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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1232

  • À Sciences Po, des cours de «sociologie de la race» proposés aux étudiants font polémique

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    À Sciences Po, des cours de «sociologie de la race» proposés aux étudiants font polémique

    Sur le campus Europe-Amérique latine de Poitiers, les étudiants de deuxième année peuvent choisir de suivre ce cours au semestre 2.

    «Nous avons été étonnés de découvrir le mot “race” dans un intitulé de cours. Cette terminologie dérange», déclare au Figaro Etudiant Quentin Coton, responsable du syndicat étudiant de droite UNI à Sciences Po.C’est un choc aussi pour de nombreux étudiants de licence 2 du campus de Poitiers de Sciences Po. Il y a quelques jours, tous ont reçu la liste des cours enseignés pour leur deuxième semestre de l’année. Parmi la trentaine de modules proposés, il y en a surtout un qui a retenu leur attention: «Sociologie de la race». Quentin Coton, responsable du syndicat étudiant de droite UNI à Sciences Po, est directement concerné par ce syllabus, étant lui-même étudiant en deuxième année à Poitiers. «Nous sommes plusieurs à avoir été interloqués par ce titre. Je sais qu’un professeur l’a aussi été», confie-t-il au Figaro Étudiant.

    (…)

    Douze séances de cours sont prévues au programme. Telles que «Les principes du constructivisme racial», «La France face à la race: débats sociologiques et controverses politiques sur le concept de race», «Décrire la race? Une approche qualitative de la racialisation», «Race, nation, colonialité», «Corps, santé et racialisation», «La blanchité dans l’hégémonie raciale», ou encore «Intersections: la sociologie de la race face à la religion».

    etudiant.lefigaro.fr via fdesouche

  • Claude Guéant incarcéré suite à l’affaire des “primes de Beauvau”

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    Claude Guéant a été incarcéré lundi matin à la prison de la Santé, en application de sa condamnation en 2017 dans l’affaire des primes en liquide du ministère de l’Intérieur.

    L’ancien grand commis de l’État, âgé de 76 ans, avait été condamné à deux ans d’emprisonnement, dont un an ferme en appel en janvier 2017. Début novembre, la cour d’appel de Paris a révoqué une partie de son sursis et de sa liberté conditionnelle, estimant que M. Guéant ne réalisait pas les versements nécessaires pour payer l’amende et les dommages et intérêts qu’il s’était vu infliger.

    Le Point via fdesouche

  • Pourquoi envoyer l’armée dans les cités n’est pas possible ?

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    Depuis mai dernier, le colonel Emmanuel Combe, 45 ans, commande le 2e régiment étranger de génie de Saint-Christol. Un millier de légionnaires d’une centaine de nationalités. Il répond à nos questions.

    Emmanuel Combe

    Quand des élus ou des candidats à la Présidentielle évoquent l’envoi de l’armée pour sécuriser les cités gangrenées par les trafics de drogue et l’insécurité, est-ce réaliste ?

     « Je pense qu’on ne sait pas bien ce qu’est le travail de l’armée. Je ne fais en aucun cas partie des forces de l’ordre, je n’ai pas d’officier de police judiciaire chez moi, et jusqu’à preuve du contraire, il n’y a pas de guerre civile en France. Notre intervention est toujours dans le cadre de l’antiterrorisme. Que notre présence puisse faire baisser la petite délinquance justement parce qu’on est présent ou que ça puisse rassurer les gens, très bien. Mais ce sont des effets de bord. Ce n’est pas du tout notre mission principale. Notre mission principale est d’être capable de lutter contre la menace terroriste. Il ne faut pas se tromper. Ce qui est inquiétant, c’est qu’on voudrait faire porter sur l’armée l’échec de ce qu’on aurait dû faire avec d’autres moyens. Si vous avez besoin de détruire un immeuble pendant une guerre, je peux le détruire, mais sinon je ne suis pas convaincu que ça s’inscrive vraiment dans la volonté de la population. »

    Mais si on vous donne l’ordre de le faire, d’investir des cités ? 

    « Non. Non, car ce n’est pas mon métier, et que c’est un ordre illégal, et j’ai interdiction d’obéir à un ordre illégal. Le jour, où un immeuble sera tenu entièrement par des terroristes de Daesh, la question ne se posera pas. La question qui se posera sera celle de savoir quels sont les civils qui sont à l’intérieur, et pourquoi le Raid ou le GIGN ne peut pas prendre en compte la mission. Attention, on est sur le territoire national. Mon problème est aux frontières, et quand la menace terroriste s’infiltre, la notion de frontières est alors ramenée à l’intérieur du pays. »

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Pour la Journée internationale des droits de l’Homme, l’ONU affiche une enfant avec le voile islamique

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

    La Journée des droits de l’homme est célébrée chaque année le 10 décembre, jour anniversaire de l’adoption en 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration universelle des droits de l’homme, un document fondateur qui a proclamé les droits inaliénables de chaque individu en tant qu’être humain, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. Cette déclaration est la première reconnaissance universelle du fait que les libertés et les droits fondamentaux sont inhérents à tout être humain, qu’ils sont inaliénables et s’appliquent également à tous, que nous sommes tous nés libres et égaux en dignité et en droits.

    ONU via fdesouche

  • JAMAIS DEUX SANS TROIS : LA NOUVELLE-CALEDONIE DIT ENCORE NON À L’INDÉPENDANCE !

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2021

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Le troisième scrutin d’autodétermination prévu par les accords de Matignon signés en 1988 entre le loyaliste Lafleur (RPCR), et l’indépendantiste Tjibaou (FLNKS), - sous l’égide de Michel Rocard, alors Premier ministre de François Mitterrand -, a eu lieu ce dimanche 12 décembre. Comme les deux précédents référendums, c’est le « non » à l’indépendance qui est sorti du chapeau.

    Mais cette fois-ci, la consultation avait une teneur particulière, les séparatistes du FLNKS ayant appelé au boycott des bureaux de vote. Prétexte trouvé ? La situation sanitaire. En fait, les héritiers politiques de Tjibaou n’étaient pas certains, cette fois encore, « d’emporter le morceau ». Ils préfèrent sans doute attendre l’inéluctable loi de la démographie : le jour où les Canaques seront plus nombreux que les Caldoches ! Mais ce calcul est-il judicieux ? Il n’y pas que les « blancs » qui sont opposés à la séparation d’avec la France. Les Wallisiens et autres immigrés du vaste Pacifique, y sont aussi, généralement, hostiles.

    Une île politiquement éclatée

    La Nouvelle-Calédonie jouit actuellement d’un statut intermédiaire entre celui d’une collectivité classique d’outre-mer, - le département/région, semblable à quelques nuances près, au statut métropolitain -, et celui de la Polynésie française, qui est un « pays », avec son président.

    Il y a une coalition séparatistes, le FLNKS qui regroupe sous son aile plusieurs mouvements, - l’Union calédonienne, le Parti de la libération Kanak (Palika), le Parti socialiste kanak (Psk), l’Union du peuple mélanésien (Mlm) et le Rassemblement démocratique (Rdo) -, et une opposition, elle aussi composite, comprenant les rescapés du RPCR de Jacques Lafleur, des membres, - majoritaires -, de la communauté européenne, des Wallisiens et, aussi, une bonne minorité de Canaques qui ont compris que leur avenir dans le pacifique s’écrirait avec la France.

    Le président de la République a acté les résultats, se félicitant « de ce cheminement inédit et pacificateur » et des « liens charnels et humains » qui lient ces îles du bout du monde à la métropole. Tiendra-t-il parole, et initiera-t-il de futures négociations entre toutes les parties pendant ce qui lui reste de mandat avant la « grande élection d’avril/mai » 2021 ? On le sait adepte du fameux « en même temps » : peut-on lui faire confiance ?

    Déjà, les indépendantistes ont demandé un nouveau référendum en 2022. Espèrent-ils, comme en Irlande pour un tout autre sujet, avoir in fine satisfaction ? Il est vrai que les résultats, tout à fait justes et légaux, ne reflètent pas la réalité des opinions. Avec 96 % de « oui » obtenus avec seulement un électeur sur deux s’étant déplacé, on peut légitimement douter de l’état d’esprit réel de l’opinion canaque. (Combien sont-ils restés chez eux, de peur de braver l’interdit ?) Mais la loi est la loi, et les accords sont les accords. Il était prévu qu’au terme du troisième référendum, les accords de Matignon cessaient de s’appliquer et que le processus devait changer de braquet. Ou bien des négociations s’ouvriraient pour aller jusqu’à l’indépendance en cas de victoire du « oui », ou bien d’autres discussions devraient mener à un statut définitif d’autonomie dans le cadre de la République française.

    Nous en sommes là. Les gens du FLNKS auront-ils recours à la violence pour venir à leurs fins ? C’est toute la question qui se pose, avec en toile de fond les manœuvres australiennes et surtout chinoises, puissances qui lorgnent d’un regard envieux  les ressources en nickel de la Grande terre, un quart des réserves mondiales de cette ressource bien nécessaire pour fabriquer des batteries électriques.

    La France, veut-elle conserver son rang de  grande puissance… « moyenne » ?

    Comme pour notre arsenal nucléaire, comme pour notre siège au Conseil de sécurité de l’ONU, la question est posée. Les Français veulent-ils que leur pays garde son rang et ne disparaisse pas dans le maelstrom européiste et atlantiste, ou sont-ils à ce point las de peser sur l’histoire du monde et de renoncer à ce que leur pays continue d’être, malgré eux, l’un des phares de l’humanité ? Les restes de notre empire colonial, - toutes ces « miettes » éparpillées dans notre outre-mer, les Antilles, la Réunion, les îles Eparses, l’Antarctique, le Pacifique -, nous assurent la possession du deuxième domaine maritime mondial, avec toutes les richesses supposées qui gisent dans les fonds marins.

    Alors, devrions-nous renoncer à la Nouvelle-Calédonie parce que 3 % d’indépendantistes ont fait le déplacement en faveur du « non », et que plus de 40 % sont restés chez eux ? Certes, l’avenir n’est écrit nulle part, mais il peut s’écrire en Nouvelle-Calédonie/Kanakie, - c’est comme cela qu’il faut dire désormais -, en lettres tricolores.

     

    Source : synthesenationale