GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1724

  • Antony (92) : Attaque à l’arme blanche en pleine rue, 3 blessés graves dont 2 personnes entre la vie et la mort

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2020

    Trois personnes ont été attaquées à l’arme blanche, samedi dans la soirée à Antony (Hauts-de-Seine). Deux d’entre elles se trouvent entre la vie et la mort. L’agresseur présumé a été interpellé.

    (…)

    L’agresseur présumé a été interpellé. La Préfecture de Police, dans un message sur Twitter, précise que celui-ci est connu pour des troubles psychiatriques. Une enquête est ouverte, confiée au service départemental de police judiciaire (SDPJ) des Hauts-de-Seine. Le parquet de Nanterre confirme une “triple tentative de meurtre”.

    France Bleu via fdesouche

  • La crèche installée au Vatican est, comment dire…

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2020

    Oui oui, ce bazar moche installé sur la place Saint Pierre n’est pas une représentation de la Guerre des Etoiles, c’est censé être une crèche !

    François 0 salit décidément tout et sa conception de la religion catholique ne cesse d’étonner.

    Regardons de plus près le personnage en arrière plan. Nous ne savons pas qu’il est censé représenté, mais il a une allure démoniaque, non ?

     

    Source : contre-info

  • Miracle : la grippe a disparu

    Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2020

    Miracle : la grippe a disparu

    Lu dans Le Parisien :

    Les chiffres qui seront publiés aujourd’hui devraient confirmer l’absence d’épidémie cette année. Une maladie qui fait d’ordinaire entre 10 000 et 15 000 morts par an en France.

    […] Quand l’été survient en Europe, l’hémisphère Sud, caractérisé par le même climat tempéré, s’emmitoufle et c’est donc de juin à septembre que survient là-bas l’épidémie de grippe hivernale. Or, cette contagion, surprise, n’a presque pas eu lieu. […]

    Si la grippe frappe généralement entre la fin de l’année et mars, elle reste imprévisible, tantôt en avance, tantôt en retard, répètent les scientifiques. Mais une chose est sûre : à cette époque, cette maladie qui cause 10 000 à 15 000 morts par an dans l’Hexagone devrait commencer à circuler et s’intensifier. « Elle est où ? interroge, ironique, Serge Smadja, à la tête de SOS Médecins. On devrait en voir un peu mais, à l’heure actuelle, il n’y a rien. » Depuis octobre, seuls six cas ont été repérés à l’hôpital en France, dont deux chez des personnes de retour d’un voyage à l’étranger. Une tendance que devrait confirmer Santé publique France, qui publie aujourd’hui de nouveaux chiffres.

    Chaque année, le virus respiratoire syncytial ou VRS, responsable de bronchiolites chez les nourrissons, se propage avant la grippe et s’arrête lorsqu’elle commence. Or, cet automne, « son niveau a été très bas, comme le montre notamment le nombre de passages aux urgences », poursuit l’épidémiologiste Sibylle Bernard-Stoecklin. « D’habitude, à cette période, j’en vois tous les jours dans mon cabinet, s’étonne le généraliste Jean-Paul Hamon, président d’honneur de la Fédération des médecins de France, mais là, grâce aux gestes barrière, j’ai dû recevoir 3 ou 4 patients max, c’est une surprise ! » L’horizon reste aussi calme du côté de la gastro-entérite. Seul le rhinovirus, à l’origine de rhumes, s’est vraiment manifesté, lors de la rentrée des classes. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • Lettre du Professeur Bouscau à l’évêque de Blois après sa participation aux obsèques de Valéry Giscard d’Estaing

    Publié par Guy Jovelin le 12 décembre 2020

    Ci-dessous, copie d’une lettre de protestation envoyée par le Professeur Franck Bouscau à Mgr l’évêque de Blois, qui a célébré les obsèques du président Valéry Giscard d’Estaing, père de la loi sur l’avortement.

     

    Franck BOUSCAU
    Professeur Agrégé à la Faculté de Droit.
    Avocat honoraire à la Cour de Paris – Spécialiste en Droit Public
    Maître en Droit Canonique.
    75013 Paris

    Paris, le 6 décembre 2020.
    Monseigneur Jean-Pierre BATUT.
    Evêque de Blois.

    Monseigneur.

    Simple fidèle catholique, et un peu canoniste, je viens, comme cela est loisible à tout laïque, vous faire part de ma désapprobation relative au traitement qui a été réservé par l’Eglise au président Giscard d’Estaing lors de ses obsèques que vous avez présidées, lequel me paraît constituer un scandale.

    M’abstenant de considérations politiques, je rappellerai seulement que Valéry Giscard d’Estaing, lorsqu’il était président de la République, a fait adopter l’odieuse loi Veil sur l’avortement. Or cet acte est réprouvé par le droit canonique qui sanctionne les «procurantes abortum » par la peine suprême de l’excommunication (CJC 1917, canon 2350 §1 ; CJC 1983, canon 1398). Dans sa sagesse, la sainte Eglise a voulu marquer ainsi la gravité de ce crime. Le pape Jean-Paul II, bien inspiré sur ce point, disait que « le premier droit de l’homme, c’est de vivre. »

    Or Valéry Giscard d’Estaing a été enterré comme un chrétien et non comme un excommunié. Le fait qu’il ait été le président d’une République qui s’affirme agressivement laïque et qui a, depuis 1905, déchiré le pacte solennel conclu avec l’Eglise catholique change-t-il quelque chose à son péché public? Ou bien celui qui a procuré le moyen juridique de procéder à des milliers d’avortements aurait-il échappé à la sanction canonique prévue pour un seul de ces actes ?

    Il est choquant de voir des prêtres, et en particulier des évêques, se précipiter pour enterrer avec « les honneurs de l’Eglise » des personnages dont la vie publique a foulé aux pieds les valeurs chrétiennes. L’on pense à ces évêques orthodoxes qui sont allés honorer Staline après sa mort… Encore avaient-ils excuse d’être forcés.

    J’ai le regret de vous dire qu’en présidant les obsèques de Valéry Giscard d’Estaing, au surplus revêtu de vos ornements épiscopaux, vous avez prôné par l’exemple le mépris du droit et de la discipline ecclésiastiques. Lors des funérailles de Jacques Chirac, son complice dans la «libéralisation» de l’avortement, j’avais déjà attiré l’attention de votre confrère, Mgr Aupetit, archevêque de Paris, sur le scandale qu’avait constitué alors sa présence et celle d’autres évêques. Je lui disais, et je vous dis aujourd’hui, que les autorités ecclésiastiques étaient tenues de refuser l’entrée des églises à ce genre de personnages.

    Que l’on ne me dise pas que je juge alors que nous ne devons pas juger. Je ne fais que tirer les conséquences d’actes publics au for externe et appeler au respect de la discipline ecclésiastique, qui n’est pas facultative. Pour le reste, Valéry Giscard d’Estaing relève désormais du tribunal de Dieu et je ne porte aucun jugement sur son sort éternel.

    Que l’on ne m’oppose pas la miséricorde. En effet, celle-ci n’est due qu’au pécheur qui la demande en se repentant. Et je ne sache pas que le président Giscard se soit jamais repenti d’avoir activement agi en faveur du vote de la loi sur l’avortement. Et d’ailleurs, si tel était le cas, sa repentance aurait dû être rendue publique (et ses obsèques auraient dû se dérouler discrètement et sans la présence d’évêques) ;

    Je termine en précisant–mais la chose me semble aller de soi–que je ne vous connais pas personnellement et que ne suis mû par aucune hostilité envers votre personne. Ma démarche vise seulement à rappeler que les catholiques sont en droit d’espérer des évêques catholiques plutôt que des évêques républicains.

    Je prie votre Excellence d’agréer l’expression de mon respect pour ses hautes fonctions et l’assurance de ma prière à son intention.

    Franck BOUSCAU

    Copie : Nonciature apostolique.

     

    Source : contre-info

  • La dhimmitude en marche

    Publié par Guy Jovelin le 11 décembre 2020

    affaire mila,dhimmitude,islam,militaires

    La dhimmitude en marcheValeurs Actuelles fait le point sur l’affaire Mila, cette jeune lycéenne menacée par des musulmans :

    En janvier dernier, la jeune Mila avait quitté son lycée en raison des menaces de mort dont elle était la cible après sa vidéo sur l’islam. La lycéenne avait alors rejoint en février un établissement militaire. Mais l’aventure vient de prendre fin. Selon les informations du Point, le colonel qui dirige cet établissement a en effet décidé d’exclure Mila en raison d’un “live” avec quelques amis, sur les réseaux sociaux, au cours duquel l’adolescente a cité le nom de l’internat où elle vivait. Une décision qui a profondément touché le père de la lycéenne. « On s’est débarrassé de Mila au premier prétexte trouvé […]. Si même l’armée ne peut pas la protéger et lui permettre de poursuivre sa scolarité, que pouvons-nous faire, nous, ses parents ? Ce constat est pour nous un film d’horreur », explique-t-il dans une lettre publiée dans le Point et dans laquelle il s’adresse « aux lâches ».

    [… Depuis le 18 janvier, les menaces et insultes dont est victime l’adolescente de 17 ans ne se tarissent pas, en dépit de la multiplication des procédures judiciaires et des condamnations. Ces dernières semaines, des internautes, le plus souvent anonymes, lui promettaient de lui « faire une Samuel Paty », en référence au professeur d’histoire-géographie décapité le 16 octobre pour avoir montré des caricatures de Mahomet en classe.

    Cette affaire devrait faire prendre conscience que l’Armée française ne sera pas la cavalerie qui viendra nous sauver “au dernier moment”, comme dans les films. Il y a encore beaucoup de naïveté autour de l’hypothèse du “recours à l’armée”. Et c’est sans doute ce qui fait actuellement monter le général de Villiers dans les médias. Or, il faut arrêter de croire que notre pays peut continuer à se précipiter vers le chaos, en accueillant des musulmans chaque année, mais que tout finira par bien se terminer. Les exemples libanais, serbe et aujourd’hui arménien devraient pourtant nous ouvrir les yeux : il n’y aura pas de cavalerie, pas d’homme providentiel, ni d’armée fantasmée, qui nous sauveraient des conséquences de nos erreurs. Si on a fait venir 25% de musulmans sur notre sol, il faudra vivre dans un pays qui compte 25% de musulmans, avec les conséquences que cela implique. Les reculs du gouvernement concernant la loi sur le séparatisme, destinée à lutter contre l’emprise islamiste sur notre sol après l’affaire Paty, et qui se révèle désormais une loi restreignant les libertés de tous les Français, en est un exemple criant. C’est une raison de plus pour couper les flux migratoires au plus vite, et organiser la remigration.

     

    Source : lesalonbeige