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viol - Page 12

  • Linas (91) : le maire centriste placé en garde à vue après des accusations de viol sur un migrant clandestin (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2019

    Par  le 24/05/2019

    24/05/19

    François Pelletant, le maire (centriste) de Linas a été interpellé mercredi par la police judiciaire, dans une affaire de viol présumé sur un jeune sans-papiers. Il a été relâché ce jeudi soir. Un juge d’instruction de Créteil (Val-de-Marne) est en charge de ce dossier.
    (…) Le Parisien


    7/06/17

    François Pelletant, le maire centriste de Linas, candidat aux législatives sur la 4e circonscription, est convoqué devant les Prud’hommes fin juin pour une affaire de travail dissimulé, harcèlement moral et sexuel. Et visé dans une autre procédure pour viol.

    Tout commence via un réseau de rencontres en 2014, alors que le jeune homme se trouve en Tunisie. A distance, cette relation est ponctuée de 18 transferts d’argent en ligne jusqu’au printemps 2015 pour un montant de plus de 5 000 €. «Pour un travail de standard délocalisé», selon le bénéficiaire. «C’était pour qu’il fasse ses papiers», affirme l’élu qui dénonçait ce mercredi «concomitance entre la médiatisation de cette affaire et les élections législatives» auxquelles il est candidat sur la 4e circonscription de l’Essonne.

    Leur idylle démarre de manière réelle à l’arrivée en région parisienne du jeune homme, en avril 2015. H. est logé à Villejuif, dans un appartement appartenant à François Pelletant. Il travaille aussi pour le Carrefour des communes, fondé par le maire de Linas.

    «Au bout de deux ou trois semaines, il m’a demandé d’entrer dans une relation sadomasochiste, je n’étais pas d’accord, mais j’ai voulu tenter, pour lui», reprend le garçon. «Dès qu’on a essayé je n’ai pas aimé, j’ai refusé que l’on continue.»

    Il tremble et ses yeux rougissent à l’évocation des faits. Ce Tunisien de 26 ans a quitté son pays pour rejoindre la France et son «amant, François Pelletant», au printemps 2015. «Il avait géré pour mes papiers, il me logeait et m’avait trouvé un travail dans une de ses associations», indique H., qui préfère rester discret

    Le Parisien Via fdesouche

  • Saint-Alexandre (30): viol d’une joggeuse, les gendarmes diffusent un portrait-robot

    Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2019

    Après la violente agression d’une jeune femme, lundi 22 avril à Saint-Alexandre dans le Gard, et la fuite de son agresseur, un portrait-robot est diffusé.

    Lundi 22 avril vers 10 h 15, une jeune femme faisant son jogging a été agressée et violée sur un chemin DFCI (une voie de défense des forêt contre l’incendie), à proximité de la voie ferrée, sur la commune de Saint-Alexandre dans le Gard.

    Âgé de 25 à 30 ans

    Dans le cadre de l’enquête menée par la gendarmerie de Bagnols pour tenter d’identifier l’auteur de l’agression, un portrait est à présent diffusé : « Le mis en cause est âgé de 25 à 30 ans, mesure 1 m 80 à 1 m 85, il est de corpulence sportive. Si vous disposez de renseignements, bien vouloir contacter les enquêteurs au 04 66 89 82 10 », communique la gendarmerie.

    Midi Libre  via fdesouche

  • Bernard Henri-Lévy a passé au mauvais quart d’heure avec le New Yorker

    Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2019

     le 

     

    Dans un entretien mis en ligne le 18 mars, le magazine américain The New Yorker se paye Bernard-Henri Lévy. L’intellectuel français est critiqué pour son soutien inconditionnel à Roman Polanski et Dominique Strauss-Kahn, deux hommes accusés de violences sexuelles. Bernard-Henri Lévy est ainsi confronté à certains de ses propos passés sur le cinéaste Roman Polanski, accusé du viol d’une mineure en 1977. Le journaliste attaque ainsi :

    “Vous avez écrit que Roman Polanski avait ‘peut-être commis une erreur de jeunesse‘ (…) Il avait, je crois, 13 ans à l’époque des faits. Ah, non, c’était sa victime qui avait 13 ans. Lui en avait 43“.

    En difficulté, le philosophe ne répond pas… et assure que Roman Polanski a été “puni durement” parce qu’il était riche et célèbre, n’hésitant pas à parler de “justice de classe inversée”.

    “On parle du viol d’une enfant de 13 ans”, relance le journaliste.

    “Oui, un viol ; 14 ans, 15 ans, 13 ans, peu importe. C’est de toute façon un crime”, balaye BHL, avant d’assurer que le cinéaste avait “purgé” sa peine. Ce qui n’est pas le cas.

    “Il a fui le pays”, réplique le journaliste.

    “Il est allé en prison d’abord”, défend l’intellectuel.

    “C’était un fugitif”, rappelle le journaliste, qui enchaîne avec le cas Dominique Strauss-Kahn, accusé de viol et arrêté en 2011 à New-York.

    “Quand une autre femme l’a accusé de tentative de viol, vous avez écrit ‘j’en veux à ceux qui ont accepté avec complaisance le récit de cette autre femme, cette fois-ci Française, qui prétend avoir été victime d’une tentative de viol similaire [à celle de Nafissatou Diallo, la femme de chambre du Sofitel], mais qui s’est tue pendant huit ans, mais, sentant une opportunité en or, ressort son dossier (…) Comment savez-vous qu’elle prétendait ?“.

    “Où ai-je dit ça ?”, répond BHL, avant de dire qu’il ne se souvenaitt pas de ce texte, publié sur le Daily Beast.

    La même amnésie semble s’emparer de Bernard-Henri Lévy lorsque le New Yorker l’interroge sur des propos tenus en 2006 où il compare le voile à une “invitation au viol”.

    “J’ai dit à plusieurs reprises que je n’avais jamais dit ça. Ce n’est pas une de mes citations”, se défend l’intellectuel, avant de comparer le port du voile à un “esclavage”.

     

    Source : lesalonbeige