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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 19

  • Les Scouts ont toujours un couteau sur eux.

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2025

    lafautearousseau

     Entièrement d'accord avec Aurélien Marq :

    "Les Scouts ont toujours un couteau sur eux. Pourtant, pas d'agressions au Puy en Velay. Pas d'agressions non plus au pèlerinage de Chartres, où les Scouts sont nombreux. Le problème, ce n'est pas les couteaux."
     
    (extrait vidéo 0'30)

    https://x.com/AurelienMarq/status/1932671431420051603

    Couteaux Opinel pour Scouts : L'outil indispensable en plein air

  • l'assassin de Mélanie serait d'origine tunisienne.

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2025

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    Thomas Joly

    Jean Messiha a révélé sur X que l'assassin de Mélanie, surveillante au collège de Nogent, s'appellerait Quentin Ghenouchi et qu'il serait d'origine tunisienne.
    Si les médias ont lâché très vite le prénom de l'assassin, le nom de famille était jusqu'alors soigneusement gardé secret.
    Exactement comme pour Justin Adar Polat, d'origine kurde, qui avait massacré Lorène de 57 coups de couteau à Nantes il y a un mois et demi.
    Cette dissimulation est évidemment tout sauf innocente...

     

  • Violences après violences, émeutes après émeutes : toujours les mêmes modes opératoires, toujours les mêmes profils

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2025

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    Synthèse nationale

    Manifestement, la mémoire fait défaut aux journalistes et commentateurs qui interviennent sur les ondes. À l’issue des violences qui ont accompagné la victoire du PSG, les 31 mai et 1er juin derniers, aucun n’a mentionné le rapport fait en juillet 2024 par l’inspection générale de l’administration (IGA) et l’inspection générale de la justice (IGJ), après les scènes de guérilla urbaine du mois de juin 2024 (dont le prétexte fut la mort d’un jeune voyou à Nanterre). Pourtant, ce qui est dit dans ce travail peut être repris pour commenter n’importe quel autre "événement" de même nature. En effet, émeute après émeute, les profils, les motivations, les cibles et les modes opératoires demeurent les mêmes, comme on peut facilement le voir sur les nombreuses images tournées… par les émeutiers eux-mêmes !

    Le rapport rendu le 25 août 2024 souligne d’abord la volonté des excités « de porter atteinte à tout ce qui représente l’autorité publique », tout en évoquant leur modus operandi : « Tirs d’engins pyrotechniques, jets de projectiles incendiaires contre les forces de sécurité et des bâtiments, incendies volontaires de mobiliers urbains, véhicules et immeubles, tags hostiles aux forces de l’ordre, intrusions avec violence dans des locaux publics, pratiqués isolément ou en groupes constitués, (…) vols après effractions de magasins (alimentation, vêtements, bureaux de tabac, bijouteries…) commis en réunion ». 

    Il dénonce ensuite « des délinquants (…) entretenant un rapport décomplexé à la violence, en manque d’ancrage citoyen » et pour la plupart « sous influence de messages audiovisuels et musicaux vantant les trafics de stupéfiants, banalisant la violence et très hostiles aux forces de sécurité intérieure ». Le plus souvent, il s’agit d’hommes âgés en moyenne de 23 ans, de nationalité française, mais en « grande majorité » issus « de l’immigration (2e et 3e génération), principalement du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne ». La plupart des émeutiers sont donc des célibataires sans enfant, vivant chez leurs parents, lycéens ou étudiants, inactifs ou chômeurs ; ils sont aussi sans antécédents judiciaires. Quant aux « nombreux mineurs impliqués, (la plupart sont) sans aucun lien avec les services sociaux et (sont) inconnus des travailleurs sociaux implantés dans les quartiers ». 

    Enfin, pour ce qui est de leurs motivations, le rapport met l’accent (à partir des déclarations des individus mis en cause) sur « l’opportunisme, l’influence du groupe, la curiosité, la recherche d’adrénaline » ; à quoi on pourrait ajouter la bêtise, l’insensibilité, la détestation du pays d’accueil ou le mépris qu’il leur inspire, voire la catharsis, puisque le texte parle d’« un gigantesque défouloir  dans lequel se confronter aux forces de l’ordre (se voulait) festif » !

    Pour conclure, on peut dire qu’il s’agit à chaque fois de sarabandes infernales menées non par des "barbares", mais par des "sauvages", au sens du dictionnaire : qui n’est pas domestiqué ; qui croît naturellement sans être cultivé ; inculte ; qui se fait spontanément ; brutal, féroce ; qui vit en dehors de la civilisation.

    Bref, ce sont des individus laissés en friche. Ils grandissent ensemble, se coupent très tôt des adultes, s’abrutissent sur les réseaux sociaux, déteignent les uns sur les autres et se corrompent mutuelle-ment. Sans véritable éducation, morale, repères et connaissances, ils sont capables de tout et dénués d’empathie. L’autorité, la discipline, les contraintes, les rebutent. Globalement, ils ne savent rien, ne comprennent rien, ou pas grand-chose, sont incapables de fournir des effort soutenus, continus, mais ont une haute opinion d’eux-mêmes. Leur bêtise est du genre qui s’affiche. Nombrilistes et matérialistes, ils ont le culte de l’apparence, du muscle, des marques, du bling-bling ; aussi recherchent-ils l’argent facile…

    Ils sont les produits de l’immigration, mais aussi de l’aveuglement et des erreurs de nos gouvernants, de l’idéologie dominante, de notre Éducation nationale, de notre société. Ils sont un fardeau et une plaie que nos élites ont fabriqués de toute pièce !     

  • Les musulmans bientôt plus nombreux que les chrétiens dans le monde

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2025 

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    Une étude fort intéressante sur l’évolution des religions dans le monde entre 2010 et 2020 vient de sortir le 9 juin 2025.

    Un bon résumé de cette étude :

    Alors que le christianisme est resté la plus grande religion au monde entre 2010 et 2020, une récente étude du Pew Research Center révèle que l’islam a connu la plus forte croissance démographique parmi toutes les religions pendant cette décennie.

    Le rapport intitulé « Comment le paysage religieux mondial a changé entre 2010 et 2020 », publié récemment, s’appuie sur plus de 2 700 sources, dont des recensements nationaux, des enquêtes démographiques et des registres de population. Certaines estimations du rapport proviennent de données de 2020 qui n’ont été disponibles qu’en 2024, en raison de la pandémie de COVID-19 qui a retardé la publication des données de recensement dans au moins 65 pays.

    L’étude couvre 201 pays et se concentre sur sept catégories religieuses : les chrétiens, les musulmans, les hindous, les bouddhistes, les juifs, les adeptes d’autres religions moins connues et les personnes sans affiliation religieuse.

    Selon le rapport, le nombre total de chrétiens a augmenté de 122 millions entre 2010 et 2020, tandis que le nombre total de musulmans a augmenté de 327 millions — « plus que toutes les autres religions réunies ». En 2020, la population chrétienne mondiale s’élevait à 2,3 milliards, contre 2 milliards pour les musulmans.

    Outre les musulmans, le seul autre groupe à avoir augmenté en proportion de la population mondiale est celui des personnes se déclarant sans religion, appelées les « non affiliés ».

    Le rapport qualifie ce phénomène de « frappant », car les personnes sans affiliation religieuse sont généralement plus âgées et ont un taux de fécondité plus bas, ce qui constitue un « désavantage » en matière de croissance démographique.

    Pourtant, fin 2020, les « non affiliés » représentaient 24,2 % de la population mondiale, faisant d’eux le troisième plus grand groupe étudié, derrière les chrétiens et les musulmans. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • Surveillante de 31 ans sauvagement poignardée

    Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2025

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    Mardi 10 juin, une surveillante de 31 ans a été sauvagement poignardée à mort par un collégien de 14 ans devant le collège Françoise-Dolto de Nogent (Haute-Marne). Le tueur, lui, est en garde à vue, silencieux, et protégé par une justice complice de l’impunité des mineurs.
    Face à ce drame, le président de la République n’a rien trouvé de mieux que de proposer d’interdire les réseaux sociaux aux mineurs. François Bayrou, Premier ministre par défaut, parle lui d’interdire les couteaux aux mineurs. D’autres — dans un délire sécuritaire vide de sens — veulent installer des portiques de sécurité dans les écoles. Voici le plus haut degré de la répression que peuvent envisager les individus qui nous gouvernent.
    Ces réponses sont aussi absurdes que lâches.
    Ce ne sont pas les objets qui tuent. Ce sont les individus.
    Le véritable problème n’est ni un réseau social, ni un couteau.
    Le véritable problème, c’est l’effondrement de l’autorité, de la morale et de la justice pénale, orchestré par des décennies de gauchisme éducatif et judiciaire. Et aucun portique de sécurité ne réglera le véritable problème.
    Ce criminel ne risque aucune peine réellement dissuasive.
    En vertu du droit actuel, un mineur de 14 ans ne peut encourir que la moitié de la peine prévue pour un adulte.
    La peine maximale théorique pour un mineur de 14 ans, c’est 20 ans de réclusion criminelle (contre 30 en droit commun).
    Dans les faits, les cours d’assises des mineurs prononcent rarement plus de 10 à 12 ans de détention.
    Avec les remises de peine automatiques, ce meurtrier pourrait sortir à 24 ans.
    Après avoir tué une mère de famille et privé un enfant de sa mère, le message que l’on va adresser à ce criminel, c’est qu’il passera dix ans dans un centre pour mineurs à jouer à la PlayStation ou à la Xbox. Puis, à 24 ans, il pourra ressortir et recommencer à faire des conneries, et la société lui ouvrira les bras. Au prochain crime, son avocat expliquera, devant la justice des majeurs, qu’il n’a pas eu de chance étant petit, qu’il a connu la prison et qu’il a de nouveau déconné. Et naturellement, on va vous demander encore un petit peu de pognon pour le réinsérer.
    Voilà où nous en sommes.
    Le délire rousseauiste doit cesser.
    À chaque drame, l’Éducation nationale, les ministres et les syndicats pleurnichent :
    « Il n’avait pas de profil à risque »,
    « Il était ambassadeur contre le harcèlement »,
    « Il faut comprendre ce qui a pu le pousser à ça ».
    Non. Il ne faut pas comprendre. Il faut punir.
    La France s’est perdue dans une idéologie éducative rousseauiste, qui croit que l’homme est naturellement bon et que la société le corrompt. C’est faux. Il existe des adolescents violents, haineux, délinquants, parfois tueurs. Et ce n’est pas en leur expliquant les valeurs de la République qu’on les civilisera.
    Une société sans répression est une société sans loi. Et une loi sans sanction est une société dangereuse et injuste.
    Ce que propose le Parti de la France :
    1. Suppression de l’atténuation automatique des peines pour les mineurs.
    • Un mineur assassin doit être jugé comme un majeur.
    • La minorité ne peut pas être un bouclier contre la justice.
    2. Rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus graves, y compris ceux commis par des mineurs, lorsque la préméditation et la barbarie sont établies.
    3. Réforme radicale du système éducatif et judiciaire :
    • Rétablissement de l’autorité, des punitions immédiates, des internats disciplinaires.
    • Expulsion automatique de tout élève violent et placement en structure fermée.
    Les Français veulent vivre en paix. Ce n’est ni en supprimant TikTok, ni en interdisant les couteaux qu’on y parviendra.
    C’est en rétablissant l’ordre, la peur du châtiment et le respect de la vie humaine… qui va d’abord à celle du bon citoyen et dont le criminel se coupe par ses agissements !
    Juste avant d’écrire ce communiqué, j’ai lu un article du Figaro titré « Iran : les autorités procèdent à l’amputation des mains de deux condamnés pour vol ».
    C’est très bien. Il ne faut avoir aucune pitié pour les délinquants et criminels. Et ces deux voleurs-là, nous savons qu’ils ne recommenceront pas.
     
    Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France