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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 457

  • Mayotte : des collectifs de mahoraises bloquent l’accès des migrants comoriens aux centres de santé

    Publié par Guy de Laferrière le 27 mai 2023

    Soumis à la pression démographique et à une pénurie de soignants encore plus sévère qu’en métropole, le système de santé du 101ᵉ département français est l’objet d’un bras de fer inédit : des collectifs de Mahoraises bloquent depuis plusieurs semaines l’accès des Comoriens aux structures de soins.

    Vendredi 26 mai, le soleil n’avait pas encore atteint son zénith que l’atmosphère était déjà brûlante au dispensaire de santé de Jacaranda, sur les hauteurs de Mamoudzou, la capitale économique de Mayotte. De part et d’autre de la route, deux groupes de femmes : les unes, comoriennes pour la plupart, veulent accéder à la pharmacie centrale attenante au dispensaire ; les autres, mahoraises, ne veulent pas de leur présence ici. Elles portent les mêmes boubous, parlent souvent la même langue, vivent sur la même île, mais tout les sépare.

    […] Une migrante comorienne, Kamladi (les personnes citées par leur seul prénom ont souhaité rester anonymes) se faufile discrètement, récupère les médicaments que son fils épileptique attend depuis trois jours et dont sa fille asthmatique a besoin au quotidien : « Elles ne veulent pas que je vienne parce qu’elles disent que je vole la place des Français. Mais nous ne sommes pas venus ici pour souffrir, juste pour nous soigner. »

     

    Le Monde via fdesouche

  • Ralentisseurs

    Publié par Guy de Laferrière le 27 mai 2023

    Je pense en particulier aux ralentisseurs qui ralentissent les véhicules mais pas l’absurdité la plus totale.

    Nous sommes voisins de l’Allemagne et du Luxembourg. Chez eux, pas de ralentisseurs de ce genre : des contrôles existent et sont sanctionnés d’une amende de 20 euros (là non plus, ne comparons pas !).

    Il est bizarre que, dans les cités affublées de véhicules bruyants, créant de la pollution et des nuisances sonores, il n’y ait pas de ralentisseurs.

    La plupart de ces « ouvrages » génèrent de la pollution par les freinages et accélérations continuels.

    S’il faut donner du travail à des entreprises, que cela soit pour réparer les trous et dégradations sur les routes : il y a assez à faire !

     
  • Expropriation

    Publié par Guy de Laferrière le 27 mai 2023

    lafautearousseau

    Ville de Anglet - Arts et Voyages

    Au Pays basque, le dernier maraicher d'Anglet est menacé d'expropriation par le Gouvernement, alors qu'il a travaillé là toute sa vie. "On" veut remplacer ses terres et construire une technopole destinée aux "métiers de la construction durable et aux entreprises innovantes"... Le "découplage" complet entre nos dirigeants techno/bobos et le pays réel, la terre, les réalités charnelles continue d eplus belle...

    (extrait vidéo 1'29)

    https://twitter.com/_2019_nCoV/status/1661706127787040770?s=20

  • Christelle Comet : « A Saint-Etienne, on est venu expliquer aux enfants ce qu’était la sodomie ou la fellation ! »

    Publié par Guy de Laferrière le 27 mai 2023

    Selon Christelle Comet, porte-parole de l’association “Mamans Louves”, la manière dont on aborde la sexualité avec les enfants peut avoir des conséquences néfastes sur leur développement psycho-affectif. Elle cite l’exemple d’une école de Saint-Etienne où une infirmière scolaire a expliqué à des enfants de 9 à 10 ans ce qu’était la fellation, la sodomie, le cunnilingus, le changement de sexe ou encore de caresser les testicules.

    Cela revient à traumatiser les enfants et à faire tout l’inverse de l’objectif fixé. En effet, si l’enfant est confronté à un prédateur sexuel alors qu’on lui a dit que certaines pratiques étaient possibles, il risque d’être davantage exposé. De plus, cela peut inciter les enfants à essayer ces pratiques entre eux.

    https://twitter.com/Ligne__Droite/status/1661301755898896384

    Source

  • En France, 87% des femmes déclarent avoir déjà été victimes de harcèlement ou de violences sexuelles ou sexistes dans les transports

    Publié par Guy de Laferrière le 26 mai 2023

    En France, 87% des femmes déclarent avoir déjà été victimes de harcèlement ou de violences sexuelles ou sexistes dans les transports. Le gouvernement a organisé un premier comité d’action afin de lutter contre ces atteintes qui constituent une entrave importante à la mobilité des femmes.

    Le 11 mai 2023, la ministre déléguée à l’égalité entre les femmes et les hommes, Isabelle Lonvis-Rome, et le ministre délégué aux transports, Clément Beaune, ont lancé le premier comité d’action contre le harcèlement et les violences sexuelles et sexistes faites aux femmes dans les transports.

    Ce comité a réuni l’ensemble des acteurs impliqués (opérateurs de transports publics et privés, autorités organisatrices de la mobilité, associations) dans le but d’identifier les bonnes pratiques à promouvoir dans les réseaux de transport.

    Un sentiment d’insécurité dans les transports qui concerne surtout les femmes

    Deux voyageurs sur trois dans les transports collectifs sont des femmes. Selon les chiffres du ministère de la transition écologique, 87% d’entre elles ont déjà été victimes de harcèlement, d’agressions sexuelles ou de viols. Elles sont nombreuses à mettre en place des stratégies d’évitement : 54% déclarent s’abstenir de prendre les transports en commun à certaines heures.

    Depuis la loi d’orientation des mobilités (LOM) de 2019, le ministère chargé des transports est chargé de publier chaque année un bilan national des atteintes à caractère sexuel ou sexiste dans les transports. Le dernier bilan fait état de près de 3 500 atteintes sexuelles et sexistes en 2021 (dont 74% dirigées vers les femmes), en hausse de 37% par rapport à 2020 :

    • 34% sont des atteintes sexuelles avec contact (viols et tentatives de viols, attouchements sexuels…) ;
    • 34% sont des atteintes sexuelles sans contact (harcèlement, exhibition, voyeurisme, notamment le “upskirting” qui consiste à filmer ou photographier les sous-vêtements des femmes) ;
    • 31% d’outrages sexistes (sifflements, gestes ou bruits obscènes, propositions sexuelles…).
    […]

     

    Transports en commun : un comité contre les violences faites aux femmes | vie-publique.fr (Gouvernement)