GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

pologne - Page 7

  • La Pologne envisage de dénoncer la Convention féministe d’Istanbul

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2020

    PolishFlag-750x536.png

    par Pavel Parfentiev

    Marlena Maląg, ministre polonaise de la Famille, du Travail et de la Politique sociale, a déclaré dans une interview télévisée que la Pologne pourrait se retirer de la Convention d’Istanbul du Conseil de l’Europe.

    La Convention d’Istanbul, également connue sous le nom de Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et contre la violence domestique, tente en réalité de faire de l’idéologie du genre et du féminisme radical des normes contraignantes du droit international.

    La Convention a été ratifiée par la Pologne en 2015 avec un certain nombre de réserves et de déclarations. En particulier, la Pologne a déclaré que la convention ne serait appliquée que conformément à la Constitution polonaise. Cette position de la Pologne semble évidente et justifiée – en fin de compte, aucun gouvernement n’a le droit de ratifier un traité international contraire à la constitution de son pays. Mais la réaction a été très vive: l’Autriche, la Finlande, les Pays-Bas, la Norvège, la Suède et la Suisse ont déclaré (en utilisant toujours les mêmes mots) qu’ils s’opposaient à cette position de la Pologne.

    Apparemment, ces réserves ne suffisent pas. Les partisans des idéologies dangereuses qui détruisent la famille naturelle et la vision traditionnelle des hommes et des femmes associés au sexe biologique utilisent activement la Convention d’Istanbul comme instrument de restructuration radicale de l’ensemble de la société.

    Dans une interview à TV Trwam, Mme Maląg a d’abord mentionné les réserves à la Convention, disant évasivement que son ministère travaillait sur les changements législatifs nécessaires avec le ministère de la Justice.

    Cependant, en réponse à la question directe de savoir si la Pologne dénoncerait la Convention d’Istanbul (c’est-à-dire s’en retirerait), elle a répondu: « Tout d’abord, la Pologne se prépare à des changements, car nous avons déjà protesté, exprimé notre position et nous sommes préparés à la dénonciation, lorsque nous aurons terminé les consultations conjointes avec le ministère de la Justice.  » Elle a ajouté: « Aujourd’hui, nous en avons déjà discuté au ministère. Nous attendons les propositions préparées par nos services, qui seront présentées au gouvernement, puis la loi sera soumise au parlement. »

    Quelques jours auparavant, les organisations non gouvernementales polonaises Christian Social Congress et Ordo Juris avaient lancé une campagne publique intitulée « Oui à la famille, non au genre ». La dénonciation de la Convention d’Istanbul est l’un des principaux objectifs de cette campagne.

    Plus tôt, en mai de cette année, le vice-ministre polonais de la Justice, Martin Romanowski, avait déjà appelé à la dénonciation de la Convention d’Istanbul. Sur Twitter, il a écrit que « le moyen de lutter contre la violence n’est pas d’apprendre aux jeunes garçons qu’ils peuvent porter des robes et jouer avec des poupées », et a ajouté que la Convention d’Istanbul, ratifiée par le précédent gouvernement polonais, était « une propagande néo-marxiste qui détruit notre système de valeurs ».

    Dans un autre tweet, il a ajouté: « La Convention d’Istanbul fait référence à la religion comme à une cause de violence contre les femmes. Nous voulons dénoncer ce « charabia » […]. Nous ne sommes pas intéressés par les opinions étrangères. Pour nous, la fondation est l’État-nation souverain. »

    Il convient de rappeler que la Convention d’Istanbul a reçu son nom en raison du fait qu’elle a été ouverte à la signature des États en 2011 à Istanbul. Depuis sa création, elle a été vivement critiquée par les organisations protégeant la famille naturelle et les valeurs familiales, ainsi que par les communautés religieuses traditionnelles de différents pays d’Europe. Tous ceux qui défendent de véritables droits de l’homme qui sont traditionnellement reconnus par tous les États (par exemple, le droit à la protection contre l’ingérence dans la vie familiale et l’éducation des enfants) s’opposent à cette convention.

    La critique est liée au fait que la Convention d’Istanbul impose très ouvertement et sans équivoque l’idéologie du féminisme radical. Par exemple, le préambule de ce document déclare que « la violence contre les femmes est une manifestation de relations de pouvoir historiquement inégales entre les femmes et les hommes, qui ont conduit à la domination et à la discrimination contre les femmes par les hommes ».

    En outre, la convention définit les « genres » comme des « rôles socialement construits ». Cela signifie que les pays signataires, en fait, sont obligés de considérer l’idéologie du genre comme la « loi » – cette même idéologie, selon laquelle chaque personne peut choisir sa propre « identité de genre », se considérant comme un « homme » ou une « femme » « indifféremment de son sexe biologique. La Convention oblige les États membres à éradiquer tous les « préjugés, coutumes et traditions » qui reposent sur des « rôles stéréotypés des femmes et des hommes ». Ces stéréotypes peuvent inclure, par exemple, des idées traditionnelles sur le rôle du père et de la mère ou sur le devoir de l’homme de protéger sa patrie.

    La Convention ne s’arrête pas là. Elle exige également une formation appropriée pour les enfants, y compris leur parler des « rôles de genre non stéréotypés ». Et, à strictement parler, le refus des parents de laisser endoctriner leurs filles par l’idéologie du genre en soi peut, selon ce document, être qualifié de « violence ».

    On ne peut que saluer l’intention de la Pologne de dénoncer un tel document, dont l’objectif n’est pas de protéger les droits de l’homme réels, mais de réorganiser radicalement la société et de détruire ses fondements traditionnels, en particulier la famille naturelle et les droits des parents.

     

    Source : synthesenationale

  • Pologne : Andrzej Duda donné vainqueur de la présidentielle

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2020

    Pologne : Andrzej Duda donné vainqueur de la présidentielle

    Le président conservateur polonais Andrzej Duda s’est félicité dimanche soir de son succès, devançant légèrement le maire libéral de Varsovie Rafal Trzaskowski au second tour de l’élection présidentielle de dimanche. Andrzej Duda recueillait 51,21% des voix devant Rafal Trzaskowski (48,79%), sur la base du dépouillement des bulletins dans 99,97% des bureaux de vote. Cette élection a connu un taux de participation très élevé pour la Pologne, de 68%.

    Le président Duda, soutenu par le parti conservateur nationaliste Droit et Justice (PiS, au pouvoir), a promis de défendre les aides sociales populaires mises en place par le PiS. Il a bénéficié du soutien ferme d’agriculteurs, ouvriers, chômeurs et retraités, alors que Rafal Trzaskowski a tenté de réunir un électorat bien plus disparate.

    Le président sortant a fait une campagne polarisante, attaquant notamment le lobby LGBT, tandis que Rafal Trzaskowski est favorable aux partenariats civils entre personnes du même sexe. Sa décision de signer une déclaration de soutien aux LGBT a incité nombre de régions de l’est rural et le plus conservateur du pays à se proclamer “zones libres de LGBT”.

     

    Source : lesalonbeige

  • “L’idéologie du genre est pire que le communisme”, déclare le Président polonais

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2020

    Le président polonais Andrzej Duda a déclaré que l’idéologie du genre “est encore plus destructrice pour l’être humain” que le communisme.

    Lors d’un discours de campagne pour sa réélection à la présidence de la Pologne, Duda a comparé l’endoctrinement qui a eu lieu pendant le communisme avec l’endoctrinement LGBT.

    «C’était le bolchevisme. C’était l’endoctrinement des enfants. Aujourd’hui, il y a aussi des tentatives de nous imposer une idéologie à nous et nos enfants, mais différente. C’est totalement nouveau, mais c’est aussi du néo-bolchevisme », a-t-il expliqué .

    Dans le cadre de cette campagne, le président Duda s’est engagé à protéger les enfants de l’idéologie LGBT.

    Le président Duda, catholique pratiquant, a commencé sa présidence en 2015 en faisant un pèlerinage à Notre-Dame de Częstochowa, qui est vénérée comme reine et protectrice de Pologne.

     

    Source : medias-presse.info

  • Chantage LGBt de la Commission européenne contre la Pologne

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2020

     le 

    Chantage LGBt de la Commission européenne contre la Pologne

    La Commission européenne intervient contre les « zones libres d’idéologie LGBT » en Pologne, en menaçant de couper les fonds de cohésion réaffectés dans le cadre de la lutte contre l’impact de la pandémie de coronavirus.

    La Pologne semble ainsi être la cible d’opérations concertées visant à déclencher une guerre culturelle via des « droits LGBT », à l’instar du sort subi par l’Irlande.

    Analyse à lire sur l’ECLJ.

     

    Source : lesalonbeige

  • La Pologne crée ses propres tests de coronavirus avec une efficacité de 100%

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2020

    Cenator : Dans une vidéo que nous avons reprise ici, L. Toroczkai dénonce le fait que les tests produits par la Chine ne sont fiables qu’à 50%.

    ******

    La Pologne a créé son propre test de détection du coronavirus, qui fonctionne avec une efficacité de 100 %, selon l’Institut national de la santé publique (PZH).

    Le Dr Luiza Handschuh, de l’Académie polonaise des sciences (PAN), a expliqué que les tests seront produits dans deux semaines déjà et qu’il y en aura entre 100'000 et 150'000.

    Les autorités sanitaires polonaises ont commencé à travailler sur la création de ces tests afin de garantir que le pays dispose d’une quantité suffisante de tests en cas de pénurie mondiale.

    Plus de 10'000 tests ont été effectués en Pologne dimanche (12.4), ce qui porte à 188 000 le nombre total de tests effectués depuis le début de la pandémie.

    Le directeur de l’Institut de chimie bio-organique de la PAN, Marek Figlerowicz, a déclaré que les kits de tests polonais ont pris trois semaines pour être mis au point.

    Il a ajouté que le gouvernement polonais a fortement soutenu les efforts des scientifiques impliqués et a donné à l’institut 3,29 millions d’euros pour créer un kit de diagnostic et en produire 100'000 exemplaires.

    Mme Handschuh a expliqué qu’un kit de test coûte environ 11,60 euros à produire et qu’environ 1000 kits gratuits seront prêts la semaine prochaine pour être distribués par le ministère de la santé. La production de masse commencera la semaine suivante et jusqu’à 150'000 tests seront livrés au ministère et aux laboratoires de diagnostic en Pologne.

    Source en anglais : Voice of Europe

    Traduction Cenator