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pologne - Page 4

  • La Pologne va adopter un plan pour relancer sa natalité, “basé sur des mesures pro-famille, et non pas sur l’immigration”, annonce le gouvernement

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2022

    La Pologne va lancer un plan pour relancer sa natalité, “fondé sur une politique pro-famille et pas sur l’immigration”.

    Le gouvernement polonais prépare une nouvelle stratégie démographique destinée à lutter contre l’un des taux de fécondité les plus bas d’Europe. Le programme sera basé sur le “soutien aux familles” et “non sur la migration”, selon la ministre du travail, des familles et de la politique sociale, Marlena Maląg.

    S’adressant à Polsat News, la ministre a déclaré que le plan serait “bientôt adopté” par le gouvernement. Bien que tous les détails n’aient pas été divulgués, le plan comprendra des mesures visant à aider les parents à concilier travail et vie de famille, ainsi que des incitations en matière de logement, de soins et de financement.

    L’objectif serait d’aider la Pologne à “échapper au piège de la faible fécondité” en augmentant le taux de natalité à un niveau permettant de le renouvellement des générations, a déclaré Mme Maląg. Elle a cité des recherches montrant que 95 % des jeunes Polonais aimeraient fonder une famille, mais a fait remarquer que cela nécessite un emploi et un logement stable.

    La nouvelle stratégie sera donc “fondée principalement sur la création d’une politique systémique et globale en faveur de la famille, et non sur les migrants”, a déclaré la ministre.

    La Pologne étant confrontée à un déficit démographique croissant – sa population devrait passer sous la barre des 34 millions d’habitants (contre environ 38 millions actuellement) d’ici 2050 – le pays a attiré un grand nombre de migrants venant d’Ukraine, pour combler le déficit de main-d’œuvre qui en résulte.

    Depuis son arrivée au pouvoir en 2015, la coalition nationale-conservatrice au pouvoir a mis en œuvre un certain nombre de politiques “pro-famille”, notamment son programme phare d’allocations familiales “500 Plus”. Cependant, ces dispositifs, bien que populaires, n’ont jusqu’à présent pas réussi à atteindre leur objectif de stimuler le taux de natalité.

    Notes from Poland via fdesouche

  • Fermeté de la Pologne : l'exemple à suivre pour tous les Européens, partout en Europe !

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2021

    La Pologne a donné une leçon de fermeté à l'Europe. Des milliers de migrants retournent au bercail, par voie aérienne. Exemple à suivre.

    Les migrants amassés à la frontière biélorusse-polonaise ont été évacués et des centaines d’entre eux ont été rapatriés en Irak !  

    Bravo à la Pologne  d’avoir maintenu une position ferme et sans aucune concession ! 

    Résister, c'est toujours possible...

     

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    Source : lafautearousseau

  • Incohérence médiatique

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2021

     

    Voici quelques jours, la Pologne était une menace fasciste au sein de l’Union européenne.

    Aujourd’hui, elle est devenue le rempart de la démocratie européenne menacée par la Biélorussie.

    Mais c’est, de façon générale, toute cette crise des migrants à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie qui est traitée, non seulement par les journalistes, mais aussi par les politiciens européens, de façon totalement incohérente.

    Ainsi a-t-on entendu Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne (car, même si cette diplomatie européenne n’existe pas, elle a bel et bien un chef !), déclarer martialement que Bruxelles allait durcir ses sanctions contre « tous ceux qui participent au trafic de migrants vers la Biélorussie, y compris les compagnies aériennes, les agences de voyages et les fonctionnaires ».

    Mais ignore-t-il que le problème n’est pas spécifique à la Biélorussie ? Du trafic de migrants, il y en a aussi dans les Balkans ou en Méditerranée.

    Pourtant, là, l’Union européenne et les États membres, bien loin de sanctionner quiconque, subventionnent le trafic de migrants.

    Comprenne qui pourra !
    à vrai dire, ce n’est pas bien difficile à comprendre : Bruxelles cherche un casus belli.

    Car, derrière la Biélorussie, celle qui est visée est bien la Russie.

    Or, pour une raison mystérieuse, les dirigeants européens (qui étaient pourtant volontiers philo-communistes du temps de l’Union soviétique) considèrent aujourd’hui que la Russie est un bien plus grand danger pour l’Europe que la Turquie ou la Libye.

    Ce qui n’empêche pas certains desdits dirigeants européens, à commencer par l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder, d’accepter des ponts d’or de la Russie.

    Tout ceci donne une pénible impression d’amateurisme et de propagande grossière.

    À la limite, on serait tenté de se dire que, peu importe la réalité de ce qui se passe à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne, si nous parvenions enfin à avoir une diplomatie rationnelle, n’agissant pas en permanence sous la pression de l’émotion et de l’opinion publique manipulée.

    Mais le simple fait qu’aucun grand média ne semble voir que ce qu’il dénonce en Pologne, il l’encourage hautement en Italie, en Espagne ou en Grèce, montre que nous en sommes loin.

    Car l’émotion fait vendre des journaux et élire des politiciens.

    Cependat, les peuples européens agonisent d’être ainsi dirigés n’importe comment !

     

    Source : les4verites

  • Une autre guerre mondiale à partir de la Pologne ?

    Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2021

    Du matériel lourd de la Bundeswehr transporté par voie ferroviaire a été aperçu, le 11 novembre 2021, près de la ville polonaise de Olsztyn, non loin de l’enclave russe de Kaliningrad et de la Biélorussie.

     

    Les forces armées polonaises ne cessent d’envoyer des renforts vers la frontière avec la Biélorussie tandis que Minsk achemine des renforts militaires à la frontière avec la Lituanie où sont stationnés des troupes de l’Otan (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord). Simultanément, des renforts militaires russes continuent d’affluer vers la frontière avec l’Ukraine. L’artillerie ukrainienne est en train de sonder le terrain avec quelques tirs de barrage du côté de Gorlovka. Washington a d’ailleurs averti tous ses alliés de la possibilité d’une invasion russe de l’Ukraine.

    La réactivation du front de l’Est passe également par la Mer noire où des avions et des bâtiments de guerre de l’Otan multiplient les patrouilles. Ces mouvements sont perçus comme hostiles par la Russie.

    Minsk menace de recourir au chantage énergétique avec l’arme du gaz naturel dans son bras de fer avec une Union Européenne qui joue la partition de Washington. Pour appuyer cet argument géostratégique, des bombardiers stratégiques russes ont effectué une petite virée au dessus de la Biélorussie, escortés par les meilleurs chasseurs locaux. En face, les armées de l’Otan se massent en Pologne, en Ukraine et dans les pays Baltes à quelques encablures du Valdaï.

    Encore une guerre mondiale où les Polonais se jettent tête la première ? Une analyse minutieuse de la situation, jugée extrêmement grave, dégage tous les éléments d’un conflit de grande envergure dans les marches occidentales de la Russie.

    Ce n’est pas du détroit de Taïwan ou la tension est vive, ni encore d’Iran que partira le feu d’un autre conflit mondial “chaud”; c’est de l’immense poudrière du front de l’Est en pleine Europe. Le contact direct entre Berlin et Moscou est loin d’être aléatoire ou fortuit. Un rapprochement entre l’Allemagne et la Russie est un scénario mortel pour l’Empire. Une reprise du conflit au Donbass ou, pire, une guerre avec la Biélorussie verra probablement des combats plus ou moins “ouverts” entre forces régulières allemandes et russes pour la première fois depuis 1945.

    source:https://strategika51.org/

  • FACE à FACE  POLOGNE/BIELORUSSIE : UN SEUL COUPABLE, L’UNION EUROPÉENNE !

    Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2021

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    La crise migratoire à la frontière polono-biélorusse aujourd’hui, demain peut-être, à celle de la Lituanie et de la Lettonie, est artificiellement provoquée par les autorités de Minsk, toutes les preuves sont-là : visas généreusement accordés par les consulats de Biélorussie en Afghanistan, Syrie et Irak, facilités aériennes et logistiques pour amener tous ces candidats au droit d’asile européen, à côté du territoire polonais. Et devant les images qualifiées par la grosse presse occidentale « d’insupportables », on cherche à influencer les opinions publiques et à faire « pleurer Margot dans sa chaumière ».

    Or, il semble pour l’instant que l’héroïque Pologne, - comme hier face aux Nazis et aux Bolchéviques -, se « dépatouille » seule, Bruxelles la soutenant du bout des lèvres en rappelant, cyniquement, qu’elle ne respecterait pas le droit du « non refoulement ». De qui se moque-ton ? En urgence, l’État polonais a mobilisé 10 000 de ses soldats pour renforcer ses gardes-frontières chargés de surveiller pas moins de 400 km, et a déroulé dans l’urgence une barrière faite de fil de fer barbelé avant d’édifier un mur. Cela prend du temps et, surtout, coûte de l’argent.

    L’inqualifiable hypocrisie de la Commission européenne

    Or, l’Union européenne parle plutôt de rétorsion à l’encontre de Varsovie, en prétextant que ce gouvernement ne remplirait pas les conditions du droit, notamment à l’égard des minorités LGBT. De qui se moque-ton ? La Pologne garde les frontières extérieures de l’espace Schengen,* elle fait avec son droit régalien ce que les jeunes de Génération identitaire ont voulu faire, d’une façon symbolique, dans deux cols alpins et pyrénéens.

    Macron, avec un culot monstre, avait annoncé que la France allait renforcer la surveillance, justement, de ces points de passage montagnards. J’ai pu vérifier de mes yeux, au col du Somport par exemple, qu’il n’en était rien ! Que nenni, pas un képi, pas une casquette de douanier, de gendarme, de CRS ou de guardia-civil, des deux côtés de la frontière ! Dans les Alpes, Il s’est même trouvé la Sous-préfète de Briançon pour dénoncer, justement, un certain laxisme dans les contrôles (probable qu’elle va être mutée en Terre Adélie !).

    Comble de l’hypocrisie, Bruxelles, pour se défausser, accuse Vladimir Poutine d’être à la manœuvre derrière son protégé Loukachenko, le président biélorusse, qui n’a rien à lui refuser. Oui, la Biélorussie se venge des sanctions édictées par l’U-E, - comme quoi, entre parenthèses, si on voulait les appliquer aux pays qui nous refusent les laisser-passer consulaires pour rapatrier les OQTF, ça marcherait ! -, pour punir Minsk de violations supposées des droits de l’homme dans ce pays, et condamner la fraude électorale qui a accompagné l’élection de Loukachenko.

    Mais en quoi la politique intérieure d’un État, - certes, aussi déplorable soit-elle -, nous concernerait-elle ? C’est de l’ingérence pure et simple. En revanche, condamner et punir la Biélorussie pour le rapt, - en plein ciel ! -, d’un avion de ligne, se conçoit tout à fait, mais dans un cadre diplomatique. Aller au-delà d’avertissements et punir par des sanctions commerciales tout un pays, relève de la mauvaise foi. Maintenant, face aux morsures frigorifiques de l’hiver qui arrive, on nous parle d’un « corridor humanitaire ». Il faut dire « non », - No Way ! -, lancer un message fort à tous les candidats à l’exil : « Vous n’avez pas d’avenir chez nous ! ». Et, dans un second temps, oui, rassembler à la frontière polonaise les moyens matériels de faire face à une crise sanitaire, mais en territoire Biélorusse et non polonais. En cas de refus, hélas, disons à tous ces « réfugiés », et bien… « à la grâce de Dieu ». Vive la Pologne !

    * L’agence européenne FRONTEX est, en principe, chargée d’assurer la surveillance et la sécurité  des frontières extérieures de l’espace Schengen. Pour moi, c’est plutôt « l’agence Spontex », qui absorbe plus qu’elle ne refoule !

     

    Source : synthesenationale