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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 452

  • Montélimar (26) : deux policières rouées de coups en pleine rue par une dizaine d’individus, alors qu’elles tentaient d’interpeller un suspect ; trois suspects arrêtés, dont un mineur de 13 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 18 février 2026

    Les deux policières venaient d’interpeller un adolescent soupçonné d’avoir volé un scooter, lorsqu’elles ont été rouées de coups par un groupe d’une dizaines de personnes. Trois suspects ont été interpellés et placés en garde à vue.

    Deux policières ont été agressées par une dizaine d’individus lors d’une intervention dans le quartier Nocaze à Montélimar (Drôme), ce mercredi après-midi. Elles ont été blessées au niveau du visage. Trois suspects, dont un mineur de 13 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue le lendemain matin a appris Actu17.

    Un équipage de police-secours a été requis pour le vol d’un scooter vers 16 heures. Les deux policières arrivent rue Joliot-Curie et prennent contact avec la victime. Un adolescent âgé de 13 ans, voleur présumé du deux-roues, est alors interpellé mais un groupe d’une dizaine de personnes surgit et s’en prend aux deux fonctionnaires ainsi qu’à la victime. “Les deux agents ont été rouées de coups, notamment au visage, et le suspect en a profité pour s’enfuir”, indique une source proche de l’enquête.

    (…) Actu 17 via fdesouche

  • Seine-et-Marne : un migrant clandestin Pakistanais arrêté sur l’autoroute A5 avec 24 passagers clandestins dans son fourgon

    Publié par Guy de Laferrière le 18 février 2023

    Les gendarmes ont interpellé un Pakistanais de 30 ans jeudi sur l’A5 au niveau du péage des Eprunes (Seine-et-Marne) alors qu’il transportait dans son fourgon 24 de ses compatriotes, quasiment tous en situation irrégulière. Placé en garde à vue, il devrait être présenté, ce samedi, au parquet de Melun.

    […]

     

    Tout commence vers 14h40, jeudi 16 février, sur l’A5, au niveau du péage des Eprunes. Des gendarmes du peloton motorisé de Montereau sont occupés à contrôler les véhicules qui circulent dans le sens Province-Paris. Soudain, leur attention est attirée par l’allure d’un fourgon Fiat Ducato, qui semble anormalement chargé.

    Au volant, se trouve un Pakistanais, âgé de 30 ans, en situation irrégulière. Lorsque les militaires font le tour du véhicule, ils entendent des hommes en train de discuter. Lorsque les portes s’ouvrent, c’est le choc.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • c (EELV) : “La seule chose dont vous avez été capables, c’est de nous parler de natalité, mais de natalité de femmes blanches”.

    Publié par Guy de Laferrière le 18 février 2023

  • Langon (33) : Le procès du radiologue Bassam El-Absi, poursuivi pour viols, débute lundi. Alors que la première plainte avait été déposée en 2003, il n’a été radié qu’en 2019

    Publié par Guy de Laferrière le 18 février 2023

    Du lundi 20 au lundi 27 février 2023 se déroulera le procès du radiologue Bassam El-Absi poursuivi pour viols et agressions sexuelles au cours de l’exercice de sa fonction.

    C’est une sombre affaire qui a secoué le Langonnais en 2019. Le radiologue Bassam El-Absi qui exerçait au laboratoire Imagix à Langon est accusé par plusieurs plaignantes de viols et d’agressions sexuelles qu’il aurait commis lors des consultations notamment.

    Le 7 mai 2019, le docteur Bassam El-Absi est radié par la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins d’Aquitaine comme le révèle le journal le Parisien le 11 juin. Dans cet article, on apprend qu’au moins sept femmes dont « deux ex-secrétaires ont porté plainte contre le docteur ».

    Des premières plaintes ont été enregistrées à la gendarmerie en 2003 et en 2013. D’autres plaintes sont recueillies en 2016, une enquête est alors ouverte. Le docteur est mis en examen, mais il est laissé en liberté.

    L’ordre des médecins en décide autrement. Surviennent alors des articles de presse sur sa radiation en 2019, et de nouvelles plaintes en découlent. « Je me souviens, je suis tombée sur l’article du Parisien sur Facebook à 23h30, je me suis effondrée, j’ai pleuré et j’ai appelé ma mère. C’est là que j’ai compris que ce que j’avais subi n’était pas normal et que je n’étais pas folle », confie au Républicain l’une des plaignantes âgée de 30 ans au moment des faits.

    (…) Elle poursuit : « Rapidement, je sens que c’est bizarre, il fait des va-et-vient avec la sonde comme s’il simule un acte. Je me suis dit que ça devait être normal, c’était pour mieux voir l’embryon, car il continue de parler normalement devant mon mari. Et puis je sens qu’il met ses doigts dans mon vagin. L’examen dure longtemps, mais il dit que c’est normal, car il n’arrive pas à voir correctement l’embryon. Je suis mal à l’aise, et en sortant je dis à mon mari que je ne comprends pas trop cet examen, que c’est bizarre, et qu’il m’a fait mal. »

    (…) À l’approche du procès, la plaignante appréhende de revoir le radiologue, mais elle veut qu’il reconnaisse ses actes. « Comment a-t-il pu continuer d’exercer entre la première plainte de 2003 et celles de 2019 ? De quelles manières a-t-il été protégé ? J’ai envie d’avoir des réponses à mes questions. Que justice soit rendue pour les victimes. Ça va être éprouvant, mais c’est tellement important pour moi, pour nous, et pour toutes ces femmes. »

    Le Républicain Sud-Gironde via fdesouche

  • Les descendants des peuples autochtones du Japon se réapproprient leur identité

    Publié par Guy de Laferrière le 18 février 2023

    Les descendants des peuples autochtones du Japon se réapproprient leur identité

    Au cœur d’une forêt de l’île japonaise septentrionale de Hokkaido, Atsushi Monbetsu s’agenouille sur la mousse dans l’épaisse brume matinale et dit une prière dans la langue quasiment disparue des Aïnous, l’un des peuples autochtones de l’archipel nippon.

    “Kamui”, appelle-t-il, à l’adresse des divinités aïnoues. “Un Aïnou entre dans votre forêt et souhaite chasser le chevreuil”.

    Il repère rapidement un petit groupe de cervidés et en abat un avec son fusil puis, un genou à terre, place les mains devant l’animal, paumes tournées vers le ciel, et les agite de bas en haut pour renvoyer son âme “au pays des kamui”.

    Les Aïnous vivaient traditionnellement dans les îles aujourd’hui partagées entre le nord du Japon et la Russie, et commerçaient avec les Japonais, qu’ils appelaient “Wajin”.

    Mais en 1869, l’empire du Japon a annexé les territoires aïnous à Hokkaido et banni des pratiques jugées “barbares” comme les tatouages faciaux des femmes, forçant les Aïnous à abandonner la chasse traditionnelle et à adopter des noms japonais. (…)

    actu.orange.fr via fdesouche