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Dimanche, vers 10 h 30, un homme de 57 ans a été interpellé par les policiers grenoblois. Il est suspecté d’avoir menacé de mort des enfants de chœur de la collégiale Saint-André.
Alertés par des paroissiens et disposant du signalement précis de cet homme, des policiers ont interpellé un suspect, placé en garde à vue pour “ Menaces de mort réitérées commises en raison de la race, l’ethnie, la nation ou la religion”.
Xavier Driencourt, diplomate, ancien directeur général de l’administration du Quai d’Orsay, chef de l’Inspection générale des affaires étrangères, ancien ambassadeur de France à Alger, écrit dans Le Figaro :
(…) l’Algérie va mal, beaucoup plus mal que les observateurs ou les rares journalistes autorisés le pensent ; 45 millions d’Algériens n’ont qu’une obsession: partir et fuir. Partir où, si ce n’est en France, où chaque Algérien a de la famille? On ne compte plus aujourd’hui ceux qui demandent un visa dans le seul but de ne faire qu’un aller simple, c’est-à-dire de rester d’une façon ou d’une autre en France avec l’espoir d’être un jour régularisé. Les choix désastreux de 1962, la crise économique, la corruption née de la rente pétrolière, le découragement non seulement des élites des grandes villes du Nord, mais aussi du peuple des campagnes et de l’Algérie profonde, découragement stimulé par la générosité de la France, font qu’à ce rythme-là peu de gens resteront en Algérie. Le prix de notre aveuglement ou de nos compromissions s’appellera donc immigration massive, sans rapport avec ce qu’elle est aujourd’hui, islamisme conquérant, ghettoïsation de nos banlieues, repentance mémorielle.
La France fait face à un double paradoxe: d’une part celui de l’alliance, autrefois contre nature, entre une armée antifrançaise et des islamistes qui nous détestent, les deux ayant en commun la haine de la France et la ferme volonté d’éradiquer les survivances linguistiques ou culturelles de la colonisation tout en nous faisant payer, par l’émigration et les excuses, le prix de notre passé colonial ; le second paradoxe est celui, soixante ans après l’indépendance algérienne, de traîner toujours et encore le problème algérien auquel précisément les accords d’Evian devaient mettre fin. L’Algérie, en ce sens, a gagné le combat contre l’ancien colonisateur: elle reste un problème pour la France, elle s’effondre, mais risque d’entraîner Paris dans sa chute.
Caroline Margeridon, une antiquaire devenue célèbre depuis qu’elle participe à l’émission télévisée à succès de France 2 « Affaire conclue », a été agressée dimanche soir à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), indique ce lundi le site Internet de « 20 minutes ». Elle s’est ensuite fait dérober sa montre et un sac de luxe.
L’acheteuse spécialisée dans la décoration s’apprêtait à monter dans sa voiture garée sur un parking lorsque, selon le témoignage qu’elle a livré à la police, deux hommes l’ont attaquée par-derrière pour lui arracher sa montre, une réplique d’une marque prestigieuse, et son sac à main de luxe, d’une valeur de plus de 10 000 euros.
Plusieurs coups au visage
La victime a reçu plusieurs coups au visage et a été projetée au sol. Aux policiers, elle a également affirmé s’être fait dérober 650 euros en espèces et la clé de la boutique qu’elle possède aux Puces de Saint-Ouen, dans le marché Biron. Sollicité par l’AFP, le parquet de Bobigny a confirmé cette agression, précisant que le commissariat de Saint-Ouen était saisi de l’enquête.
Amadou est arrivé, à Montpellier, en juillet 2018 à 15 ans. Il a été pris en charge par le Département en tant que mineur assisté puis par des bénévoles de Pézenas. Scolarisé, il vient d’obtenir un Cap de menuisier et s’est inscrit en bac pro. Il est suspecté d’avoir de faux papiers et d’avoir menti sur son âge à son arrivée en France.
Une véritable marée humaine de manifestants vêtus de jaune et vert a pris d’assaut les principaux lieux de pouvoir du pays à Brasilia, a constaté l’AFP, des images impressionnantes qui rappellent l’invasion du Capitole à Washington en janvier 2021.
Sur les réseaux sociaux, on peut voir des vidéos montrant des bureaux de parlementaires détériorés ou des manifestants debout sur les sièges de l’hémicycle de Sénat. Les dégâts semblent considérables, dans ces bâtiments qui sont des trésors de l’architecture moderne et regorgent d’œuvres d’art.
La zone près de la Place des trois pouvoirs, où se côtoient le Palais présidentiel de Planalto, la Cour suprême et le Congrès, avait été pourtant bouclée par les autorités, mais les bolsonaristes sont parvenus à rompre les cordons de sécurité.
«Cette tentative absurde d’imposer une volonté par la force ne va pas prévaloir. Le gouvernement du District fédéral (de Brasilia) va envoyer des renforts et les forces dont nous disposons sont en train d’agir», a déclaré sur Twitter Flavio Dino, ministre de la Justice et de la Sécurité publique. Samedi, Flavio Dino avait autorisé le déploiement d’agents de la Force Nationale, une force spéciale de police parfois envoyée dans les différents États en cas de menace contre la loi et l’ordre.