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pologne - Page 6

  • Afflux massif de migrants : la Pologne se barricade et verrouille ses frontières

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2021

    Depuis plusieurs mois, la Pologne fait face à l’afflux de migrants en provenance du Bélarus. Rien qu’au mois d’août, 3 500 passages ou tentatives ont été enregistrés par les autorités.

    Alors que des clôtures en barbelés ont été installées, l’état d’urgence doit être instauré le long de la frontière. D’après les récents sondages, les Polonais sont majoritairement satisfaits de ces décisions.

    Cela “facilitera le travail des gardes-frontières, qui pourront se concentrer précisément sur la protection de la frontière nationale” indique Katarzyna Zdanowicz, porte-parole de presse du corps des gardes-frontières.

    Présents à proximité de la frontière, desactivistes et des membres de l’opposition surveillent les activités des forces de sécurité polonaises. Selon eux, ces nouvelles mesures sont disproportionnées.

    Euronews via fdesouche

  • Les ambassadeurs de Hongrie et de Pologne ont mis leur veto au projet de budget de l’UE pour sept ans

    Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2020

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    Face à la volonté de l’UE de mettre en place un mécanisme permettant de priver de fonds européens les pays de l’Union accusés de violer l’Etat de droit, la Hongrie et la Pologne bloquent le budget et le plan de relance européens.

    Budapest et Varsovie ont mis leur veto pour s’opposer à la mise en place d’un mécanisme permettant de priver de fonds européens les pays de l’Union qui ne seraient pas dans la ligne idéologique (immigration, avortement, propagande LGBT…).

    Les chefs de gouvernement hongrois Viktor Orban et polonais Mateusz Morawiecki ont écrit une lettre aux dirigeants de l’UE. Le critère de l’Etat de droit

    “n’est qu’un prétexte, un beau mot qui sonne bien à l’oreille, mais il s’agit d’un asservissement institutionnel, politique, d’une limitation radicale de la souveraineté”. “Il s’agit de savoir si la Pologne sera une entité souveraine au sein de la communauté qu’est l’UE”.

    Le ministre hongrois de la Justice Judit Varga précise :

    “Ce n’est pas la Hongrie qui fait du chantage et met la pression sur Bruxelles (…) mais l’inverse”. “Quand il s’agit de l’avenir de nos enfants et petits-enfants, le peuple hongrois et la Hongrie ne font pas de compromis”.

    Michael Clauss, l’ambassadeur allemand, est fou de rage :

    « Nous avons déjà perdu beaucoup de temps, face à la deuxième vague de la pandémie et aux graves dégâts économiques engendrés ». « Il est crucial que le paquet tout entier soit adopté rapidement, sinon l’UE sera confrontée à une grave crise. »

    Et donc, que compte-t-il faire ? Annexer la Hongrie et la Pologne

     

    Source : lesalonbeige

  • La Pologne avait refusé l’asile au Tchétchène (et sa famille) qui a décapité Samuel Paty

    Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2020

    La Pologne avait refusé l’asile au Tchétchène (et sa famille) qui a décapité Samuel Paty

    Contrairement à la France, la Pologne sauvegarde son bien commun :

    https://twitter.com/patrick_edery

     

     
    Source : lesalonbeige
  • Agenda Lgbt de l’Union Européenne contre Pologne et Hongrie

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

    Le premier jour du Conseil européen à Bruxelles, jeudi 1er octobre a été marqué par la lutte entre le respect de l’Etat de droit des Etats et des cultures nationales d’un côté et de l’autre des institutions communautaires, de plus en plus voraces de pouvoirs et de plus en plus enclines à imposer leurs propres idéologies et valeurs négatives à tous les citoyens européens. Une fois de plus, l’affrontement titanesque voit la Commission européenne d’une part et la Pologne et la Hongrie d’autre part, soutenues par les autres pays d’Europe centrale et orientale.  

    Ces dernières semaines, la Commission et le Parlement ont intensifié l’affrontement avec Varsovie et Budapest, prouvant qu’ils ne respectent aucunement les peuples polonais et hongrois derrières les gouvernements légitimement élus et leurs dirigeants. Ils envisagent de priver ces deux pays d’accès aux fonds européens s’ils ne soumettent pas aux injonctions idéologiques de l’union Européenne. 

    A la Pologne, une fois de plus et après la réduction des fonds européens aux communautés locales qui ont approuvé la Charte de la famille (appelée instrumentalement zones franches LGBTI ), des ambassadeurs inconscients de 50 pays et organisations ont envoyé une lettre publique pour le respect des droits arc-en-ciel . Dans la lettre, ils se plaignent de la privation et des limitations des droits des personnes Lgbtqi+, alors que le chef du parti Lgbtqi polonais (Printemps) Robert Biedroń n’a obtenu que 2,9% des voix lors des dernières élections présidentielles et n’a jamais déposé de plainte. Dans ce climat de chasse aux sorcières, les ambassadeurs écrivent :

    « Les droits de l’homme sont universels et tout le monde, y compris les personnes Lgbtqi, a droit d’en jouir pleinement. »

    Il n’y a pas de dénonciation explicite, seulement une invitation publique au gouvernement polonais à « développer un climat de plus grande tolérance envers les personnes et l’idéologie Lgbtqi. »

    La réponse à cette initiative insultante des ambassadeurs est venue directement du gouvernement polonais :

    « La Pologne est un pays très tolérant, elle a interdit toute discrimination et a expérimenté de première main ce que signifie la souffrance, aussi nous n’accepterons aucune pression de la part d’un pays ou d’une institution internationale pour nous imposer une idéologie de gauche. »

    En Hongrie, ces derniers jours, à la suite d’un essai du Premier ministre Orban sur la crise de la démocratie libérale et la nécessité d’une refondation démocratique et chrétienne, publié par divers journaux dans différentes langues, un tollé a éclaté. Viktor Orban ne fait que répéter le concept déjà exprimé ces dernières années, lors des séminaires d’été avec les jeunes de son parti Fidesz : la démocratie libérale est en crise et de libérale elle est devenue totalitaire, en Europe il y a des acteurs mondialistes (Soros) qui régissent nombre des décisions des institutions communes et il y a la volonté d’anéantir les peuples d’Europe centrale et de les soumettre à de nouvelles puissances de gauche, anti-chrétiennes et antinationales. Que n’avait-il pas dit ! Les commentaires dans la presse européenne étaient imaginables parlant de perplexité, d’offenses, d’étonnement.   

    Inimaginable fut en revanche le commentaire de la vice-présidente et commissaire européenne aux valeurs Vera Jurova qui, dans un entretien avec Der Spiegel, a expliqué comment le vrai problème européen est Orban et son « allergie aux principes démocratiques. En Europe il y a le respect pour la démocratie, pas en Hongrie ».

    La réponse d’Orban ne s’est pas fait attendre et le 28 septembre, il a envoyé une lettre ferme au président Von der Leyen demandant la destitution de Jurova et déclarant qu’après les insultes reçues par lui-même et ses concitoyens, il fermerait toutes les relations avec le commissaire européen susmentionné. La Commission a réagi comme elle le fait dans ces circonstances, suggérant que le président Von der Leyen a pleinement confiance dans le travail du vice-président Jurova. Mercredi dernier, une majorité d’Etats membres de l’UE a parallèlement approuvé une proposition avancée par l’Allemagne, actuelle présidente du bloc, sur les modalités permettant de conditionner le versement de fonds européens au respect de l’Etat de droit.

    Ces deux derniers jours les raisons des attaques à la fois insensées et hors du temps de la Commission contre la Pologne et la Hongrie ont été élucidées : jeudi dernier, les premières indiscrétions sur les conclusions de la Commission envers les 27 pays et le respect de l’Etat de droit ont filtré.

    Les premières évaluations sur le respect de l’Etat de droit, qui ont émergé avec le Rapport du 30 septembre, ont  provoqué la juste colère de la Pologne et de la Hongrie. Pour tous les autres pays une simple petite tape ou un peu plus, pour les Polonais et les Hongrois une condamnation sans appel. Ce n’est pas un hasard si les ministres de la Justice des deux pays ont déclaré conjointement :

    « Le rapport soulève de graves préoccupations concernant son concept, sa méthodologie, ses sources et son contenu et ne peut servir de base à d’autres discussions au sein de l’Union européenne sur l’Etat de droit. »

    La Hongrie a également menacé de bloquer le processus des négociations avec le Parlement européen sur le projet de budget pluriannuel de l’UE et sur le fonds de relance économique décidé en juillet, qui représentent ensemble 1.800 milliards d’euros, avec un veto si le versement des fonds est conditionné. « Ce n’est pas la règle de l’Etat de droit, c’est la règle du chantage », a déclaré une porte-parole du gouvernement hongrois.

    La Pologne et la Hongrie n’acceptent pas de subir passivement un procès politique de style néo-soviétique. Ni l’agenda Lgbtqi+ de l’union Européenne.

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • La Pologne résiste encore à la Gaystapo

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2020

     

    A l’Est, la révolution culturelle arc-en-ciel avec ses contre-valeurs nihilistes ne passe pas.

    La Pologne donne encore une preuve de cette résistance à la Gaystapo. Depuis quelque temps, certaines municipalités polonaises se battent pour s’opposer à l’idéologie du genre et défendre la famille naturelle. Le monde LGBT les a accusés de construire des zones sans LGBT.

    Certaines de ces municipalités étaient jumelées avec d’autres municipalités non polonaises. Suite à cette décision pro-famille prise par les administrations locales, la commissaire européenne à l’égalité Helena Dalli a rompu ces jumelages et a également retiré les fonds y afférents.

    La première ville touchée par cette décision anti-familiale de l’UE a été Tuchów. Mais le ministre polonais de la Justice, Zbigniew Ziobro, a déclaré que l’Etat fournirait à Tuchów les fonds soustraits par l’Union européenne. « Nous soutenons une municipalité qui a un agenda pro-famille, promeut le soutien aux familles qui fonctionnent bien et lutte contre l’idéologie imposée LGBT et de genre, qui a été repoussée par la Commission européenne », a commenté le ministre.

    L’Europe de l’Est est un bel exemple qu’il est possible de se battre pour un retour aux valeurs chrétiennes et familiales, et de se passer des fonds européens.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info