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prêtres - Page 2

  • C’était un 2 septembre… Les Massacres de Septembre

    Publié par Guy Jovelin le 02 septembre 2020

    • 1792 : début des massacres de septembre : plusieurs milliers de personnes sont exécutées par les républicains, essentiellement des prisonniers parisiens, dont des centaines de prêtres.
    Ils sont perpétrés sciemment pour terroriser la population parisienne et réduire les modérés au silence.
    Dans les prisons, pendant les sept jours que durèrent les massacres, les tueurs firent preuve d’un zèle, d’une ardeur dont témoigne cette réflexion de Billaud-Varenne : Je crois, ma parole, que le sang grise ces gaillards-là mieux que le bon vin!
    Seul Marat grognait, trouvant qu’on n’allait pas assez vite en besogne et que trop d’ennemis du peuple échappaient aux sabres et aux piques.
    A la Conciergerie et au Grand Châtelet, le tribunal populaire renforça les effectifs des « travailleurs » (tueurs) en offrant la liberté aux détenus de droit commun, à la condition qu’ils « travailleraient » à leur tour.
    Parmi les détenus libérés sous condition à la Conciergerie, on comptait une soixantaine de femmes. Elles « travaillèrent » avec autant d’ardeur que les hommes et formèrent ensuite le noyau de la troupe de révolutionnaires en jupon, connues sous le nom de tricoteuses.
    Le règne de la Terreur s’instaure. A la tribune de l’Assemblée nationale, le ministre de la Justice, Danton, demande que tous les citoyens refusant de servir la « patrie » soient punis de mort.
    Cet épisode fondateur de la République ne doit pas faire oublier la nature totalitaire et meurtrière de la République, qui n’hésitera pas à recommencer quand elle se sentira menacée.
    Un opuscule sur ce terrible épisode a été écrit par l’abbé Portail.

     

    Source : contre-info

  • Accusez les prêtres tant que vous voulez, c’est presque gratuit

    Publié par Guy Jovelin le 01 mars 2019

    Auteur : Michel Janva 

    Accusez les prêtres tant que vous voulez, c’est presque gratuit

    Justice anticléricale :

    Le tribunal correctionnel de Châlons-en-Champagne a condamné à trois mois de prison avec sursis et 500 euros d’amende chacun le couple qui avait faussement accusé un prêtre d’abus sur mineurs.

    Quasiment rien, pour avoir détruit la réputation d’un prêtre au point qu’il a été banni par son évêque, et que cette affaire va le poursuivre longtemps.

    Y aurait-il eu des circonstances atténuantes ? Non, pas la moindre. Au contraire, le procureur de la République a chargé les deux calomniateurs dont le but était de faire virer le prêtre et qui avaient inventé les accusations.

    L’auteur d’une dénonciation calomnieuse encourt une peine de cinq ans de prison assortie d’une amende de 45.000 euros.

    A Châlons, c’est pas de prison et une amende minimale.

    Ah, j’oubliais : ils sont condamnés aussi à verser au prêtre 1 euro de dommages et intérêts.

    Là on touche le fond de l’ignominie.

    Mais non. Il y a encore pire : les calomniateurs font appel !

    Il reste à espérer (contre toute espérance, hélas) que les magistrats rendent vraiment la justice.

    Quant à l’évêque on le laissera à sa conscience.

     

    Source : lesalonbeige