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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 298

  • « Ce n’est pas à nos enfants de se barricader ! » : Insécurité, nuisances… à Briançon (05), les riverains ne supportent plus la cohabitation forcée avec les migrants. « On ne sert à rien », regrette un policier

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2023

    REPORTAGE – L’augmentation du nombre de migrants qui tentent de passer à la frontière avec l’Italie crée des tensions dans cette petite ville des Hautes-Alpes, entre habitants inquiets, associations hyperactives, squatteurs menaçants et policiers débordés.

    (…) Sous la direction du commandant divisionnaire fonctionnel Jérôme Boni, les 48 policiers de la PAF de Montgenèvre n’ont pas une tâche facile, c’est un euphémisme. Outre les conditions météo, ils doivent faire face à un afflux massif et inédit de migrants. Depuis le début de l’année, 4600 majeurs et 1200 mineurs ont été contrôlés, 48 passeurs arrêtés. Certains jours, à la fin de l’été, ils arrivaient par centaines. Impossible de les appréhender tous. Les policiers estiment en interpeller 80 %. Mais ajoutent : « 100 % arrivent à passer ! » Comment expliquer cette équation ?

    Les migrants bénéficient de soutiens de part et d’autre de la frontière. En faisant son footing un matin sur l’un des sentiers, l’un des policiers a ramassé un papier par terre sur lequel était inscrite l’adresse d’un refuge à Briançon. « Il a trouvé un véritable roadbook, se désole le maire de Briançon, Arnaud Murgia. On a face à nous des réseaux mafieux complexes. Ils vendent plus cher un séjour à Briançon avec une halte au refuge. C’est le Airbnb des passeurs ! »

    (…) Le 30 août, les migrants se sont retrouvés à la rue au moment où la PAF comptait une centaine d’arrivées quotidiennes. Les habitants croisaient des petits groupes de 20 à 30 individus errant dans la ville. Les tentes ont commencé à fleurir sur un terrain prêté par la paroisse pendant quelques jours. Les tensions grandissaient. Les riverains se sont plaints, notamment, des nuisances sonores.

    Selon des témoignages, des personnes âgées n’osaient plus sortir le soir et les femmes seules ne se sentaient plus en sécurité à la nuit tombée. D’autant que début août, des militants d’extrême gauche « No Borders » ont squatté une maison en plein centre- ville, en face du commissariat de police pour accueillir les « sans-abri ». Là aussi on refuse d’utiliser le terme de migrants ! Et on est très suspicieux envers ceux qui approchent du bâtiment, leur demandant avec insistance de montrer le contenu de l’appareil photo et du portable, pendant qu’une voiture immatriculée en Allemagne s’engouffre dans la propriété avec ses deux occupants…

    L’inquiétude des parents

    Le squat jouxte une école primaire et voisine avec deux autres établissements scolaires. De nombreux parents s’en sont inquiétés. Dans une petite ville comme Briançon (12.000 habitants), les rumeurs vont vite. À la Toussaint, certains se sont émus de la présence d’un fiché S parmi les squatteurs. D’autres ont eu peur de la possibilité qu’un des occupants possède un couteau. Des parents ont entendu leurs enfants évoquer la présence d’un homme sur le toit du préau. Une partie de la cour de l’école donne sur le terrain squatté. Des palissades ont été installées pour assurer une séparation.

    « Mais ce n’est pas à nos enfants de se barricader, se lamente un parent d’élève, qui assure avoir regardé une vidéo où l’on voit des bagarres à l’intérieur du squat. Je demande juste que mon fils puisse aller à l’école tranquillement. »

    (…)

    « On ne sert à rien, regrette, fataliste, un policier du coin. C’est comme vider la mer avec une petite cuillère. C’est une perte de sens totale pour les policiers. »

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Palestine : Les Chrétiens décident d’annuler les célébrations de Noël à cause des massacres qui ont lieux à Gaza

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2023

    Une église de Bethléem a créé une crèche représentant la situation dans la bande de Gaza déchirée par la guerre à l’approche de Noël, en réaction à l’attaque brutale d’Israël contre l’enclave palestinienne.

    La crèche de l’église évangélique luthérienne de Noël présente un bébé jouet enveloppé dans le keffieh palestinien traditionnel et placé au milieu de débris et de décombres.

    Le keffieh symbolise l’identité, l’histoire et la lutte des Palestiniens, tandis que les débris représentent la destruction de Gaza, où plus de 16 000 personnes ont perdu la vie lors de la guerre menée par Israël, la plupart étant des enfants et des femmes.

    Le petit bébé, qui est censé représenter Jésus, symbolise également les milliers d’enfants ensevelis sous les décombres à Gaza.

    Le révérend docteur Munther Isaac, pasteur de l’église, a partagé son idée avec la congrégation et ensemble, ils ont construit la crèche la semaine dernière.

    « Ce fut une expérience émouvante pour nos familles, certaines personnes étaient en larmes », a déclaré le pasteur Isaac au New Arab.

    Bethléem est reconnue comme le lieu de naissance de Jésus. Chaque année, des milliers de personnes affluent dans cette ville de Cisjordanie pour célébrer sa naissance.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2023

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  • Marseille : Deux agents de la préfecture facilitaient les demandes d’asile

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2023

    Abdalla Ibrahim, l’un des prévenus, un Franco-Syrien âgé de 55 ans, avait été embauché au Guichet unique de l’asile (GUDA) situé 66A, rue Saint-Sébastien, dans le VIe arrondissement de Marseille, en septembre 2019. Lors de son audience, il a reconnu avoir aidé des personnes issues de la communauté turque dans le cadre de leurs demandes d’asile : « On sait que je suis arrangeant et que je peux intervenir. » Le fonctionnaire a également affirmé : « J’ai touché 9.000 euros, soit en faisant quelque chose, soit en faisant croire que je faisais quelque chose. »

    Abdalla Ibrahim, un agent arrangeant...

    Il aurait arrangé plusieurs dossiers de manière à ce que leurs dépositaires puissent échapper à la procédure Dublin et faire leur demande en France. Le site service-public.fr détaille : « La demande d'asile que vous souhaitez déposer en France peut relever d'un autre État européen, en application du règlement dit Dublin III. Selon ce texte, la demande d'asile est examinée par un seul pays européen. Pour savoir quel pays est concerné, plusieurs critères sont appliqués. Si la France n'est pas responsable de votre demande, vous serez obligé de vous rendre dans le pays concerné. » Allez savoir pourquoi, les demandeurs d’asile préfèrent faire leurs démarches en France !

    Pour permettre l’obtention de documents à des demandeurs d’asile, le fonctionnaire modifiait leur situation administrative. Il n'enregistrait pas leurs empreintes digitales sur Eurodac, la base de données biométriques européenne, ou faisait disparaître des informations de Visabio, le système national de visa dans lequel sont enregistrées les données biométriques des candidats (photographies, empreintes…).

    Onze dossiers frauduleux auraient été découverts à ce jour, mais cela pourrait être bien plus. Le juge d’instruction a tenu à préciser : « Il s’agit d’une estimation basse, l’enquête administrative réalisée ayant révélé qu’au moins 10 % des dossiers traités par Abdalla Ibrahim présentaient une anomalie. » Certains posent particulièrement problème, comme celui d’un ami d’enfance du principal suspect, un Turc signalé par les autorités allemandes pour des activités liées au terrorisme.

    ...qui vous veut du bien

    Le ver est plus que jamais dans le fruit. L’administration française emploie en son sein des agents qui courent à sa perte et à la perte de la France. Comment imaginer que des demandes de régularisation puissent être traitées par des personnes ayant des accointances avec des terroristes ? Bien évidemment, le prévenu n’a aucun remords. Il laisse même entendre que la France devrait le remercier : « Je parle quatre langues et la préfecture a gagné beaucoup d’argent en économisant sur le marché de l’interprétariat. »

    Dans cette affaire, l’enquête menée par les policiers de la direction inte-régionale de la police judiciaire (DIPJ) de Marseille et de la police des frontières, suite à l’envoi d’une lettre de dénonciation le 2 juillet dernier, a permis la mise en examen de neuf personnes. Quatre d’entre elles, dont Abdalla Ibrahim, ont été écrouées.

    En temps normal, il est déjà très difficile de renvoyer un étranger clandestin dans son pays lorsqu’il est sur le territoire français. Que dire avec un système corrompu ?

     

    Source : bvoltaire

     

    Sarah-Louise Guille

    Journaliste
  • Hanouca à l’Elysée avec Macron

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2023

    Hanoukha à l'Elysée avec Macron

    Pas un média du système n’en a parlé aujourd’hui. Par contre, sur les réseaux sociaux, les comptes de rabbins et de personnalités juives n’ont pas été avares en images de la cérémonie du jour à l’Elysée. De quoi parle-t-on ?

    Figurez-vous que ce jeudi 07 décembre, en présence de nombreuses personnalités juives, le grand rabbin de France est venu célébrer la cérémonie religieuse juive de Hanouca dans une salle de l’Elysée, avec la participation du président de la république Emmanuel Macron.

    Sur les réseaux sociaux, certains n’ont pas manqué de souligner que cela colle peu avec le discours habituel sur la laïcité. Et qu’au même moment, la république interdit des crèches de Noël dans l’espace public et dans des institutions, sans parler des statues religieuses catholiques déboulonnées.

    Hanoukha à l'Elysée avec Macron

    Comme l’ont fait remarquer quelques rabbins, les services de l’Elysée avaient même pensé aux beignets d’Hanouca pour la réception qui a suivi la cérémonie religieuse juive de Hanouca.

    Hanoukha à l'Elysée avec Macron

    Le grand rabbin de France a saisi l’occasion pour demander à Emmanuel Macron de faire de la lutte contre l’antisémitisme la “grande cause nationale de l’année 2024”. Avec une marche toutes les semaines ?

    Signalons encore que la conférence des rabbins d’Europe est venue remettre son prix annuel à Emmanuel Macron en présence de membres du gouvernement.

    Hanoukha à l'Elysée avec Macron

     

    Source : medias-presse.info