surexcitation semait la zizanie, s’en prenant notamment à une dame à pied.

    Quand les policiers de la Sécurité publique sont arrivés sur place pour le contrôler et pour établir s’il était alcoolisé, sous stupéfiants ou les deux, il s’est violemment rebellé. Un adjoint de sécurité a été saisi par le cou et alors qu’un collègue intervenait, il recevait des crachats au visage,  avec ce message : « J’ai la Covid ».

    Le troisième policier a été traité de « sale blanc », avec cette explication en garde à vue : « C’était de l’humour »…

    Le trentenaire a enfin hurlé en direction des policiers nationaux : « Je suis de la famille Kouachi », allusion aux deux frères terroristes abattus en 2015, après les sanglants attentats à Paris, notamment contre Charlie Hebdo. Il a d’ailleurs donné comme faux nom « Kouachi », en garde à vue. Mais, comme il est déjà connu de la justice, il a été rapidement identifié.

    actu.fr via fdesouche