Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

tribunal - Page 3

  • Berlin : Un Malien arrache des parties du nez et de la bouche d’une femme ! La victime déclare : « Je souhaite qu’il soit libéré ».

    Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2020

    Depuis vendredi, un homme du Mali se trouve devant le tribunal régional de Berlin.

    Affaire 606. L'accusé : Sankun K. (24 ans). Selon l'acte d'accusation, il a étranglé la femme le 5 juillet 2020 vers 11h15 à Kreuzberg avec ses deux mains alors qu'elle était couchée sur le sol sous lui. Puis il lui a arraché la moitié gauche du nez et le coin gauche de la bouche.

    A-t-il quelque chose à dire à ce sujet ? Il ne veut rien dire. La femme qui a été mordue est à la barre des témoins. Albana R., 42 ans, diplômée de l'université.

    Elle déclare : "Cette chose est arrivée. J'ai été mordue. "J'ai des points de suture. Je lui pardonne et lui souhaite une bonne vie". Le public dans la salle est stupéfait. Comment peut-elle dire cela alors que son visage est défiguré de façon permanente ?

    Albana R. : "Je voudrais aussi savoir ce qui s'est passé. J'étais assis sur la rive. Nous avons entamé une conversation. Nous sommes allés dans l'eau ensemble. J'avais avalé une pilule d'ecstasy rose. Je lui ai dit dans le fleuve : "Pour moi, tu es Jean-Baptiste ! Ensuite, j'ai lavé les feuilles dans le jardin. Il m'a suivie. "Puis il m'a prise et m'a mordue."

    Le juge : "A-t-il arraché des parties ?" La femme : "Oui, l'opération a été très lourde. J'ai des cicatrices". Le juge : "Sur les photos, il manque une partie de la joue, les dents sont visibles." La femme : "Je vais bien. "Je me demande ce qui n'allait pas dans mes actions. Je souhaite qu'il soit libre". Le public dans la salle est horrifié.

    La femme déclare : "Je l'ai trouvé très sensible". Le juge demande comment elle en est arrivée à cette conclusion. Elle répond : "Je pense qu'il est clairvoyant. Il savait des choses". Le juge dit : "Quelles choses ?" Elle poursuit : "Ce que je chantais dans les toilettes à la maison". Le public dans la salle d'audience est irrité.

    [...]

    Sankun K. a été arrêté le jour même. Son placement permanent dans un hôpital psychiatrique est envisagé. Sentence prononcée le 27 novembre.

    (Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

    Bz-berlin via lesobservateurs

  • Libourne (33) : Saïd Oumalek condamné pour l’enlèvement, la séquestration et l’agression sexuelle de Thibault, mineur au moment des faits

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2020

    Libourne : un homme condamné pour l’agression sexuelle d’un mineur

    Un quadragénaire était jugé mardi par le tribunal correctionnel de Libourne. Il a été reconnu coupable et condamné à trois ans de prison dont deux avec sursis pour avoir enlevé un adolescent et l’avoir contraint à des attouchements sexuels

    Une audience pesante s’est déroulée mardi devant le tribunal correctionnel de Libourne. Saïd Oumalek, 43 ans, y était jugé pour l’enlèvement, la séquestration et l’agression sexuelle de Thibault (1), mineur au moment des faits.

    www.sudouest.fr via fdesouche

  • Bordeaux : A la barre, l’arracheur de collier, connu sous 11 identités, ne se souvient plus s’il a 18 ou 19 ans, ni s’il est né à Alger ou Oran

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2020

    Au tribunal judiciaire de Bordeaux (…), Ali Hatabi (…) ne sait plus s’il est né à Alger ou Oran et s’il a 18 ou 19 ans. « On s’y perd dans vos identités », constate le magistrat, stupéfait à la lecture de la procédure qui ne mentionne pas moins de 11 identités différentes pour un seul homme !

    La justice le poursuit pour deux agressions en compagnie de deux comparses âgés de 16 et 17 ans, qui comparaîtront devant la justice des mineurs. Le 21 juin, avec ses amis, ils ont abordé un homme assis à la terrasse d’un bar du centre-ville de Bordeaux pour lui demander une cigarette. Ils se sont montrés menaçants et l’un d’eux a porté un coup au thorax du client, qui a été déséquilibré et s’est fait voler sa chaîne de cou. Jeudi dernier, vers 17 heures, la même équipe a récidivé porte de Bourgogne

    « On est dans la misère sociale, il n’y a pas de violence avec arme blanche », plaide Me Kanane son avocat. Le tribunal a condamné Ali Hatabi à cinq mois de prison ferme avec interdiction du territoire national pendant cinq ans. Il a été écroué.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Montpellier : ils ont cambriolé 14 maisons et ressortent libres du tribunal

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2020

    Par  le 27/08/2020

    Libres comme l’air. Les deux jeunes Montpelliérains âgés de 19 ans sont repartis du tribunal certes condamnés (6 mois ferme, plus 6 mois de sursis), mais libres. Les faits sont pourtant conséquents pour ces primodélinquants (l’un a un casier judiciaire vierge, l’autre a une mention) : 14 cambriolages ! « Et cela représente uniquement ceux qu’on a pu leur affilier » indique la gendarmerie.

    (…) Midi Libre via fdesouche

  • Toulouse : Malgré la clémence des juges pour son 30ème passage au tribunal, un jeune de 23 ans insulte la cour et exhibe son sexe lors du verdict

    Publié par Guy Jovelin le 04 août 2020

    Par  le 04/08/2020

    À la base, un jeune homme est arrêté la semaine dernière à Toulouse pour avoir tenté de noyer un moniteur de kayak après avoir importuné une jeune femme. Le moniteur s’est alors interposé et il a été largement pris à partie, essuyant entre 20 et 30 coups de poing avant que son assaillant tente de le couler, au moins à trois reprises.

    L’alerte donnée, le suspect a été arrêté dans la foulée. Et force est de constater que le prévenu, âgé de 23 ans, est très familier du palais de justice où il était convoqué ce lundi pour la trentième fois.

    Au terme d’une audience laborieuse ce lundi au tribunal correctionnel de Toulouse, le procureur a requis une peine de 18 mois de prison ferme. Mais le tribunal a opté pour une peine mixte, ce qui était donc positif. Sauf que le jeune homme n’a pas compris la décision : à l’énoncé du délibéré le prévenu a cru bon de montrer son sexe par trois fois aux magistrats. Qui ont également essuyé un flot sidérant d’insultes.

    La Dépêche via fdesouche