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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 22

  • Une nouvelle loi pour traquer l’antisémitisme dans les universités

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

    Une nouvelle loi pour traquer l'antisémitisme dans les universités

    L’Assemblée nationale a adopté le 2 juillet 2025 une nouvelle loi relative à la lutte contre l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur. 

    Toujours plus de police de la pensée

    Que prévoit cette loi ? Elle encourage la délation au sein du monde universitaire de quiconque émet une opinion qui s’écarte de la doxa.

    « Tout membre du personnel ayant connaissance d’un fait d’antisémitisme, de racisme, de discrimination, de violence ou de haine survenu dans ou en dehors de l’établissement, ayant un lien avec la vie universitaire, le signale sans délai auprès du dispositif mentionné au premier alinéa. »

    Or, sur base des interprétations actuelles, toute critique de la politique israélienne sera considérée comme de l’antisémitisme. De même que toute critique de l’idéologie du genre sera associée à de la discrimination.

    Cette loi doit aussi servir à mener une campagne d’épuration parmi ceux qui travaillent en milieu universitaire, comme en témoigne ce paragraphe :

    « Ce décret précise également les mesures d’interdiction d’accès aux enceintes et locaux qui peuvent être décidées par le président ou le directeur de l’établissement à l’encontre des usagers faisant l’objet d’une procédure disciplinaire »

    Seule l’extrême gauche s’y oppose, le RN de plus en plus supplétif du pouvoir

    Les députés ont été 366 députés à voter pour. Seuls 88 députés d’extrême gauche – des députés de La France insoumise (65), du groupe communiste (12) et des écologistes (11) – ont voté contre ce texte. Pas un seul député du RN n’a voté contre une telle loi.

    Plus de soixante députés (tous de La France Insoumise sauf le député communiste Jean-Paul Lecoq), en application de l’article 61§2 de la Constitution, ont saisi le Conseil constitutionnel et dénoncent un texte qu’ils jugent flou et qui pourrait porter atteinte à la liberté d’expression et à la liberté académique. Ils soulignent qu’un article de cette loi crée une « section disciplinaire commune » aux établissements d’une même région académique et « méconnaît notamment les principes de clarté, d’intelligibilité de la loi et de sûreté, ainsi que la séparation des pouvoirs ».

    Le recours cible notamment la liste des faits passibles d’une sanction disciplinaire selon ce nouveau texte de loi qui vise également « les faits commis en dehors de l’établissement (…) lorsqu’ils présentent un lien suffisant avec l’établissement ou les activités qu’il organise ».

    Les députés qui ont saisi le Conseil constitutionnel estiment que de ces formulations floues « résulte un risque conséquent d’arbitraire dans les décisions prononcées ».

    Il en résulte, selon ces députés, un risque d’« atteinte à la liberté d’expression » des étudiants, « visant à sanctionner certaines idées et opinions, leurs prises de position politiques, leur engagement syndical ou les manifestations étudiantes ».

    Le Conseil constitutionnel, qui a le pouvoir de censurer tout ou partie de la loi, doit statuer dans un délai d’un mois.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • « Je ne peux pas rentrer au Maroc, je suis athée » : à Libourne (33), un migrant sous OQTF condamné à du sursis pour attouchements au lac des Dagueys ; une autre procédure en cours pour des faits similaires sur mineur

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

    Un homme a été jugé ce lundi 7 juillet pour des contacts à connotation sexuelle imposés à une femme dans l’eau du lac des Dagueys. Le prévenu est également visé par une autre procédure pour des faits similaires sur mineur

    […]

     

    « J’ai touché personne », tente de se défendre le prévenu dans un français hésitant. « C’est un complot. Il y avait beaucoup de monde dans l’eau. » Pourtant, à la gendarmerie, la plaignante reconnaît formellement son agresseur, connu pour une autre affaire d’attouchements sexuels sur mineur.

    Au cours de l’enquête, les gendarmes découvrent que le prévenu fait l’objet d’une Obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis le 26 septembre 2023, et qu’il était tenu de se présenter régulièrement au commissariat de Bordeaux, ce qu’il n’a jamais fait. « Je ne peux pas rentrer au Maroc, je suis athée », tente-t-il de justifier.

    Le prévenu a été condamné à six mois d’emprisonnement avec sursis. Il lui est en outre interdit se rendre sur la plage des Dagueys et sur tout lieu de baignade public, avec exécution provisoire d’un an. Il comparaîtra à nouveau en septembre 2025 dans une autre affaire, cette fois pour des attouchements sexuels sur mineur.

    Sud-Ouest via fdesouche.

  • Le président Macron vient, une nouvelle fois, de prendre une décision catastrophique pour le patrimoine

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

    lafautearousseau

    Nous ne sommes pas, en soi, contre le prêt des oeuvres d'art : la Joconde est bien allé à New York ! Mais, pour ce qui est du Telle du Conquest (vrai nom de ce que l'on appelle "la tapisserie de Bayeux), c'est différent. Et Macron agit avec légèreté, tel un despote, cataclysmique...

    Entièrement d'accord avec La Tribune de l'Art : 

    "Le président Macron vient, une nouvelle fois, de prendre une décision catastrophique pour le patrimoine, c’est-à-dire de décider, lui tout seul, contre l’avis des conservateurs et des restaurateurs qui connaissent la tapisserie de Bayeux, de la prêter à l’Angleterre.
    Nous avions longuement enquêté à ce sujet lorsqu’il en avait déjà été question, il y a sept ans, et nous avions publié cet article. Nous le remettons à la une car nous n’avons pour l’instant pas grand-chose à ajouter.
    Nous allons, évidemment, enquêter à nouveau sur cette affaire et nous y reviendrons rapidement."

    https://www.latribunedelart.com/pourquoi-la-tapisserie-de-bayeux-ne-peut-et-ne-doit-pas-voyager

     

  • Enterrement de l’affaire Epstein : l’hypothèse de Tucker Carlson

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

    Le scandale sexuel de Jeffrey Epstein implique des hommes puissants, des VIP
    Le scandale sexuel de Jeffrey Epstein implique des hommes puissants, des VIP

    L’enterrement de l’affaire Epstein par l’administration Trump provoque de nombreux remous au sein de la base MAGA qui soutient l’actuel Président des Etats-Unis. Tucker Carlson, l’un des journalistes et influenceurs de la sphère MAGA les plus écoutés et suivis, a son hypothèse.

    L’enterrement de l’affaire Epstein : la base MAGA se retrouve trahie

    Le 6 juillet, le site web d’information américain Axios publiait un article affirmant que le ministère de la Justice américain, le DOJ, et le FBI concluaient qu’ils n’ont trouvé « aucune preuve crédible » de chantage ou de liste de clients, et que la vidéo de la cellule d’Epstein soutient la thèse du suicide.

    La base MAGA se retrouve trahie, et les critiques virulentes émanant des partisans de Trump pullulent sur Internet contre l’actuel Président des États-Unis.

    Tucker Carlson, l’un des journalistes et influenceurs de la sphère MAGA les plus écoutés et suivis, émet son hypothèse qui est plus que crédible à propos des raisons pour lesquelles le ministère américain de la Justice ne publie pas les dossiers d’Epstein:

    « Je ne vois que deux explications possibles. (…) La première, c’est que Trump est impliqué, qu’il est sur la liste, qu’ils ont un enregistrement où Trump fait quelque chose de terrible. (…) L’autre est que les services de renseignement sont au cœur de cette histoire. Les services américains et israéliens, et ils les protègent. »

    Les services de renseignement américains et israéliens sont au cœur de cette histoire, et Trump les protège

    « Évaluons simplement cela de manière logique. Le ministère de la Justice couvre cela. L’actuel ministère de la Justice, dirigé par Pam Bondi, couvre des crimes, des crimes très graves, selon leur propre description. Pourquoi font-ils cela ? En fait, je ne vois que deux explications possibles. Peut-être en avez-vous une autre.

    « La première est que Trump est impliqué, que Trump est sur la liste, qu’ils ont un enregistrement où Trump fait quelque chose d’horrible. Je n’y crois pas pour deux raisons. Premièrement, j’ai parlé de cela à plusieurs reprises avec Trump, et je… je le connais. Il n’est pas comme ça, vous savez, quels que soient ses péchés. Je ne pense pas qu’il soit ce genre de personne, en fait. Je ne pense pas qu’il aime les choses sexuelles horribles. Ce n’est que mon opinion.

    « Mais plus encore, je pense que ce qui est plus convaincant, c’est que toute cette information était entre les mains de l’administration Biden. Et s’il y avait des preuves que Trump était impliqué dans des activités sexuelles illégales, pensez-vous que les personnes qui ont inventé le « Russiagate » n’auraient pas divulgué cette information ? Allons donc.

    « Donc, la seule autre explication que je puisse trouver, encore une fois, peut-être en avez-vous une autre, c’est que les services de renseignement sont au cœur de cette histoire. Les services américains et israéliens, et ils les protègent. »

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Perquisition du siège du Rassemblement National

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

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    Hier matin, la brigade financière, accompagnée de deux juges d’instruction, a procédé à la perquisition du siège du Rassemblement National. Ce nouvel épisode judiciaire s’inscrit dans une longue série de dérives qui démontrent une chose claire : lorsqu’on se vend au Système, on finit par en subir les pires conséquences.
    Le RN, en reniant ses fondamentaux, en abandonnant la ligne de rupture avec le Système et en préférant les salons dorés de la République aux luttes populaires, récolte aujourd’hui les fruits amers de cette trahison. La compromission finit toujours par se retourner contre ceux qui croyaient pouvoir composer avec les forces qu’ils prétendaient combattre.
    Marine Le Pen, en s’agenouillant face à l’ordre établi, en refusant de censurer la nomination de François Bayrou — symbole assumé de la continuité du régime Macron — a laissé passer une occasion majeure de bloquer la machine institutionnelle du pouvoir. Cette inaction, cette volonté de respectabilité dans le cadre pourri de la Ve République, a marqué le début d’une stratégie de reddition qui se paie aujourd’hui au prix fort.
    Pire encore : c’est le Rassemblement National lui-même qui a rendu possible l’accession de l’ignoble Richard Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel, une institution censée garantir l’État de droit mais devenue un bastion d’impunité pour les puissants. Ferrand, condamné pour prise illégale d’intérêts, visé à plusieurs reprises pour des faits graves, incarne à lui seul cette République des copains et des corrompus. Là encore, le RN s’est abstenu, a baissé la tête et a trahi l’espérance populaire qu’il prétend incarner.
    Il n’y a aucune stratégie viable face au Système qui ne soit celle de l’affrontement frontal, déterminé, sans compromission. Le combat doit être mené avec la tête haute et les mains propres, comme le faisait le Front National de Jean-Marie Le Pen qui, malgré toutes les persécutions politiques, n’a jamais été empêtré dans ce genre d’affaires judiciaires sordides.
    L’heure est grave. Il est temps de revenir à une ligne claire, de rupture totale avec ce régime en décomposition, sans calculs électoralistes ni soumission au simulacre institutionnel. Le peuple français mérite une opposition digne, incorruptible, intransigeante. Tout le reste n’est que reniement, carriérisme et lâcheté.
    Le Parti de la France est aujourd’hui le seul parti qui combat ouvertement le Système et qui ne se vendra jamais aux forces de la décadence. Fidèle à la Nation, fidèle au peuple, fidèle à ses principes : notre ligne est droite, notre parole est libre, notre combat est total.
     
    Maxime Morlon - Secrétaire général adjoint du Parti de la France