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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 454

  • Vème Congrès Du Parti de la France

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mars 2023

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    Le Vème Congrès Du Parti de la France s’est déroulé hier 25 mars 2023 à Paris en présence de nombreux militants de la cause nationale.
    Dans une ambiance fraternelle et chaleureuse, Thomas Joly a été reconduit à la tête du Parti, ainsi que Bruno Hirout dans sa fonction de secrétaire général.
    La région Occitanie fut mise à l’honneur avec l’élection au Conseil National du délégué du Tarn Olivier Romain, du toulousain Jason Cazaurang et moi-même.
    J’ai eu l’honneur d’être réélu par Le Conseil National pour la 3ème fois consécutive au Bureau Politique.
    Avec mon équipe, nous mettrons tout en œuvre dans notre région pour faire avancer les idées du Parti de la France.
    Rejoignez-nous sans tarder, nous avons besoin de femmes et d’hommes qui défendent nos valeurs de civilisation.
    Guy Jovelin
    Délégué du Parti de la France pour l’Occitanie
    Membre du bureau politique.
  • La Chrétienté face au gouvernement mondial, enjeu d’une formation dans le Languedoc

    Publié par Guy de Laferrière le 24 mars 2023

    Affiche de la journée de formation organisée par Civitas Languedoc avec le Père Joseph et Alain Escada
    Affiche de la journée de formation organisée par Civitas Languedoc avec le Père Joseph et Alain Escada

    Le samedi 15 avril 2023, Civitas Languedoc vous accueillera pour sa journée de formation organisée près de Castelnaudary avec des interventions du RP Joseph et d’Alain Escada sur le thème de “la Chrétienté face au gouvernement mondial”.

    Inscrivez-vous : civitas.languedoc@francemel.fr

     

    Source : medias-presse.info

  • Faut-il brûler Tintin ?

    Publié par Guy de Laferrière le 24 mars 2023

    Faut-il brûler Tintin ? Le livre de Renaud Nattiez
    Faut-il brûler Tintin ? Le livre de Renaud Nattiez

    Renaud Nattiez, ex-diplomate, est administrateur de l’association “Les amis de Hergé”. Il a publié plusieurs essais consacrés à Tintin ainsi qu’à Brassens. Provocateur, le titre de son nouveau livre rappelle que Tintin ne laisse pas indifférent. Adulé par les inconditionnels, il est violemment attaqué, voire mis au pilori par ceux qui le considèrent trop lisse, démodé, réactionnaire, voire pire encore.

    Pourtant, avec 260 millions d’albums vendus dans le monde, le succès du petit reporter dépasse très largement les frontières belge, française et européenne. Près de 50 ans après la publication du dernier récit achevé (Tintin et les Picaros), plus de 2 millions d’albums sont encore vendus chaque année.

    On notera également que plus de 600 livres ont été consacrés à Hergé et son œuvre, dont 200 au cours de la dernière décennie.

    La magie de Tintin opère dès le plus jeune âge, avant même de savoir lire, lorsque, petit enfant, on s’émerveille devant les dessins d’Hergé. Combien d’adultes n’ont-ils pas conservé en mémoire une scène des aventures de Tintin qui s’est imprimée à tout jamais dans leur mémoire ? Renaud Nattiez en est convaincu, pour apprécier Tintin, il faut l’avoir lu enfant pour la première fois. La lecture qu’en fera le primo-lecteur adulte ne sera jamais la même que celle des lecteurs de toujours, qui ont grandi avec Tintin. Découvrir pour la première fois Tintin à quarante ans, c’est généralement démarrer la lecture avec un regard critique idéologique dépourvu de tout reste d’âme d’enfant.

    Cependant, puisque ceux qui blâment Tintin, voire souhaiteraient sa censure, se font régulièrement entendre, Renaud Nattiez a décidé d’examiner chacun des motifs de critique. Il remonte d’ailleurs le temps et vient rappeler que la censure obligea naguère Hergé de supprimer des images jugées par certains choquantes du Crabe aux pinces d’or montrant le capitaine Haddock en train de boire de l’alcool à la bouteille.

    Nattiez passe donc en revue les arguments les plus variés des détracteurs de Tintin. Tintin n’est pas en mesure de séduire les adeptes des super-héros à l’américaine. Tintin serait désincarné, daté, trop fade, trop sage et donc ennuyeux. Tintin serait de droite, anti-écologiste, sexiste, misogyne, individualiste à l’excès, anticommuniste primaire, colonialiste, raciste et antisémite. Au début des années 2000, quelqu’un a même relevé que, dans Le Crabe aux pinces d’or, une quinzaine des 35 jurons du capitaine Haddock étaient également présents dans Bagatelle pour un massacre, le pamphlet de Louis-Ferdinand Céline.

    L’hystérie wokiste est telle qu’à l’automne 2021, dans la province de l’Ontario, le Conseil scolaire a décidé de brûler un certain nombre de BD dont Tintin en Amérique, album accusé de véhiculer “un langage inacceptable, des informations erronées, une représentation négative et fautive des peuples autochtones”.

    Au final, les critiques sont de nature idéologique, anachroniques, et passent à côté du talent incontesté de Hergé qui s’adressait aux enfants avec un graphisme génial et des scénarios à couper le souffle qui continuent de nous faire rêver.

    Ce livre souligne que Tintin ne se montre jamais esclave de son corps ou de ses pulsions. Ses motivations sont essentiellement morales. Tintin agit pour contribuer au triomphe du Bien sur le Mal. Il aspire à un idéal élevé. On retrouve-là la valeur suprême de la “pensée boy-scout” de Hergé. Tintin est un héros vertueux, généreux, altruiste, courageux, persévérant et plein de compassion.

    Et si les exégètes ont recensé plus de 220 jurons dans le langage du capitaine Haddock, on n’y trouvera aucune grossièreté, pas de référence scatologique ou sexuelle. Il n’y a pas la moindre trace de vulgarité dans les aventures de Tintin.

    Les aventures de Tintin sont désormais considérées comme un “classique”, à l’image des grandes œuvres littéraires. Elles résistent au temps, comme le démontre la stabilité des ventes d’albums de par le monde. Tintin ne connaîtra plus de nouvelles aventures mais il est devenu un mythe.

    Faut-il brûler Tintin ?, Renaud Nattiez, éditions 1000 sabords, 219 pages, 20 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

     

    Source : medias-presse.info

  • Ce lutteur remercie le Christ pour sa victoire et ajoute “Pas de faux prophètes, pas de Muhammad”

    Publié par Guy de Laferrière le 24 mars 2023

    Le lutteur Aaron Brooks loue Jésus-Christ après sa victoire
    Le lutteur Aaron Brooks loue Jésus-Christ après sa victoire

    Etats-Unis – Après avoir remporté son troisième titre national consécutif le week-end dernier, le lutteur de la Penn State University, Aaron Brooks, a fait l’éloge de Jésus-Christ, une décision qui a suscité les critiques de commentateurs mais a émerveillé les chrétiens américains, heureux d’entendre un témoignage de foi.

    “La résurrection du Christ est tout”, a déclaré Brooks à Quint Kessenich d’ESPN après sa victoire 7-2 sur Parker Keckeison du nord de l’Iowa. « Pas seulement Sa vie, Sa mort mais aussi Sa résurrection. Vous ne pouvez obtenir cela que par Lui.»

    Brooks a poursuivi: «Pas de faux prophètes, pas de Muhammad ou autre. Seul Jésus-Christ lui-même.»

    La victoire de Brooks samedi a couronné une autre saison historique pour le joueur de 22 ans, qui a terminé 17-1 dans sa catégorie.

    L’ancien président Donald Trump était présent aux championnats ce week-end à Tulsa, Oklahoma. Plusieurs lutteurs l’ont accueilli avec beaucoup d’enthousiasme.

    Les remarques de Brooks ont immédiatement été critiquées sur les réseaux sociaux. Le Conseil de gauche sur les relations islamiques américaines (CAIR) s’est offusqué de la façon dont il a décrit Mahomet comme un faux prophète. Le compte Twitter officiel de lutte de la NCAA a également supprimé l’interview de son flux.

    Brooks répétait simplement ce que la Bible a toujours clairement affirmé comme avoir été dit par le Christ dans Jean 14 : 6 : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. »

    La victoire de Brooks a aidé à propulser son équipe de Penn State au championnat par équipe. Sur le podium par la suite, Brooks – qui a déclaré qu’il espérait être un jour sélectionné dans le cadre olympique – portait un bandeau sur lequel était écrit “100% Jésus”.

    “Tout ce que j’ai vient de Dieu”, a réitéré Brooks lors de sa conférence de presse d’après-compétition.

     

    Source : medias-presse.info

  • Dr Robert Malone : ​​Les meilleures universités du monde sont désormais des marionnettes du Forum économique mondial

    Publié par Guy de Laferrière le 24 mars 2023

    Le Docteur Malone dénonce l'emprise du Forum économique mondial sur les plus importantes universités dans le monde
    Le Docteur Malone dénonce l’emprise du Forum économique mondial sur les plus importantes universités dans le monde

    Tribune du Dr Robert Malone

    L’un des événements les plus troublants des trois dernières années a été la diffusion de messages mondialisés et coordonnés de missives et de politiques socio-économiques à travers le monde. Nous tous dans le mouvement pour la liberté, nous nous sommes demandés : qui contrôle cela ? Comment cela peut-il arriver?

    Je me souviens avoir passé du temps l’automne dernier avec Nick Hudson du groupe Pandata (Panda). Nous discutions des politiques transgenres à travers le monde. Nous étions tous les deux très perturbés, non seulement par ces politiques, mais aussi par la façon dont elles ont été mises en place.

    Comment les politiques d’enseignement des genres supposés non binaires dans les écoles et l’importance de la « transition » des jeunes se sont-elles exécutées si rapidement dans le monde ? Comment est-il possible que l’Afrique du Sud soit plongée dans les mêmes batailles pour les «droits trans» que les États-Unis et la majeure partie de l’Europe ? Bien sûr, cela n’est pas possible sans coordination.

    Ensuite, nos esprits se sont tournés non seulement vers les politiques pandémiques de masquage, d’obligations vaccinales et de confinements, mais aussi vers le changement climatique, l’élimination des voitures à essence, l’Agenda 2030, la décision d’éliminer les éléments de propriété privée tels que les automobiles et le logement, les identifiants numériques, les monnaies, villes à 15 minutes, confiscation de terres privées, censure mondialisée, etc., pas seulement dans un pays, mais dans le monde entier. La liste coordonnée semble interminable.

    Je ne me souviens pas d’une période de ma vie où la plupart des gouvernements du monde étaient d’accord sur autant de sujets. D’où viennent ces politiques ? Qui les coordonne ? Comment est-ce arrivé ?

    Un lecteur m’a écrit à propos de sa découverte que le Forum mondial (WEF) a un comité économique formel de présidents des meilleures universités du monde et que ces présidents se réunissent régulièrement pour discuter et décider de la politique dans les meilleures universités du monde. Ces présidents se sont engagés à soutenir le Forum économique mondial.

    Sur le site du WEF :

    Le Forum économique mondial contrôle désormais les plus importantes universités
    Le Forum économique mondial contrôle désormais les plus importantes universités

    La communauté du Global University Leaders Forum (GULF) se compose des présidents des plus grandes universités du monde qui s’engagent à soutenir la mission du Forum d’améliorer l’état du monde. Ensemble, les présidents du GULF définissent les tendances, les défis et les pratiques dans l’enseignement supérieur, la recherche et l’impact sociétal. La communauté est composée de 29 membres et est représentée par Suzanne Fortier, principale et vice-chancelière de l’Université McGill.

    En 2021, la communauté GULF se concentre sur la manière dont les universités peuvent faciliter une reprise plus équitable et inclusive après la pandémie de COVID-19, notamment en explorant les compétences pour l’avenir et la reconversion, l’inclusion sociale et l’action pour le climat.

    Les présidents et les professeurs du GULF s’engagent de plusieurs manières avec le Forum :

    Réseaux d’experts : opportunités pour les experts de contribuer aux communautés d’experts, y compris les Global Future Councils
    Développement d’idées : opportunités de contribuer à de nouvelles recherches, de diffuser de nouvelles idées et de mettre en œuvre à l’amélioration de l’intelligence stratégique
    Action : des opportunités pour façonner le monde à travers 18 plateformes répondant aux défis sociaux, environnementaux, technologiques et industriels
    Apprentissage : opportunités de développer et de piloter des modules éducatifs avec les communautés du Forum

    Des universités telles que Stanford, MIT, Princeton, Yale, Berkeley, l’Université de Pennsylvanie et l’Université de Chicago en sont membres. Les présidents de collèges internationaux sont membres d’Oxford, de l’Université du Cap (Afrique du Sud) et des meilleures universités chinoises et européennes. Il existe une plate-forme de 18 idéologies que ces présidents sont invités à soutenir et à diffuser dans leurs campus et dans la société.

    Ces dirigeants universitaires ont reçu un statut spécial au sein du WEF et sont invités à siéger dans d’autres conseils, tels que les «Global Future Councils».

    Selon le site Web du WEF :

    Le réseau des Global Future Councils du Forum économique mondial est le premier réseau de connaissances multipartite et interdisciplinaire au monde dédié à la promotion d’une réflexion innovante pour façonner un avenir plus résilient, inclusif et durable.

    Le réseau réunit environ 600 leaders d’opinion les plus pertinents et les plus compétents du monde universitaire, du gouvernement, des organisations internationales, des entreprises et de la société civile, regroupés dans des conseils thématiques basés sur l’expertise. Il s’agit d’une communauté sur invitation uniquement et les membres sont nommés pour un mandat de deux ans.

    Il me semble que le Global University Leaders Forum est un autre moyen par lequel le WEF coopte des leaders mondiaux. Ceux-ci font le travail du WEF d’une manière que nous ne pouvons qu’imaginer.

    Les gens pensent souvent que le WEF n’occupe pas de postes de grande autorité. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

    Vous vous souvenez en 2019, lorsque le WEF et les Nations Unies ont signé un accord de partenariat ? Maintenant, le pouvoir du WEF est soutenu par le pouvoir de l’ONU et vice-versa.

    Ce qui suit est extrait d’un communiqué de presse du WEF, publié le 13 juin 2019 :

    Le Forum économique mondial et les Nations Unies ont signé aujourd’hui un cadre de partenariat stratégique décrivant les domaines de coopération pour approfondir l’engagement institutionnel et accélérer simultanément la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable. Le cadre a été rédigé sur la base d’une cartographie de la collaboration existant entre les deux institutions et permettra une approche plus stratégique et coordonnée pour produire un impact.

    L’ONU ne représente plus des nations, elle est partenaire des 1000 plus grandes entreprises transnationales du monde : le WEF. Nous ne pouvons que supposer qu’avec ce partenariat, une énorme somme d’argent a été versée dans les coffres de l’ONU.

    Les Nations Unies et le Forum économique mondial n’ont pas de fonctionnaires qui représentent le peuple. Leurs dirigeants n’ont pas été élus pour prendre des décisions en notre nom ou au nom de notre nation. Les programmes de ces organisations ne sont pas ceux de notre nation et ne subissent pas nos concepts de droits à la souveraineté personnelle. Pourtant, à travers des projets tels que l’Agenda 2030 et le Règlement sanitaire international proposé par l’Organisation mondiale de la santé (une organisation des Nations Unies), il semble que l’ONU souhaite remplacer la législation nationale et la souveraineté nationale et personnelle.

    Les politiciens affiliés au WEF doivent se déclarer comme agents étrangers. C’est un conflit d’intérêts inhérent de représenter et de soutenir le WEF et un gouvernement.

    De même, de nombreux présidents d’université nommés dirigeants du WEF GULF sont issus d’institutions publiques. Ils ont le devoir, en tant qu’agents publics, de signaler cela comme un conflit d’intérêts avec leur institution. L’argent des contribuables ne devrait pas servir à financer les présidents d’université qui sont fidèles à une ONG étrangère.

    Dr Robert Malone

     

    Source : medias-presse.info