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remigration - Page 3

  • Débat sur le voile islamique : une simple diversion.

    Publié par Guy Jovelin le 17 octobre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau Politique de Parti de la France
     
    Ouvrir tous les six mois un nouveau débat sur la nécessité ou pas de légiférer sur la question du voile islamique relève de la diversion. Y participer c'est jouer le jeu du gouvernement et du Système.
     
    La question qui se pose, même si nous savons que les salafistes testent nos résistances, ne réside pas dans les signes extérieurs de leur appartenance, le problème n'est pas la façon dont s'habillent les uns ou les autres, mais la politique de portes ouvertes qui a permis l'implantation sur notre sol de millions d'éxogènes porteurs d'une autre Histoire que la nôtre, d'une autre culture que la culture européenne, et d'une autre religion que celle, lumineuse, sur laquelle est basée notre civilisation. 
     
    Une Histoire, une culture et une religion dont la constante est de s'affirmer par antagonisme à tout ce qui a fait l'Occident.
     
    Stoppons l'immigration, mettons en place les conditions administratives et juridiques de la rémigration et la question de l'islamisme en France ne se posera plus.
  • Robert Ménard considère la remigration comme une “absurdité” – Les Identitaires lui répondent

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2019

    Ecrit par Léo Kersauzie

    Si certains se font encore des illusions au sujet de la “Convention de la droite” et de ce qui pourrait en découler, il est utile de leur préciser que Robert Ménard, lors du discours qu’il y a tenu samedi dernier, a qualifié la remigration de « bêtise absolue » et de véritable « absurdité ». Ce bon républicain n’est décidément pas prêt à rompre avec le système.

    A ce sujet, les Identitaires ont réagi par le communiqué ci-dessous :

    Cher Robert Ménard,
    vous aimez le contre-pied, le paradoxe, incarner la vox clamantis in deserto. En termes de communication, être dans la rupture. Rien d’étonnant donc qu’à la Convention de la droite du 28 septembre, vous soyez monté à la tribune pour faire la leçon à vos hôtes. Après le Vu de gauche méprisant d’Enthoven, l’assistance a eu droit à votre Vu de Béziers. À cette occasion, vous avez affirmé votre hostilité à la remigration, la déclarant « d’une bêtise absolue », une véritable « absurdité ». Mais sans doute estimez-vous qu’à des amis égarés, il convient de tenir le rude langage de la vérité. Quitte à utiliser des formules que la gauche applaudirait.
    Laissez-nous vous dire, cher Robert Ménard, que vous vous trompez. La remigration est possible. Elle l’est car nécessaire. Ce n’est pas une figure de style, mais un constat politique, dans le sens premier du mot. Ou la remigration ou la soumission/disparition. Béziers n’est pas une île. Vous pouvez transformer votre ville autant que vous voulez, refaire quatre fois le bitume des rues, ouvrir 1 000 boutiques dans le centre, faire tomber localement le chômage à 0 %, il n’en reste pas moins que votre action municipale ne changera rien à l’alternative. Sachant qu’à cette alternative, il n’en existe qu’une autre, la guerre. Nous n’en voulons pas et vous non plus.
    En 2017, nous avons publié nos 30 mesures pour une politique d’identité et de remigration. C’est avec plaisir que nous allons vous en envoyer un exemplaire ; vous pourrez juger sur pièces, critiquer en détail. Vous y verrez cependant qu’il ne s’agit pas d’un manuel d’utopie mais de mesures concrètes, dont certaines ont été éprouvées avec succès dans des pays démocratiques comme l’Australie ou les États-Unis.
    Le remigration n’est pas un concept adapté de la « valise ou le cercueil ». C’est peut-être votre histoire personnelle qui vous fait redouter des violences qu’une mise en place de la remigration provoquerait. Mais les violences existent déjà et qui peut croire qu’elles n’iront pas en augmentant ? Qui peut croire que « ça va bien se passer » ? Et si vous êtes hostile à la remigration, que proposez-vous ? Concrètement ? L’assimilation, l’intégration ? Au moment où leur échec comme celui de la société multiculturelle crèvent les yeux ?
    L’homme de communication que vous êtes sait que pour faire avancer une idée, il faut qu’elle s’installe dans le débat public, qu’on la défende ou qu’on la critique. Planter des mots dans des têtes pour que pousse l’action. Mettre en pleine lumière un concept ignoré encore du plus grand nombre est donc déjà une victoire. (…)

     

    Source : medias-presse.info

  • Burkini

    Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2019

    On ne lutte pas contre le en se foutant à poil à la piscine ou en montrant son sur les réseaux sociaux mais en exigeant la remigration massive des colons islamistes qui veulent nous imposer la charia

  • Quotas de migrants ? Non ! Mais quotas de rémigration, OUI, mille fois oui !

    Publié par Guy Jovelin le 24 juin 2019

     

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

     
    Quotas de migrants ? Non ! Mais quotas de rémigration, OUI, mille fois oui !
    Selon l'essayiste, démographe et sociologue Jean-Paul Gourévitch, 7,3 millions d’immigrés vivraient aujourd’hui sur notre sol, soit 11 % de la population, auquel il faudrait ajouter entre 12 % et 14 % de descendants directs d'immigrés, c’est-à-dire au total entre 14 et 16 millions de personnes « venues d'ailleurs ». Quatre fois plus qu'il y a 20 ans.
    Ce constat n’empêche pas l’exécutif de relancer le débat sur l'immigration voulue, choisie et organisée.
    C'est ainsi qu'Emmanuel Macron vient d'ouvrir la porte à l'introduction de quotas destinés selon lui à maîtriser les flux migratoires. Vieille lune que ce concept proposé au début des années 1990 par le duo Pasqua/Seguin lors de leur tentative de puputsch au sein du RPR contre Chirac et Juppé, et repris en 2007 par Sarkozy lors de sa campagne présidentielle. Concept ancien donc et surtout illusoire et fantasmagorique.
    Par définition, en effet, l'immigration illégale échappe à tout contrôle et ne pourrait donc être quantifiée dans une politique de quotas.
    Par légalisme international autant que par soumission à la bien-pensance, il ne saurait non plus être question d’introduire les quotas dans l'attribution des droits d'asile (120 000 demandes en 2018, en hausse de 21 %).
    Reste donc l'immigration dite légale qui concerne désormais 250 000 personnes chaque année.
    Sur ces 250 000 nouveaux entrants, 88 737 premiers titres de séjours délivrés l'année dernière l'ont été au titre du regroupement familial. La remettre en cause irait à l’encontre de la Convention européenne des droits de l'homme que la France a ratifiée et surtout de la Constitution qui stipule que "la Nation assure à l'individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement, et protège le droit à vivre en famille ». Inutile de préciser qu'aucun gouvernement du Système, ne dérogera à des principes républicains aussi éclairés…
    Alors, des quotas pour l’immigration dite économique qui ne concerne que 11 % des entrants ? Mais là encore, on voit mal les entreprises qui ont besoin de flexibilité dans leurs embauches accepter que les taux de répartitions d'emplois soient décidés par l'État ou par le Parlement une fois pour toutes en début d’année de façon discrétionnaire et selon une méthode comptable.
    Nous sommes donc bien dans la mythographie et le mensonge.
    Pour le Parti de la France, notre pays n'a pas besoin d'immigration économique. Dans une France minée par le chômage, une formation adaptée, une adaptation aux réalités économiques, une revalorisation du travail manuel et des salaires qui leurs sont attachés doivent permettre aux nationaux d’occuper tous les postes à pourvoir. Notre pays n'a pas non plus à faire bénéficier des étrangers du « droit à la famille » qui ne doit concerner que les seuls Français. Il n'a pas à accueillir par dizaines de milliers de faux réfugiés.
    L'immigration ne doit pas être organisée. Elle doit être stoppée. Totalement et définitivement.
    Il est pourtant un quota que nous pouvons adopter : celui de la rémigration : la droite nationale au pouvoir fixera donc chaque année le nombre d'étrangers et de faux nationaux, selon leur origine et leur « qualité », afin de procéder à leur retour au pays.
    Jusqu’à épuisement des stocks.