GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 459

  • L’université de Helsinki décerne un doctorat en théologie à Greta Thunberg

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mars 2023

    Le changement climatique n’est pas une science mais une religion. Preuve en est le doctorat honorifique de théologie discerné à Greta Thunberg, l’icone de l’écologisme radical-chic.

    Le titre de docteur honoris causa en théologie, la plus haute distinction de l’Université, sera décerné à Greta Thunberg

    La prestigieuse université d’Helsinki a décidé d’honorer Greta thnumberg, l’activiste du changement climatique : « Comme le veut la tradition, le titre de docteur honoris causa, la plus haute distinction de l’Université, sera décerné, dans le cadre des cérémonies de remise, à plusieurs personnes. Cette année, un total de 30 personnalités distinguées du monde entier seront conférées en tant que docteurs honoraires. »

    Parmi les personnalités choisies se trouve donc la jeune Greta âgée de 20ans.Le professeur Martti Nissinen a remarqué que la faculté veut élargir l’étendue de sa vision des droits de l’homme et de l’état de la terre : « En choisissant Greta comme Doctor Honoris Causa, nous déclarons que nous voulons être aussi audacieux et influents qu’elle » a-t-il déclaré dans une interview avec Helsingin Sanomat.

    Le changement climatique anthropique se voit ainsi élevé non au rang de science mais de religion

    Greta, qui a cessé d’aller au lycée à l’âge de 16 ans pour « combattre » le changement climatique, s’est vu ainsi remettre un doctorat honorifique de la Faculté de théologie de l’Université d’Helsinki.

    Le changement climatique anthropique se voit ainsi élevé non au rang de science mais au rang de religion, religion à laquelle d’ailleurs tout le monde doit croire faute d’être exclu de la société des bien-pensants et des « sachants ». Nous le savions déjà. Cette distinction « théologique » offerte à Greta ne fait que le confirmer.

    La révolution arc-en-ciel est essentiellement une révolution spirituelle.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Union européenne débloque deux milliards d’euros pour livrer des munitions à l’Ukraine

    Publié par Guy de Laferrière le 21 mars 2023

    PAR  · 20 MARS 2023

    Si le sujet des avions de combat a donné lieu à maints débats au cours de ces dernières semaines, les forces ukrainiennes ont des besoins beaucoup plus urgents à satisfaire pour contrer l’offensive russe. Outre les systèmes de défense aérienne, celles-ci doivent impérativement refaire leurs stocks de munitions, notamment d’obus de 155 mm. Et pour cause : en moyenne, elles en tirent entre 10’000 et 20’000 par jour.

    D’ailleurs, Kiev a dit vouloir 350’000 obus par mois pour permettre à ses troupes de contenir les assauts russes maus aussi permettre à ces dernières de lancer des contre-offensives.

    D’où le plan de l’Union européenne [UE], qui, doté de deux milliards d’euros, vise à livrer au moins un million d’obus de 155 mm aux forces ukrainiennes et à regarnir les stocks des pays membres, dont certains sont déjà presque épuisés.

    Ce plan a fait l’objet d’un accord de principe, ce 20 mars, à l’occasion d’une réunion des ministres des Affaires étrangères et de la Défense des Vingt-Sept. Mais il doit encore être approuvé par les chefs d’État et de gouvernement, lors du Conseil européen des 23 et 24 mars.

     

    Dans le détail, il est d’abord question de rembourser, à hauteur de un milliard d’euros, les munitions prélevées dans les stocks des États membres, au prix de « 1000 à 1300 euros » par obus, a précisé une source diplomatique auprès de l’AFP. Or, une telle munition vaut 4000 euros l’unité actuellement…

    Ensuite, un second milliard d’euros sera utilisé pour un achat mutualisé de munitions d’artillerie destinés aux forces ukrainiennes. Au regard des tarifs actuels, cette enveloppe permettra de livrer 250’000 obus à ces dernières. Soit de quoi tenir entre 12 et 25 jours… si la consommation observée jusqu’alors est la même.

    À noter que que le ministre lituanien des Affaires étrangères, Gabrielius Landsbergis, a affirmé que l’objectif de fournir un million de munitions au cours de l’année prochaine n’était pas gravé dans le marbre » car « il est possible que nous ne puissions pas l’atteindre ».

    D’où le troisième volet de ce plan, lequel parle d’augmenter les capacités de production des industriels européens afin de « reconstituer les stocks des pays de l’UE et continuer à approvisionner les forces ukrainiennes ».

    Image

    « Plus de munitions d’artillerie pour l’Ukraine aussi vite que possible. C’était l’objet principal du Conseil des affaires étrangères de l’UE d’aujourd’hui. Je m’attends à l’adoption rapide de grandes décisions qui renforceront les capacités de l’Ukraine sur le champ de bataille », s’est félicité Dmytro Kouleba, le chef de la diplomatie ukrainienne.

    Les deux milliards d’euros de ce plan proviendront de la Facilité européenne pour la paix [FEP], un fonds abondé par les États membres en fonction de leur PIB. À que l’Autriche, Malte et l’Irlande ne participent au financement de livraisons d’armes. Un accord de principe a également été trouvé pour augmenter de 3,5 milliards d’euros la dotation de cette FEP.

    Cela étant, livrer des obus est une chose… Mais s’assurer que les forces ukrainiennes ont les moyens de les tirer en est une autre. En clair, le maintien en condition opérationnelle [MCO] des pièces d’artillerie qui leur ont été livrées [et d’autres doivent l’être encore] est crucial. Et celui-ci ne sera pas forcément aisé à assurer, compte-tenu de la diversité des canons donnés à Kiev.

     

    Source : opex360

  • La Hongrie bloque la déclaration commune de l’UE sur le mandat d’arrêt contre Poutine

    Publié par Guy de Laferrière le 21 mars 2023

    lesobservateurs

    Les ministres de la justice de l'UE ont publié lundi une déclaration commune soutenant la décision de la CPI. Mais la ministre hongroise de la justice, Judit Varga, n'a pas signé le document.

    La position du gouvernement hongrois devrait être discutée lors d'un sommet des dirigeants de l'UE qui se tiendra à Bruxelles à partir de jeudi.
    La semaine dernière, la Cour pénale internationale de La Haye a lancé un mandat d'arrêt à l'encontre du président russe et de son commissaire aux droits de l'enfant. M. Poutine devrait arrêté pour "crimes de guerre" en Ukraine, tandis que Maria Lvova-Belova serait poursuivie pour "enlèvement d'enfants ukrainiens".

    source: https://www.vadhajtasok.hu/2023/03/20/magyarorszag-blokkolta-az-eu-kozos-nyilatkozatat-a-putyin-elleni-elfogatoparancsrol

    traduction: Albert Coroz

  • Trois candidates d’Egalité Europe Ecologie, un parti soutenant Emmanuel Macron, affichent des visages n’ayant rien à voir avec ceux qui figuraient sur leurs tracts lors des législatives de juin.

    Publié par Guy de Laferrière le 21 mars 2023

    A cette occasion, le parti Égalité Europe Ecologie, qui se dit proche de la «majorité présidentielle», présente trois candidates pour ces circonscriptions : Juliette de Causans pour la 8e circonscription (Chypre, Grèce, Israël, Italie, Malte, Saint-Marin, Turquie, Territoires palestiniens, Vatican) ; Tatiana Boteva Malo pour la 2e (Amérique latine et Caraïbes) et Samira Herbal pour la 9e (Maghreb et Afrique de l’Ouest). Sur le site dédié à cette élection, le parti diffuse les affiches et les professions de fois des candidates, très souriantes.

     

    Joint par Checknews, l’avocat Jean-Christophe Ménard, spécialiste du droit électoral, confirme que «ni le code électoral ni la jurisprudence n’interdisent aux candidats d’utiliser une photographie de leur visage qui ait été retouchée ou photoshopée. Une telle interdiction constituerait non seulement une atteinte à la liberté d’expression des candidats, mais elle serait en outre bien difficile à mettre en œuvre puisqu’elle supposerait de déterminer le degré de retouche à partir duquel une photographie cesserait d’être conforme à la réalité pour en devenir trompeuse vis-à-vis des électeurs».

    […] Libération via fdesouche