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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1309

  • Affaire de la sextape : 10 mois de prison avec sursis requis contre Karim Benzema, accusé de complicité de tentative de chantage (MàJ : Verdict le 24 novembre)

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2021

  • Nice : sous cocaïne et alcool, sans permis, Mourad renverse Florian et Anaël qui rentraient du travail, il ressort libre du tribunal

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2021

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    Il a renversé deux personnes à scooter à Nice, un chauffard condamné immédiatement

     

    […]

     

    Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 1 heure du matin, Morad, 35 ans, au volant d’une puissante voiture allemande, a percuté de plein fouet le pilote d’un scooter et sa passagère à l’angle de la rue Barla et de la rue Arson.

    Florian et Anaël, gérants d’un bar à tapas, rentraient du travail après une dure journée de labeur.

     

    […]

     

    Le chauffard a cumulé les infractions: absence de permis de conduire, trace de cocaïne, alcoolémie positive, délit de fuite. “Vitesse excessive”

    […]

     

     L’automobiliste a déjà été condamné par le passé pour avoir conduit sans permis.

    Le tribunal présidé par Edouard Levrault s’est montré moins sévère que les réquisitions en laissant le prévenu repartir libre du tribunal…

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur Nice Matin

  • Paris : Aïssa Zerouati condamné pour plus de 30 viols, tentatives de viol et agressions sexuelles, certaines de ses victimes étaient enceintes ou âgées (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2021

     

    22/10/2021

    Le violeur de la forêt de Sénart condamné à 20 ans de prison en appel

     

    […]

    Trente-quatre viols, tentatives de viol et agressions sexuelles

    L’accusé, un père de famille sans histoires, résidant à Corbeil-Essonnes et vivant de petits boulots peu qualifiés, avait été mis en examen en 2015 pour 34 faits de viols, tentatives de viol et agressions sexuelles aggravées. Certaines de ses victimes étaient enceintes ou âgées et avaient été parfois menacées d’une arme. 

    […]

     

    La cour d’assises d’appel de Paris a suivi les réquisitions de l’avocat général Marc Mulet, qui avait demandé vingt ans de réclusion, brandissant la “preuve incontestable” de l’ADN. 

    Elle l’a toutefois acquitté pour trois des 34 faits et n’a pas assorti cette peine d’une période de sûreté des deux tiers tel que l’avait requis le parquet général, jugeant qu’Aïssa Zerouati “ne présente plus un état de dangerosité” le nécessitant

     

    […]

     

    L’article dans son intégralité sur France Bleu

  • La transition énergétique aura des conséquences lourdes sur notre économie et nos modes de vie.

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2021

    Plus que l’immigration, le  ou la délinquance, plusieurs sondages attestent que le dérèglement climatique est le sujet qui inquiète le plus les Français. Près des deux tiers pensent que les pouvoirs publics n’agissent pas assez en faveur de l’environnement, et c’est encore plus vrai quand on interroge les 16-25 ans.

    conséquences lourdes,économie,modes de vie,transition énergitiqueVisiblement, le matraquage écologique à l’école relayé aux âges moins tendres par celui des grands  confirme que la répétition est bien la figure la plus efficace de la rhétorique, surtout quand jamais un contradicteur n’est invité à s’exprimer. Ce doit être une grande satisfaction de constater, chaque soir, que « la télé pense comme moi ».

    Quoique sur des bases contestées par des centaines de scientifiques de haut niveau, le gaz carbonique (CO2) a donc été désigné comme ennemi mondial n° 1. Dont acte. En conséquence a été lancée une course planétaire à la  dont on constate, au passage, que les principaux pollueurs la font plutôt avec des chaussures de scaphandrier…

    Heureusement, il y a le bon élève, la Commission européenne et son « paquet climat » pour accélérer la cadence : réduction des émissions de CO2 de 55 % d’ici 2030, fin des véhicules à moteur thermique en 2035, sans oublier les freins à l’aviation et aux  routiers et maritimes, avec flambée des taxes sur les combustibles fossiles.

    Dans une récente note de l’Institut Thomas-More, Philippe Herlin expose les conséquences économiques et sociales de ces ambitions, à commencer par un besoin de financement européen de 11.200 milliards d’euros, estimation de la Cour des comptes de l’Union européenne. Pour la France, cette véritable cancel economy supposerait une décroissance forcée de 3 % par an pendant dix ans (dont il est facile d’imaginer l’effet sur l’emploi). Jamais, sans doute, dans l’histoire de l’humanité, des moyens aussi pharaoniques et destructeurs de richesses n’auront été consentis dans un but aussi aléatoire qu’hypothétique.

    Et en plus d’une baisse programmée du pouvoir d’achat des ménages, le « paquet climat » s’immiscerait dans les modes de vie les plus intimes de la population, non seulement au niveau de ses modes de déplacement (« la bagnole, c’est périmé »), mais aussi de son alimentation (« la viande, ça pollue ») ou de son habillement (véganisme) et même de l’habitat : l’interdiction de louer les « passoires thermiques » bouleversera le marché immobilier en raréfiant les locations. Plus rares, elles seront donc encore plus chères… Mme Wargon, ministre du Logement, ne vient-elle pas de confirmer que la maison individuelle n’aurait plus sa place dans  de demain ?

    Les millenials qui applaudissent en cadence les diatribes de sainte Greta ont-ils bien mesuré ce qui les attend ?

     

    Richard Hanlet

    Médecin
  • « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » : slogan éculé et mensonger

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2021

    « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » : slogan éculé et mensonger
     

    Par Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia ♦ « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire. » Tel est le pont aux ânes des immigrationnistes. Une affirmation constamment répétée depuis un demi-siècle (!) qui mérite un sérieux décryptage. Réfutation en 7 points.

    Un mensonge total

    1– Remarquons d’abord que cet argument s’inscrit dans une stricte logique économique. À supposer qu’il soit vrai (nous démontrerons que ce n’est pas le cas), il devrait être mis en balance avec d’autres facteurs et d’abord avec les conséquences nuisibles de l’immigration en termes d’identité, d’éducation, de sécurité ou encore de budget.

    2– Observons ensuite que les étrangers déjà présents en France ont un taux de chômage plus élevé que la moyenne nationale (18 % pour les étrangers venus d’Afrique contre 7 % pour les Français).

    Il en va de même pour les descendants d’immigrés non européens dont le taux de chômage cinq ans après l’entrée dans la vie active est deux fois plus élevé que celui d’un Français de souche (voir Immigration la catastrophe, que faire, page 46).
    Quitte à garder le slogan « Les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire », il serait donc plus juste de l’adapter et d’affirmer « les nouveaux immigrés font le travail que les Français et surtout les immigrés plus anciens et les descendants d’immigrés ne veulent pas faire. »

    3– En fait, la réalité est la suivante : l’entrée de nouveaux immigrés, même réguliers et surtout clandestins, fausse le marché du travail.
    L’arrivée d’une main d’œuvre précaire, au départ peu exigeante et souvent clandestine, biaise la concurrence et tire les salaires à la baisse. Ce qui décourage les anciens résidents en France de prendre ces emplois.
    Ceci vaut notamment dans les secteurs de l’hôtellerie/restauration, du bâtiment et des travaux publics, du contrôle et de la sécurité ainsi que des services à la personne.

    4– Nuançons toutefois ce propos. Cette fuite des Français de certains métiers concerne bien davantage les grandes villes que la France périphérique. Cela s’explique par les surcoûts immobiliers dans les grandes métropoles et le fait que les classes populaires de souche ont été refoulées très loin des centres villes. Ainsi le profil du personnel hospitalier et des soignants en EHPAD n’est pas le même en province et dans les grandes métropoles. Et ce alors même que dans les grands ensembles à forte population immigrée l’aide sociale et les trafics assurent souvent des revenus substantiels.

    5– Ceci étant, le recours à une main d’œuvre étrangère – clandestine ou non – n’est pas une fatalité. Bien au contraire il apparaît que les employeurs n’ont pas toujours le libre choix de l’embauche. SOS Racisme a réalisé un test sur les recherches en personnels des entreprises de bâtiment et des travaux publics et déplore que 45 % d’entre elles (45 %, ce n’est pas rien !) auraient aimé pouvoir discriminer à l’embauche selon l’origine en excluant les candidats de type non européen. Preuve s’il en est que l’africanisation de ces métiers n’est pas inéluctable.

    Les particuliers cherchant des aides ménagères ou à domicile se heurtent à la même difficulté d’orientation de leur recrutement. Une difficulté contournée par le personnel offrant ses services et précisant parfois « Français » ou « Dame portugaise ».

    6– L’argument selon lequel « les immigrés font le boulot que les Français ne veulent pas faire » est encore plus faux pour les métiers du contrôle et de la sécurité. Il y a encore 20 à 30 ans, beaucoup de jeunes Français de souche ayant poursuivi des études modestes trouvaient des débouchés comme agents de sécurité. L’idéologie « anti raciste » les a progressivement exclus de ces métiers. Pour une raison simple: en cas de conflit entre un agent de sécurité et une personne contrôlée et refoulée c’est la règle du « deux poids, deux mesures » qui s’applique :

    • l’agent de sécurité européen en conflit avec un Africain ou un Maghrébin sera souvent présumé « raciste » par les médias et les juges.
    • a contrario, c’est le quidam européen en contentieux avec un agent de sécurité africain ou maghrébin qui risquera d’être présumé « raciste ».

    Pour les employeurs, le choix est donc vite fait ! Sans parler du fait que recruter les membres d’une bande de racaille peut servir de police d’assurance…

    Dans ce secteur, il est particulièrement faux de dire qu’on ne trouve pas de Français de souche pour travailler puisqu’ils sont exclus de fait de l’accès à l’emploi !

    7– Ajoutons que les politiques publiques ont pu créer des pénuries artificielles de main d’œuvre : on pense en particulier à la médecine et à la chirurgie dentaire.
    Difficile d’affirmer que personne ne veut être médecin hospitalier ou dentiste, mais le numerus clausus organisé par les gouvernements successifs a créé des pénuries artificielles.

    Recréer une dynamique du travail français

    Voilà qui permet d’affirmer que recréer une dynamique du travail français est possible par un ensemble de mesures :

    • une dissuasion réelle du travail clandestin par un strict contrôle aux frontières et la fermeture administrative des entreprises employant des clandestins ;
    • l’abrogation de la loi Pleven pour rendre aux employeurs le libre choix de leur personnel et recréer un marché d’emploi pour les autochtones ;
    • et ce dans le cadre de la préférence nationale rétablie dans la Constitution ;
    • la révision du code des marchés publics pour y imposer la préférence nationale à l’emploi et la traque des sous-traitants indélicats.

    Cet ensemble des mesures produira mécaniquement une réévaluation de ces métiers (hôtellerie, restauration, sécurité, aides ménagères, aides à la personne, bâtiments/travaux publics) par l’amélioration des conditions et des relations de travail comme par la hausse mécanique des salaires par le jeu de l’offre et de la demande. D’autant que la diminution des coûts sociaux et médicaux du fardeau de l’immigration devrait permettre une baisse des charges sociales.

    Enfin les parcours scolaires devraient accompagner ce mouvement en revalorisant les métiers manuels et de force. Par une réhabilitation de l’apprentissage, de l’enseignement professionnel et de l’exercice physique.

    Jean-Yves Le Gallou
    20/10/2021

     

    Source : polemia